En pleine nuit, des cris effrayants réveillent les habitants de la rue Morgue, à Paris. Ils vont bientôt découvrir les cadavres atrocement mutilés d’une jeune fille et de sa mère. Des meurtres qui auraient pu rester inexplicables, sans la présence d’Auguste Dupin, un jeune et brillant détective amateur…
« Peu de temps après cet entretien, nous parcourions l’édition du soir de la Gazette des tribunaux, quand les paragraphes suivants attirèrent notre attention :
« DOUBLE ASSASSINAT DES PLUS SINGULIERS. – Ce matin, vers trois heures, les habitants du quartier Saint-Roch furent réveillés par une suite de cris effrayants, qui semblaient venir du quatrième étage d’une maison de la rue Morgue, que l’on savait occupée en totalité par une dame l’Espanaye et sa fille, mademoiselle Camille l’Espanaye. Après quelques retards causés par des efforts infructueux pour se faire ouvrir à l’amiable, la grande porte fut forcée avec une pince, et huit ou dix voisins
entrèrent, accompagnés de deux gendarmes. »
Il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Daniel Urrabieta Vierge, The Murders in the Rue Morgue (1857)
Once more, Pahinda !
Encore une fois merci!
Le narrateur vous remercie, Jérémy !
Nouvelle intéressante, très bien narrée. Merci bien 🙂