« Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant, voilà le projet de tout honnête homme qui prend la plume, le pinceau ou le ciseau. » Diderot, Essais sur la peinture (1766).
Diderot, à la demande de l’un de ses amis qui dirigeait le journal La Correspondance littéraire, commence des chroniques sur les expositions organisées tous les deux ans par l’Académie royale de peinture et de sculpture. Ces Salons, qui ne sont au départ que de simples jugements critiques d’un amateur éclairé, se transforment au fil des ans en analyses pointues et considérations philosophiques sur l’idée du Beau, le rôle du peintre et de son œuvre. Ils se doublent parfois d’écrits plus théoriques : l’Essai sur la peinture accompagne le Salon de 1765. (D’après la BNF)
Merci,chère Loiselle..
Ce texte figurait dans les suggestions de lecture et j’ai pris plaisir à l’enregistrer. Je suis contente que cela vous plaise.
Quelle bonne idée, chère Domi, d’avoir enregistré ce texte !
…C’est bien ce qu’on appelle “Joindre l’utile à l’agréable.”
Un grand merci chaleureux !
Bonjour, cher Ahmed,
Merci de votre message.Les vacances se déroulent bien et me laissent du temps pour la lecture de textes moins “sérieux”.
J’espère que vous profitez bien de cette période d’été.
Merci encore pour votre gentillesse.
Amicalement.
Domi
Bonsoir chère Domi ,
J’espère que vos vacances se passent bien et aussi votre famille en pleine saison d’été.
Bon courage …
Amitiés sincères ,
Ahmed