Dans les trois volumes du Parnasse Contemporain, figurent des poèmes de Gautier, Leconte de Lisle, Coppée, De Banville, Mendès, Sully-Prudhomme, Baudelaire, Verlaine… et d’auteurs moins célèbres tels Deschamps, Dierx et un grand ami du professeur d’anglais Mallarmé, le professeur de lettres Alfred des Essarts (1811-1893) à qui on doit aussi cette gentille nouvelle en prose au parfum irlandais.
« Cependant ce même homme si abandonné, si isolé dans sa misère, savait s’occuper généreusement du plaisir d’autrui. Le soir, pour économiser la chandelle, il s’en allait à la veillée, et là, il payait son écot par des récits merveilleux. […] On l’écoutait bouche béante, on ne se lassait pas de l’entendre, et plus d’un disait, au sortir de la veillée : « Il n’y a pas un riche landlord qui parle aussi bien que notre maître d’école.» »
BONJOUR, J’ai été enchantée d’écouter cette nuit ce très beau texte. MERCI MONSIEUR DEPASSE. PASCALE GAUMONDIE