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Makoko chez les hommes

Voici le second conte du livre d’Ernest Pérochon, Inspecteur de l’Enseignement Primaire, Le livre des quatre saisons,livre de lecture destiné aux cours moyen et supérieur.

De son voyage en Afrique, l’oncle Jean, explorateur, a ramené un jeune ouistiti. Il offre l’animal à son frère, chez qui il habite entre deux voyages. Le jeune singe, qui a passé toute sa vie dans la forêt vierge de Guinée est tout étonné de se retrouver en France, parmi les hommes. Il accumule les bêtises… qui sont très amusantes.


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Illustration :

Image du livre d’Ernest Pérochon : Le Livre des Quatre saisons, octobre

Licence d'utilisation : Réutilisation du livre audio soumise à autorisation préalable.
Livre audio gratuit ajouté le 21/02/2025.

4 Commentaires

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  1. Chère amie Marjolaine
    Ah ! Voilà enfin votre beau commentaire que vous m’aviez annoncé et que je guettais. ! Votre analyse de ce conte est excellente. C’est vrai, Pérochon, Inspecteur de l’Enseignement primaire, connait bien les enfants et les aime. Tout en les amusant avec les facéties de Makoko, il leur donne une grande leçon de tolérance et de respect pour les autres. Et la fin conclut heureusement l’histoire.
    Je suis ravie que vous aimiez ces contes écrits pour les jeunes élèves des écoles, mais que ceux qui ont gardé leur jeunesse de coeur savent apprécier. Je vais donc enregsitrer d’autres histories d’animaux écrites par cet auteur.
    Je vous remercie chaleureusement pour ce message qui m’a fait tant plaisir.
    Toutes mes amitiés
    Cocotte

  2. Chère Marjolaine.
    Alors, votre beau commentaire a disparu ? Quel dommage ! J’espère que vous le récupèrerez rapidement. Cela me fera plaisir de savoir que Makoko vous a amusée !
    Amitiés.
    Cocotte

    1. Chère Cocotte, j’ai bien tardé à écrire un commentaire en me souvenant de ce qui m’avait tant plu dans ce texte que vous avez si bien lu, comme d’habitude !
      Je ne sais pas si Ernest Pérochon serait content de savoir comment je perçois ce texte! Il a quelque chose de surréaliste, de saugrenu et d’improbable qui me ravit.
      Pour créer un intérêt chez les élèves, je pense (?) tout en leur apprenant beaucoup de choses importantes sur les nouveautés de la modernité en matière technique, il campe une situation “imaginaire” fantaisiste: des animaux, dont la langue m’enchante, avec chacun un caractère singulier et des réparties savoureuses, dans une usine, avec les parties de production et les parties bureaux. Ce petit monde accueille Mokoko différemment, puis se laisse séduire par la fraicheur et l’ingénuité du petit singe. Celui qui l’a rapporté “dans ses bagages” suite à un voyage en Afrique, le frère, explorateur, du directeur de l’usine, se montre d’un “laxisme” incroyable, sauf à une exception, vis à vis de son protégé. La fin est parfaite.
      J’aime beaucoup que par souci de donner des “leçons de classe” plaisantes, cet inspecteur sache si bien plonger dans la magie de l’enfance, folle et poétique sans le savoir, et donne cette langue merveilleuse à des animaux. Merci beaucoup encore, chère Cocotte. Amitiés de Marjolaine.

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