Retrouvons la jeune Lady Chester, maintenant sur le point d’accoucher, et les charmantes filles Hopkinson dont les charmes honnêtes et simples vont bientôt conquérir les plus brillants partis, sans oublier la pauvre Rachel, dont la fortune semble menacée par les agissements de son oncle peu recommandable…
« La Maison mitoyenne » (The Semi-Detached House, 1859) est un roman fin et léger, aux dialogues brillants, imprégné à chaque ligne d’humour anglais, qui ravira les amateurs de romans victoriens.
Il n’a jamais été publié en français, et nous sommes fiers de vous en offrir la toute première traduction.
Retrouvez ici la première partie de La Maison mitoyenne.
Giovanni Costa (1826-1903), Deux jeunes filles chantant.
Léo Delibes (1836-1891), Sylvia, Pizzicato, piano arrangement, interprété par Markus Staab (licence CC BY 3.0).
Mais quel régal ! Un grand bravo pour votre traduction et votre interprétation si vivantes, si pétillantes. Je ne cesse de sourire depuis hier ! J’ai ri et espéré avec les personnages, l’impression de vivre parmi eux. Quelle tristesse de les quitter (mais ce post-scriptum est tellement drôle). Merci infiniment pour cette belle découverte et pour votre travail.
Merci Sophie, à mon tour d’avoir le sourire jusqu’aux oreilles en vous lisant. Si vous avez aimé la verve et l’esprit de ce petit roman charmant d’Emily Eden, sachez que Pauline et moi pensons de plus en plus sérieusement à nous attaquer à la traduction de “The Semi-Attached Couple”, du même auteur. Mais chut ! c’est encore un secret…
Oooooh ! Ce serait une excellente nouvelle 🙂 Décidément, ces sourires sont contagieux. Je ne voudrais pas réclamer alors je me contente de vous envoyer tous mes encouragements si vous vous lancez. Merci à tous les deux pour ce que vous faites !
Première grosse difficulté de traduction dès le titre. Surtout pour ceux et celles (bien plus âgés que nos deux com-pères/mères) qui ont connu la vraie TEFAL !
Merci beaucoup Sophie pour votre message très motivant ! Quant à vous, cher JPB, toujours fine mouche – quand vous n’êtes pas mouche du coche 🙂 – je vous avouerais que le titre a longtemps été pour nous en effet, un motif de découragement. Nous n’avons d’ailleurs pas encore résolu ce problème, que votre métaphore culinaire nous aidera peut-être à trancher… “Le couple qui accroche à moitié au fond de la Tefal”, bien que peu victorien, aurait l’avantage de rappeler la non-demande en mariage de Brassens : “Au diable les maîtresses queux / Qui attachent les cœurs aux queues /Des casseroles…”
Avez-vous pensé au ruban adhésif Téflon ? Il présente, d’après sa notice d’utilisation, “une remarquable combinaison d’adhésion à des surfaces antiadhérentes ou quasi inertes (souvent présentes dans le couple), de résistance à la température et d’antiadhérence”. Bref, il adhère sans adhésion, c’est le “couple téflon” !
Quel bonheur d’attendre avec impatience la 2ème partie… Et pendant ce temps, j’ai écouté encore et encore ce petit bijou de 1ère partie… et puis la 2ème partie est arrivée, encore bien plus vite que je ne l’espérais.
De merveilleuses heures d’écoute, le résultat est si parfait, mais je n’ose imaginer le travail, depuis la traduction, jusqu’à ce que nous dégustions cette fantaisie à quatre mains, si délicate et malicieuse.
Chère Michèleemilie, nous voilà bien récompensés par vos messages à tous. C’est un véritable honneur que vous nous ayez écoutés plusieurs fois, merci du fond du coeur !
Chère Pauline et cher Vincent, je joins mes félicitations au concert d’éloges ci-dessous. Quel travail fantastique de traduction, d’interprétation et de montage. Il faut dire que le texte le valait bien ! C’est d’une délicieuse et impertinente drôlerie. A l’écouter, je me faisais la remarque suivante, que le rythme et la forme de ce roman lui procurent de très étranges similarités avec nos sitcoms contemporaines.
Mais j’imagine que la manière dont vous vous êtes prêtés à ce jeu de dialogues n’est sans doute pas étrangère à cette impression ?
Cher Bruant, merci beaucoup pour votre commentaire ! Nous nous sommes plutôt efforcés d’être victoriens que contemporains, mais la modernité et la théâtralité de l’oeuvre ont dû faire le reste…
🌸Chers vous deux ! Un vrai bonheur que de vous écouter… On croirait vous voir sur une scène de théâtre tant les dialogues rebondissent délicieusement ! (⏓◡⏓)
On ressent bien le soin et le plaisir que vous avez déployés pour nous livrer une telle performance !
