Il est évident que Charles Baudelaire poète n’a pas dû vibrer de tout son être en traduisant Le Cottage Landor.
Ce conte de Poe, Le Cottage Landor, peut avoir été inspiré par son propre cottage.
Un ami de longue date de Poe a écrit : « Le cottage avait un air de goût et de distinction… Le plus soigné, le plus pauvre, le moins meublé, et pourtant le plus charmant logement que j’ai jamais vu ». Dans une lettre à un ami, Poe écrit lui-même : « L’endroit est beau ». Maria a écrit plus tard : « C’était le plus doux petit cottage qu’on puisse imaginer. Oh, comme nous étions suprêmement heureux dans notre cher cottage. »
Cette description rigoureuse du lieu, de sa superficie, à un pied ou à un yard près est un document intéressant mais dont la poésie n’éclate pas à chaque détour du long chemin d’accès…
Merci beaucoup pour cette agréable lecture !
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