La Montre du doyen est un conte policier.
« Le jour d’avant la Noël 1832, mon ami Wilfrid, sa contre-basse en sautoir, et moi mon violon sous le bras, nous allions de la Forêt Noire à Heidelberg. Il faisait un temps de neige extraordinaire; aussi loin que s’étendaient nos regards sur l’immense plaine déserte, nous ne découvrions plus de trace de route, de chemin, ni de sentier. »
« On arrête tant de monde, tant de monde depuis quinze jours ! Le pro-recteur a été assassiné dans la bibliothèque du cloître Saint-Christophe hier soir. La semaine dernière on a pareillement assassiné le vieux sacrificateur Ulmet Élias, de la rue des Juifs ! Quelques jours avant, on a tué la vieille Christina Hâas et le marchand d’agates Séligmann ! »
franchement je l’ai eu le livre a lire et il y a la nouvelle la montre du doyen, je l’ai bien aimée
quand on lis on a envie de savoir la fin c’est très interessant si vous voulez le livre que j’ai lu il s’appelle la dimension fantastique 1
Merci Monsieur Depaase, formidable. Elisabet
Merci M. Depasse.
Chers amis je pensais que j’étais la seule qui écoutais M.Depasse pour chasser les insomnies…C’est un grand service qu’il nous rend ,l’écouter, et s’endormir, si j’oserais je dirais que j’ai découvert un nouveau grand-père, pour ceux qui habitent le Québec je trouve que M.Depasse à une voix semblable à grand-père Cailloux (un grand commédien pour les enfants de ma génération)
eh bien moi aussi je m’endors alors je recommence chaque fois et je fini par connaitre la fin merci pour ce beau travail. bonne année de lecture
J’ai pas encore tout écouté. Parfois, je m’endors avant la fin (Comment puis-je m’excuser. C’est comme les plus petits … . J’avais cru comprendre qu’il y avait au moins deux parties. Ah lala, faut pas vieillir …