Dostoïevski, après sa première crise d’épilepsie, écrit cette nouvelle en 1848.
« Un matin, comme j’étais déjà prêt à partir pour mon bureau, Agrafena, à la fois ma cuisinière, ma blanchisseuse et ma femme de chambre, entra chez moi et, à mon grand étonnement, entama la conversation avec moi. […] »
Traduction : Jean-Wladimir Bienstock (1868-1933).
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Livre audio gratuit ajouté le 28/09/2008.
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Merci beaucoup
Belle et émouvante lecture,je crois que certains textes gagnent à etre écoutés plutot que lus.
excellente lecture, merci ! quelle belle description des remords muets de notre conscience
Merci, monsieur René, c’est le deuxième livre que j’écoute grâce à vous!
Sa lecture m’a plaît beaucoup, j’améliore ma compréhension orale en écoutant ces livres.
grand merci à cette voix qui vous laisse penetrer au fond du récit. le génie de réné de passe n’a d’égale que l’estime due à l’oeuvre des grand qu’il nous interprere