En ce temps de commémoration de la défaite de Waterloo, cette notice nous rappelle les faits à l’origine de la bataill de Leipzig (3 ans plus tôt).
« À la suite du désastre de la campagne de Russie de 1812 et le retrait des troupes françaises jusqu’à l’Elbe, où, malgré leurs efforts, elles furent ramenées en abandonnant les territoires de la Pologne et de la Prusse, cette dernière trahit l’alliance conclue avec la France et passa du côté des Russes. Une nouvelle coalition armée naquit, regroupant l’Angleterre, la Russie, la Prusse, ainsi que la Suède, que le prince héritier, l’ancien maréchal Bernadotte, rallia pour la Norvège qu’on offrit à son nouveau pays en prix de la trahison de son ancienne patrie. À la suite de préparatifs gigantesques, Napoléon réarma et se porta sur l’Elbe dont il allait faire sa base d’opération. » (Wikipédia)
Le vieux baroudeur Anselme aime divertir ses amis. Il a été témoin et acteur de la bataille :
« Popowicz voulait m’assommer, mais la nymphe argentée des eaux me sauva la vie… Ô Agafia !
À ce nom, Anselme avait coutume de s’élancer de sa chaise, de courir et de sautiller deux ou trois fois, et de se rasseoir ensuite. Il était parfaitement inutile de demander à Anselme ce que signifiaient ces simagrées et ces bizarres discours ; il se contentait de répondre :
– M’est-il possible de vous raconter tout ce qui m’arriva avec Popowicz et Agafia sans me faire passer pour un fou ? »
et ce sont les souvenirs de ce « fou » que ce nouveau conte Agafia d’Hoffmann nous rapporte.
« Voilà tout ce que raconta Anselme de cette merveilleuse aventure. On n’en put jamais savoir davantage. »
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