La traduction, si bien réussie, est une musique à l’oreille ♪* ♫ BRAVO ET MERCI ! ♪* ♫
Merci Lïat ! C’est un plaisir que la traduction vous plaise. C’est beaucoup de travail, mais beaucoup de plaisir aussi, beaucoup d’émulation et d’échanges entre nous deux, de recherches lorsque nous bloquons sur une expression surannée… Votre enthousiasme fait chaud au coeur. Il est notre salaire. Merci beaucoup !
Merci à vous ! Oui, c’était un vrai plaisir, en effet, que ce quatre mains pizzicato avec Vincent – et si le plaisir est contagieux, eh bien, que demander de plus ?
Excellent, Pauline, mais mollo sur la pizza !
Chère Pauline, cher Vincent BRAVO et MERCI pour votre éblouissante, extraordinaire et merveilleuse lecture de ce roman si fin, gai, léger, alerte, tendre, émouvant, drôle… Que du bonheur ! J’ai adoooré !!! Pauline vous êtes une comédienne époustouflante ! Je suis encore ébahie par votre performance. Vous avez vraiment tous les talents. Encore merci à tous les deux. Un seul regret, c’est déjà fini… J’attends déjà impatiemment vos prochaines lectures respectives… Ou communes. A bientôt j’espère.
Chère Claryssandre, c’est un bonheur de lire votre commentaire ce matin. Cela valait la peine d’attendre ! Un immense merci à vous, ainsi qu’à Vincent qui a non seulement découvert ce roman mais aussi pris en charge l’énorme travail de montage !
Oui, merci à vous de ce retour très positif 🙂 !!! Nous nous sommes bien amusés, et il faut croire que cela s’entend…
Pour ma part, déjà quelques répliques cultes dans l’interprétation que fait Pauline de la Baronne Sampson !
Nous voilà bien, par votre sympathique retour, payés de notre travail 🙂
Je plussoie 👍 au message de Claryssandre ! Bravo pour cette lecture – et la traduction ! – à deux voix, vive, alerte, drôle, fluide. Vous m’avez tenu compagnie pendant un très long voyage, que je n’ai pas vu passer grâce à vous.
Merci Gaëlle, de ce fort agréable plussoiement :-). Il est vrai que c’était une belle trouvaille que ce petit roman, ce petit univers victorien si charmant où nous nous sommes si bien sentis !
Merci chère Gaëlle ! C’était la première fois que nous traduisions un livre sans filet, c’est-à-dire sans traduction existante, et je suis vraiment contente que nous nous en soyons si bien sortis ! Heureuse aussi de vous avoir tenu compagnie dans votre voyage – je profiterai moi-même de votre compagnie très bientôt, dès que j’aurai fini mon livre en cours, car l’évocation de Jane Austen et de Balzac pour parler de La Vigne et la Maison a achevé de me donner envie de l’écouter ! À très bientôt, donc, sur votre page…
Merci beaucoup ! Une œuvre très fraîche, pleine de douce ironie (d’autant plus efficace) et une interprétation parfaite, rendue encore plus vivante par le jeu à deux voix. Vous pouvez recommencer quand vous voulez, on vous écoutera les yeux fermés 😉
Merci EclatduSoleil, heureuse de vous retrouver… Oui, c’est un texte très frais et très léger ! Emily Eden a, de fait, écrit un deuxième roman intitulé “The Semi Detached Couple”… Mais nous avons l’un et l’autre beaucoup d’autres projets sur le feu pour le moment. 🙂
BRAVO ! Voici l’autre partie de la maison… Était attendue avec hâte ! MERCI À VOUS !
Entrez donc, Lïat, vous prendrez bien une tasse de thé avec nous ?
Quelle belle invitation, cher Vincent: certainement,
je prendrai volontiers une bonne tasse de thé vert avec vous…
J’apporterai même les scones😉
Un grand merci à vous deux, chers Pauline et Vincent, pour ce charmant pas de deux qui m’a enchantée 😊!
Merci à vous, Galilée, comme c’est joliment dit !
Chère Pauline, cher Vincent,
Wouah! Tout est parfait : la traduction, l’interprétation, la musique! Superbe publication! Un très grand merci pour ces belles heures d’évasion que vous m’avez procurées!
Cocotte
Merci de votre retour Cocotte, votre avis compte beaucoup !
Merci de nous permettre de découvrir cette oeuvre ! J’attends toujours la publication complète et j’ai hâte de vous écouter.
Bon dimanche et 8 mai.
Merci Marie, nous vous souhaitons une agréable écoute et sommes très heureux que vous puissiez maintenant écouter ce roman charmant dans sa totalité ! A très bientôt !