Charles-Louis Müller, L'Appel des dernières victimes de la Terreur (XIXe)

Le Roman d’une jeune fille (1770-1794)

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Ernest Daudet, né à Nîmes en 1837 et mort le 21 août 1921, est moins connu que son frère Alphonse. Il se consacre tout d’abord au commerce selon le souhait de sa famille. Voulant devenir écrivain, il finit par aller à Paris. Il a écrit une trentaine de romans qui ont eu beaucoup de succès à leur parution.

« En 1770, un matin du mois de mars, une femme, portant dans ses bras un enfant nouveau-né, descendait la rive gauche du Gardon, petite rivière qui se jette dans le Rhône. […] Après avoir jeté un regard inquiet autour d’elle, l’inconnue se dirigea vers le pont du Gard, dont un kilomètre à peine la séparait. »

Épuisée, la jeune femme meurt en arrivant devant le château de Chamondrin. Le marquis recueille l’enfant, une petite fille, et l’élève en compagnie de son fils. Les années passent, heureuses. Mais la Révolution Française approche, ainsi que la Terreur…


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Livre audio gratuit ajouté le 09/11/2018.

13 Commentaires

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  1. au pays des Daudet, Cocotte est la reine bien sur !
    un récit attachant qui mérite d’être connu …merci Cocotte!

  2. Et oui, chère Christiane, le choix était difficile, entre deux jeunes filles aussi belles et amoureuses l’une que l’autre. Quelle aurait été votre décision, à vous?
    Mais quelle triste époque de l’histoire de France que la Terreur! Hélas! Ce n’est malheureusement pas la seule!
    J’espère que les prochains romans de Daudet se termineront d’une façon plus rose.
    Bien à vous.
    Cocotte

  3. lol, c’est vrai, Cocotte, choix cornélien entre la peste et le choléra ; je crois que E.Daudet a réfléchi au dénouement le plus noble ; le grand malchanceux, au bout du compte, a été le jeune marquis, mais souhaitons que le temps, ce grand consolateur, ait mis un baume sur sa plaie. Merci d’envisager d’autres lecture de cet auteur plein de talent. J’aimerais savoir s’il maniait l’humour aussi finement que son frère. Je suis contente que vous élargissiez mes connaissances littéraires. Merci encore beaucoup. Amitiés. Christiane

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