1er tome du cycle : Les Trois Villes, qui sera suivi de Rome et Paris.
Zola peint :
« un monde de croyants hallucinés…
le besoin de surnaturel persistant chez l’homme malgré les conquêtes de la science »,
les escroqueries de la guérison,
les rivalités dans le monde ecclésiastique,
le lucre engendré par le succès de la grotte.
Vue générale de Lourdes et de son sanctuaire marial depuis le château fort (source : Wikipédia).
François Couperin, Trois Leçons de Ténèbres pour le Mercredi Saint-Office des Ténèbres de la Semaine Sainte -Trois Leçons de Ténèbres du Mercredy, 02 Deuxième Leçon, interprété par Hugues Cuénod, G. Sinimberghi, F. Holetschek, R. Harand (1955, domaine public).
Gabriel Fauré, Requiem Op048, 04 Pie Jesu en si bémol majeur, interprété par Maurice Duruflé, Giselle Peyron, Doda Conrad et les Choeurs et Orchestre Nadia Boulanger (1948, domaine public).
Franz Schubert, Ave Maria Ellens Gesang III, Poème de Sir Walter Scott D839 Op052, interprété par Elisabeth Schwarzkopf et Giorgio Favaretto (1952, domaine public).
Frédéric Chopin , Andante Spianato et Grande Polonaise Brillante en mi bémol majeur, interprétés par Samson François, sous la direction de Georges Tzipine (1959, domaine public).
Je m’associe pleinement aux remarques de Christiane, en date de mai 2011,tant en qui concerne l’oeuvre inspirée de l’incroyant Zola que sa remarquable interprète.
Merci, Chère Pomme, merci.
(Je suis maintenant à Rome
en votre aimable compagnie …)
Greta, je suis sincèrement touchée par vos compliments infiniment doux à lire!!! Quelle récompense pour moi. Vous avez toute ma reconnaissance.
Pomme
Chère Pomme,
Il y a longtemps que je voulais vous remercier pour vos dons de voix, et pour vos dons tout court! Vous savez faire ressortir d’un texte ses finesses et ses ironies, et dans ce texte particulièrement, les non-dits sous votre timbre prennent tout leur sens. Un régal, véritablement, vous servez ces lignes avec intelligence et tact, sans lourdeur, sans pathos ; je ne crois pas qu’on puisse faire mieux. Merci infiniment.
On ne sait comment vous remercier pour toute cette lecture.
Aujourd’hui c’est mode de critiquer la religion catholique. Je trouve souvent les réflexions anti-catho vulgaires ou redondantes…
Je suis toujours agréablement surprise par les réflexions toute en nuance des grands penseurs. Même si Zola associe la foi avec un manque de raison, il parle avec un profond respect des grandes figures de la sainteté. Il fait preuve d’une compassion tendre pour toutes les misères du monde. Il ne porte pas de jugements trop durs sur la médiocrité humaine.
Forcément l’auteur pointe du doigt les mystères de Dieu qui remettent en question son existence, mais il le fait sans haine.
Je retiens un passage du livre particulièrement beau: celui où Zola fait parler Lazare
En revanche, j’avoue avoir eu du mal à arriver au bout du roman. Heureusement, votre lecture m’a beaucoup aidé à ne pas lâcher l’affaire.
Merci à vous Pomme.
Chère Pomme, je termine à peine l’écoute des deux premiers chapitres, et je suis déjà captive. J’en profite pour vous remercier et vous féliciter, car j’ai écouté il y a plusieurs années tous les Rougon-Macquart, et vous êtes pour moi la voix de Zola… J’ai beaucoup de plaisir à vous retrouver tous les deux en grande forme!
Un régal tout au long de cette lecture ! surtout ne changez rien! les images viennent en fermant les yeux!
merci Pomme..
Bien qu’elle ne fasse pas partie du cycle des Rougon-Macquart, cette oeuvre est, à mon sens l’une des plus touchantes et des plus intéressantes de Zola.
L’abbé Pierre froment est ici l’interprète de la pensée intime de l’auteur, bien qu’on dise ici et là que Zola reste neutre.
Cet ouvrage est à lire ou à écouter impérativement !
Merci, chère Pomme, pour cette lecture magistrale dont on ne se lasse jamais !
Merci beaucoup Pomme.
Encore un roman de Zola que vous lisez merveilleusement !