Le journal Gil Blas, paru de 1879 à la fin de l’été 1914, a publié de nombreux contes dont les auteurs les plus célèbres sont Maupassant et Mirbeau.
En 1877, le journal publia en recueil quelques textes dont sont extraits les quatre morceaux suivants :
– Théodore de Banville : La Dame anglaise,
– Catulle Mendès : Le Prix de la gloire,
– René Maizeroy : Thérèse Vigneaux,
– Paul Ginisty : La Demoiselle en deuil.
Le Prix de la gloire :
Léo Delibes, Pizzicato, interprété par Markus Staab (licence Cc-By-3.0).
La Dame anglaise :
Torley on piano, Sadness of the heart, extrait de l’album Solo piano 7 : Improvisations for a New Age (licence Cc-By-Sa-3.0).
La Demoiselle en deuil :
Johannes Brahms, Violin sonata N2 in G major op38 allegro molto moderato, extrait de l’album On classical, interprété par Paolo Ghidoni et Marino Nicolini) (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
Léo Delibes, Pizzicato, interprété par Markus Staab (licence Cc-By-3.0).
Thérèse Vigneaux :
Music 4 Games, Falling snow-Carsten Jessen, extrait de l’album Ambience (licence Cc-By-Nc-Sa-3.0).
Chère Lyse,
Merci de votre si gentil commentaire.
J’ai un chat qui s’appelle Lutin et participe parfois à mes lectures bien malgré moi.
J’ai beaucoup aimé lire ces textes et suis très heureuse qu’ils vous plaisent
Chère Domi,
J’ai passé de délicieux moments en votre compagnie !
Vous avez une voix tout à fait particulière,
aérienne, onctueuse comme les pas de ma chatte
Lutine !
Merci de ce beau présent !
Bonjour Francine,
Merci de votre commentaire ; je suis heureuse que ces lectures vous aient plu.
Bonjour Domi :
Moi aussi j’aime beaucoup vos lectures. Merci de nous avoir fait partagé ces 4 nouvelles. J’ai adoré.
Bonjour Vincent,
Merci de votre commentaire.
J’ai beaucoup aimé enregistrer ces textes qui étaient aussi nouveaux pour moi.
Les trois que vous citez m’ont fait sourire et que vous ayez apprécié ma lecture me touche beaucoup.
Domi
Bonjour Domi,
Je viens de passer une trop courte heure en votre compagnie et je tenais à vous remercier !
D’abord pour m’avoir fait découvrir ces auteurs, que je ne connaissais que de nom. Ensuite pour la qualité des nouvelles choisies !
La “Dame Anglaise” est d’une drôlerie savoureuse. “Le Prix de la Gloire” est certainement la nouvelle qui m’a plus de plus : elle est un vrai conte dans la mesure où elle est presque une parabole. Quant à “La demoiselle en deuil”, elle est particulièrement savoureuse, et délicieusement immorale.
Un grand merci pour votre lecture parfaite et qui sait apporter la touche de malice indispensable à ces textes.
Vincent