Dans le New York flamboyant de la fin du XIXe siècle, Newland Archer est un jeune homme bien éduqué de la haute bourgeoisie. Promis à un avenir brillant, il est sur le point d’annoncer ses fiançailles avec la pure May Welland, quand, à l’Opéra, tous les regards se tournent vers une loge… L’apparition de la belle comtesse Olanska, la scandaleuse cousine de May qui a eu l’audace de quitter son mari et dont l’indépendance, en ce temps-là, est considérée comme impardonnable, va bouleverser sa vie. Comment, dans une société qui broie les êtres et sacrifie les amours, peut-on préserver l’innocence ?
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Edith Wharton.
J’ai fait un test sur les premières pages. Cela m’a paru acceptable pour un lecteur français, mais en cherchant sur Librivox, j’ai trouvé cette version :
https://librivox.org/the-age-of-innocence-by-edith-wharton/
Contre Miss Brenda Dayne, je ne peux pas lutter…
Bonne écoute, Claude !
Pourquoi pas ? Quelle bonne idée si rien ne s’y oppose !
J’ai parcouru le texte, il est étoffé mais fluide aussi.
Je ne sais s’il y aura des amateurs, en tout cas j’en suis !!!
Si j’osais enregistrer l’oeuvre dans le texte original…
Pour prolonger ce plaisir de lecture, je viens de recevoir la version anglaise (Penguin Classics).
J’espère y retrouver les charmes de la traduction, bien armée d’un bon dicco,(risques de vocabulaire perdu…)
Bonne journée à vous et bel été
Oh oui et de tout cœur !
Et si, de surcroît, Madame Claude Bérenger, nous rendions tous deux hommage à l’élégance de la traduction (anonyme !!) ?
Merci beaucoup, Monsieur Luttringer, pour le choix de ce beau texte d’évocation de lieux, d’époque et de personnes passionnants et dont la précision de l’écriture me conduit, paradoxalement, à une rêverie inattendue et bienfaisante.
Et que dire de votre élégante lecture qui le soutient simplement, sinon un grand merci encore !
Une auditrice, Claude Bérenger
Quel bon roman! Quel bon lecteur! Quelle belle voix! je me régale.
Merci et bravo.
Marie-Ange Bataillé
Cher monsieur,
Delphine a volé mes mots d’appréciation !
Bravo et merci pour votre magnifique lecture 🙂
Cher monsieur Daniel,
Une autre version de ce magnifique roman:on ne va pas s’en plaindre…
Deux belles voix masculines: les dames sont enchantées!
J’ai aussi eu beaucoup de plaisir à écouter votre lecture de “La Princesse Oghérof” .
Vous faites de très bon choix (à mon goût, cela dit!)
Vous ne pouvez que vous féliciter d’avoir joint les rangs des lecteurs de ce site formidable.
Bravo! 🙂