Emma Orczy - Le testament de Sir Jeremiah

Le testament de Sir Jeremiah

La seconde épouse de Sir Jeremiah l’avait rendu extrêmement malheureux pendant trois ans, puis elle avait fini par s’enfuir avec le comte de Flintshire.

C’est de la fille de ce même comte que le petit-fils de Sir Jeremiah, le capitaine Hubert de Mazareen était tombé amoureux. Lorsqu’il annonça à son oncle qu’il voulait épouser la jeune fille, personne ne sut ce qui s’était passé pendant cet entretien, mais le capitaine quitta la maison pour ne plus revenir.

Sir Jeremiah avait donc fait venir auprès de lui le fils qu’il avait eu de son second mariage et qu’il avait négligé depuis sa naissance.

Quelque temps après, l’avocat de Sir Jeremiah est retrouvé, assassiné, dans le parc du château. On retrouva sur son corps un testament déshéritant le capitaine de Mazareen, qu’il venait faire signer par le milliardaire.

Traduction : Oxymoron Éditions. Merci au traducteur pour son aimable autorisation..

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couverture de la première édition du livre

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Livre audio gratuit ajouté le 07/09/2024.

4 Commentaires

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  1. Salutations, dame Cocotte,
    Salutations impertint Gambilleur,

    Point n’ai lu Emmuska Orczy, insuffisamment classique à mon goût. Là n’est pas la question. La question, c’est pourquoi le gars monté sur ressorts, le Zébulon siffleur de pastaga, le sieur Sautillant, s’amuse encore et toujours à me chercher, à chercher Parrain, à chercher les coups de bâton ? Un masochiste ? A coup sûr. N’y allons pas par quatre chemins : il n’ y a qu’un seule Molly, qu’une unique Molly, c’est Molly Blum, la Pénélope infidèle de Léopold Bloom. Et de Molly Bloom à Nora Barnacle Joyce, il n’y a même pas un millième de largeur de pas de fourmi (sans pas de deux, que de “de” !). L’épouse de l’écrivain génial est génialisssime, ne serait que par sa liberté. Il faut lire les lettres que lui adressa son époux, d’une obscénité littéraire comme on en lit peu. Il faut espérer que l’on retrouve, si elles existent encore, celles de l’épouse. A n’en pas douter, elles sont du même tonneau. On y boira et reboira sans soif.

    En janvier 1941, grâce un carré (ou un rectangle) de verre, on pouvait voir le visage de James Joyce dans son cercueil. Alors qu’on le portait en terre, Nora s’écria “Que tu es beau, James ! Que tu es beau !” S’il est un cri de génie, c’est celui-ci !

    Gloire aux plus sublimes des Irlandais !

    Cordialement,

    Parrain Marcanaille Crapule.

    1. Cher Parrain!
      Désolée que vous trouviez Lady Molly insuffisamment classique à votre goût ! Probablement vus préfèreriez un détective plus classique, mais toutes ses aventures sont déjà dans la bibliothèque de Littérature audio. Je suis en train d’enregistrer un nouveau policier, plus classique, que vous aimerez peut-être. Il me faudra trois semaines environ pour le terminer. Je vous l’offrirai en octobre.
      De toute façon, si quelque chose ne vous plaît pas quelque part, cher Parrain, vous avez tout ce qu’il faut pour vous défendre. Tremblez, vous tous, qui encourrez le moindre froncement de sourcils du Parrain Crapule!
      Très cordialement
      Une de nos filleules.
      Cocotte

  2. Chère COCOTTE… Bonjour…

    ” Et maintenant , Mary , nous allons prouver son innocence. “…
    Et alors ? … et alors ?… et alors ?… s ‘ exclament les auditeurs…. suspendus à vos lèvres purpurines… Cruelle COCOTTE !… Il doit y avoir une suite… et vous ne nous l’ annoncez pas !… Notre baronne… passe… pour être une… qui ne se casse pas trop la nenette ( elle est la seule à croire… aux pouvoirs de deduction inouï… de sa Lady MOLLY… )… mais quand même pas… au point… de nous laisser en plan comme ça… sans même une pirouette !… Non… c ‘ est totalement impossible !… Il doit y avoir une suite où….
    Alors… MOLLY est arrivée… ée… ée… sans s’ presser… er… er… la grande MOLLY… la belle MOLLY…
    Dites-le nous COCOTTE… dites-le nous vite… vite… Nous mourons d ‘ envie… de la connaître cette suite !…

    1. Cher Sautillant
      Ah! Je savais bien que vous auriez envie de connaître la fin de l’histoire. Et que vous ne seriez pas le seul! C’est pourquoi j’ai vite envoyé la conclusion, qui montre encore et toujours l’intuition et l’intelligence de Molly… quoique, cette fois, elle a mis plusieurs années avant de découvrir le coupable ! C’est beau, la fidélité, quand elle survit à l’absence! Merci pour votre commentaire, plein de votre humour que j’aime tant! Vous pétillez et répandez les sourires, cher ami ! Mon plus cordial et affectueux salut!
      Cocotte

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