Les Quarante-cinq, rédigé entre 1847-1848 avec l’aide de Maquet, est le troisième roman de la trilogie des Valois, faisant suite à La Reine Margot et La Dame de Monsoreau. Les Quarante-Cinq, gentilshommes gascons engagés par d’Épernon pour la garde d’Henri III, y tiennent d’ailleurs moins de place que les personnages de Chicot et de Diane de Monsoreau. Dumas prend ici bien des libertés avec les dates et les faits historiques, réunissant pour les besoins de sa narration la prise de Cahors par Henri de Navarre, la déroute d’Anjou devant Anvers ou la mort de ce prince. Le roman
Elway Bevin (1554-c.1639), Browning, interprété à la guitarre par Jon Sayles.
Anonyme, Fantasia, interprété à la guitarre par Jon Sayles.
Anonyme, Die Katzenpfote, interprété à la guitarre par Jon Sayles.
Les extraits proposés par Jon Sayles sur son site sont en téléchargement et réutilisation libres dans le but de promouvoir la musique ancienne.
Je viens de rétablir votre message.
Cordialement
Bonjour Gustave, je vous ai mis un commentaire récemment (le 31 décembre, je crois), ayant été enchantée de l’écoute de l’oeuvre mais à peine était-il envoyé que j’ai reçu un message m’informant qu’il était classé dans les spams.
Ce doit être une manigance de la reine !
Merci Gustave pour ces heures de plaisir à suivre la trilogie de Dumas grâce à votre excellente lecture. Pendant les grèves de transport c’était un formidable stimulant pour la marche à pied !
Pour ma part je trouve ce dernier tome très plaisant, avec sa variété d’intrigues et de registres : beaucoup d’humour surtout autour des personnages de Chicot et Henri de Navarre, de l’amour romantique, de sombres drames, deux formidables descriptions de batailles dans leur contexte historique et puis cette étrange galerie de personnages mélancoliques : le roi solitaire inconsolable de la perte de ses mignons, le comte du Bouchage amoureux masochiste “Mon malheur est sans remède car c’est mon malheur qui fait ma seule joie”, Sainte-Maline l’envieux et ses aveux étonnants à Ernauton de Carmainges dont il est furieusement jaloux “J’ai toutes les passions à un degré de honte et de malheur indicible : j’adore une femme dès qu’elle aime un autre que moi ; j’aime l’or quand c’est une autre main qui le touche”. Je trouve qu’il y a dans ce roman, insérés dans la fantaisie romantique, des passages d’une étrange profondeur psychologique.
Et tout cela évidemment est mis en valeur par votre diction claire et nuancée.
Je regrette que Dumas n’ait pas écrit la suite !
En tout cas merci à vous et bonne année !
Malgré ce que m’avait dit M. Vincent de l’Épine, je ne parviens pas à vous adresser mes remerciements longs. Dès qu’ils dépassent le mot “envoyer” sur lequel je peux cliquer, je ne peux plus rien envoyer justement. La belle affaire! me direz-vous, sachez être brève et éloquente à la fois.
Un grand merci, Gustave. Comme plusieurs personnes avant moi, je suis déçu par le roman qui se termine abruptement et qui donne l’impression que l’auteur ne savait pas vraiment où il voulait aller. Mais lecture prenante, vivante. Superbe !
Et voila, j’ai fini les Quarante Cinq. Lecture toujours aussi agréable à écouter, mais le récit en lui même, de Dumas & Maquet est décevante. 🙁
Merci beaucoup 😉
Très cher Gustave !
Mille merci pour votre lecture qui tient, sans contredit, d’un oeuvre d’art audio-sensoriel !
Alexandre Dumas, j’en suis certaine, vous aurait félicité personnellement ,de votre travail si rigoureux ! Votre diction impeccable,votre timbre de voix,le ton si juste pour suivre tous ces personnages avec les accents colorés.(Votre façon de prononcer “puisque”, “et puis”,”puissance”, “cuisine”…est absolument délicieuse pour mes oreilles québecoises !!)Sans conter la qualité d’enregistrement sans faille, puisqu’il n’y a pas de bruit de fond.La musique entre les chapitres est exquise…donc un voyage merveilleux dans cette époque magique !
Bravo !
Depuis que j’ai entendu;Gustave, je ne choisis plus les oeuvres litéraires selon les auteurs, mais selon mon donneur de voix préféré !!!!
MERCI
Danielle xox
Merci Gustave pour cette lecture ! Le roman lui-même m’a déçue mais pas votre lecture. Bien au contraire, c’est toujours un plaisir de vous retrouver chez Dumas ou chez un autre. J’ai vu que vous étiez chez Féval actuellement. Chic ! Je suis sure que votre manière de lire fera merveille chez cet auteur. Bon enregistrement !
Amicalement,
Plume
Belle voix, Gustave. Bravo !