Ces trois fables sur le même thème, ayant pour source Le Vieillard et la Mort d’Ésope (620-560 av. J.C.), attirent notre attention sur la création littéraire et sur l’originalité de chacun des écrivains.
« Un jour un vieillard ayant coupé du bois, le chargea sur son dos. Il avait un long trajet à faire. Fatigué par la marche, il déposa son fardeau et il appela la Mort. La Mort parut et lui demanda pour quel motif il l’appelait. Le vieillard répondit : « C’est pour que tu me soulèves mon fardeau… »
Cette fable montre que tous les hommes sont attachés à l’existence, même s’ils ont une vie misérable. »
Ésope, Le Vieillard et la Mort, traduction d’Émile Chambry (1864-1938).
À comparer :
– Nicolas Boileau (1630-1711) : Le Bûcheron et la Mort,
– Jean de La Fontaine (1621-1695) : La Mort et le Bûcheron,
– Jean-Baptiste Rousseau (1670-1741) : Fable d’Ésope.
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Consulter les versions texte de ce livre audio : Du Vieillard et de la Mort (Ésope) ; Le Bûcheron et la Mort (Nicolas Boileau) ; La Mort et le Bûcheron (Jean de la Fontaine) ; Fable d’Ésope (Jean-Baptiste Rousseau).
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