Bonheur au jeu procède comme tous les contes d’Hoffmann par récits enchâssés et par mise en abyme. Le titre « Les malheurs au jeu » conviendrait mieux à ces désastres physiques et moraux provoqués par cette passion.
« Qui ne sait pas que dans ces réunions des bains, où chacun, distrait de ses habitudes, se livre avec préméditation à une oisiveté indépendante, et n’a souci que des plaisirs qui délassent l’esprit, le charme attrayant du jeu devient irrésistible. On voit alors des gens, qui hors de là ne touchent jamais une carte, assis autour du tapis vert comme les joueurs les plus zélés ; et d’ailleurs le bon ton exige, du moins dans la classe la plus distinguée, qu’on se montre chaque soir dans les salons de jeu, et qu’on y perde quelque argent. »
Source Pixabay.
Jai du lire sa a cause du college mais j’ai pas tros acroche
C’est du René Depasse, je prends, les yeux et les oreilles fermés.
Prenez, prenez, prenez ; écoutez et archivez, vous ne savez pas de quoi demain sera fait.