On retrouve souvent dans les œuvres d’Edmond Rostand une recherche de la perfection, de la beauté et une grande passion pour l’idéal. Ici encore dans ce recueil de poésies, parfois simples, parfois graves, il nous apporte un sublime rêve de sa réalité et « Mollement couché, des coussins au dos, On goûte une joie : On ne voit plus rien, entre les rideaux, Que le ciel de soie » (Le Divan).
Rostand nous ballade dans son recueil au nom si riche de significations cachées : des bagatelles, des rêves, de la douce flânerie… Bateleur, jongleur, il se fait amuseur public mais dévoile également « des tristesses » et bien sûr, tour à tour inspiré et inspirateur, il nous inspire à son tour et les muses des Musardises prennent un nouveau jour et deviennent un peu les muses qui amusent le lecteur.
Dommage que les poèmes sont inaudibles.On a l’impression que le son a été enregistré dans un tonneau.
Edmond Rostand méritait mieux.
merci beaucoup pour cet enregistrement
bien cordialement
Gauthier
Mais quelle voix !! j’aimerais bien écouter votre voix d’autres. merci bien pour ce moment agréable qui je passais avec vous.
Bonsoir chère Carole Bassani-Adibzadeh ,
Merci votre intervention ,
Amitiés ,
Ahmed
Cher Ahmed,
Merci pour votre message !!!
L’archive zip a été reconstituée et rechargée.
Bien amicalement,
Carole
Bonsoir chère Prudence ,,,
Impossible de télécharger et décomposer le fichier ZIP !!!
Cordialement,
Ahmed