Une longue nouvelle d’amitié dans l’Italie sous le joug autrichien par Edith Wharton (1862-1937) parue en feuilleton dans le journal Le Gaulois du 10 au 24 novembre 1908.
Traduction : Jane Chalençon (1861-1919).
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Marie-Dominique-Auguste Sibour (1792-1857) par Ary Scheffer (1795 –1858)
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Livre audio gratuit ajouté le 19/04/2024.
Merci Daniel d’avoir déniché et interprété un nouveau Edith Wharton, assez original d’ailleurs avec sa dimension politique que je ne me souviens pas avoir jamais trouvée dans son oeuvre. Plus que l’histoire d’amitié qui ne m’a guère convaincue ce qui m’a beaucoup intéressée c’est la description du faubourg ouvrier italien de New York. Quant au secret, oh la la, c’est énervant, on voudrait plus d’indices ! J’ai mon idée mais, bien sûr, je ne veux pas faire de spoiler…
Ah, que j’aimerais proposer davantage de Miss Wharton, Sylve, mais vous le savez sans doute, peu de traductions sont dans le domaine public… En tout cas, celle-ci est plaisante. Merci pour votre mot.
Merci pour ce texte et votre belle voix
Et revoici clerget ! Merci.
Cher Daniel, j’ai écouté votre belle lecture avec beaucoup d’intérêt. Cette nouvelle a un certain nombre de points communs avec Veiller sur Elle, le Goncourt 2023, que j’ai beaucoup aimé… Je reste cependant songeuse sur le titre, car le secret me paraît être non celui d’Edigio, mais plutôt celui de Roberto, ou même de Faustina – en tous les cas, un secret que le lecteur ne réussit pas à percer… Merci à vous.
Merci Pauline, je prends bonne note : Veiller sur elle de Jean-Baptiste Andrea…
Mille mercis à vous, quel talent !
Je vous en prie, sauger !
Auditeur de Littérature Audio depuis plusieurs années, j’ai remis à jour un mot de passe spécialement pour vous remercier de vos lectures. Votre lecture est claire, d’un ton juste et sobre me permettant de profiter pleinement du texte. J’apprécie également beaucoup vos choix. Un très grand merci.
L’hommage que vous me faites, Harvey, est réjouissant car vous résumez en trois mots mon éthique de lecture. Un grand merci.