« Je repensai aux événements saillants de ce jour infernal et me rendis compte que beaucoup avaient été provoqués par un amour malade. Un vieillard battu par son fils, un enfant battu par son père, un adolescent poussé au suicide par des parents qui croyaient ne vouloir que son bien, un gay passé à tabac par l’amant de son amant… »
« Aimer de cette manière n’est pas une bonne façon d’aimer… »
Mais de quel mal ont donc souffert les amours d’Alexandre pour que le désespoir de ses patients fasse resurgir en lui des angoisses aussi profondes ?
Ce livre est dédié aux hommes, aux femmes et aux enfants pour qui l’amour au lieu d’être synonyme de tendresse et de bonheur, signifie au contraire terreur et souffrance. Pour qu’ils aient la force de briser cette spirale de douleur et de silence afin de retrouver un peu d’équilibre et de sérénité.
Roger Stéphane, Mon amour, extrait de l’album Symphoniquement votre (avec l’aimable autorisation de l’artiste).
Bonjour Mireille, votre commentaire me touche profondément. Le sujet pour moi très important à faire connaitre avait remué en moi de nombreux sentiments et je suis heureuse d’avoir pu vous les communiquer.
Bonjour, je viens d’écouter votre livre et cette histoire ne me quitte plus depuis. Je l’ai dans la tête et elle ne me lache pas.Par moment j’ai même pleuré ce qui est très rare lorsque j’écoute un livre audio. Les sentiments sont exprimés avec tant de justesse, et votre voix!!! Un vrai plaisir!!! J’espère que vous nous ferez la joie, un jour, d’un autre roman. Merci beaucoup pour la plaisir que vous m’avez procuré.
Je crains fort jean Claude que vous soyez beaucoup trop excessif mais je retiens que le roman vous a plu et cela me fait très plaisir!
Un immense merci!
Bravo Christine.jolie littérature.vérité,danger cela fait assez peur.Mais véridiques.jolie voie.Merci.un grand ecrivain vous etes a la stendal a la desforge,Jolie prose. Jean-Claude.
Merci beaucoup David pour votre critique. Pour ce qui est des difficultés à “entrer” dans le roman, cela peut être du au fait que le début est un peu technique et que pour expliquer l’écroulement d’Alexandre j’ai eu recours à la descriptions de cas médicaux qui peuvent effectivement donner un peu de mal à accrocher.
Quant à expliquer pourquoi Léa est devenue ainsi c’est justement ce que je ne désirais pas. Hélène vers la fin du roman essaie de donner plusieurs explications, la mère de Léa aussi aimerait comprendre et cherche à savoir si elle et son mari sont responsables. Mais peut-on toujours expliquer la violence? A-t-elle toujours une raison bien définie? Sincèrement je ne le crois pas. Comme la schizophrénie maladie encore très mal connue, je crois que la violence est muti-factorielle. La génétique, l’environnement, le neurobiologie, la société (elle a toujours bon dos) etc. Qui sait si Léa se serait comportée ainsi avec un autre homme, qui sait ce qui aurait pu arriver si au lieu de supporter, Alexandre s’était rebiffé ou s’il avait convaincu Léa à voir un psychologue, ou encore si Laurent n’était pas arrivé.
Je ne connais pas le roman que vous citez mais je suis allée me renseigner et il me semble extrêmement intéressant. Plus qu’une suite il pourrait y avoir un roman parallèle, celui des impressions et des sentiments de Léa. Je crois qu’il existe aussi beaucoup de souffrance en elle et qu’elle est, elle-même, victime de ses propres sentiments. Comme vous le dites nous avons tous des zones d’ombres et travaillant en psychiatrie je vous prie de croire que je me suis convaincue qu’aucun d’entre nous n’est à l’abri de basculer et de voir ces zones devenir de plus en plus importantes et avoir toujours plus d’emprise sur nous-mêmes, qu’il s’agisse de violence ou d’autres sentiments.
Encore merci!
Il y a dans votre roman tous les éléments d’un drame à l’antique. J’ai surtout apprécié la deuxième partie après avoir eu un peu de mal à rentrer dedans. J’aurais peut-être aimé que le personnage de Léa soit plus développé, creusé. Comment est-elle devenue ainsi? J’imaginerais bien une “suite”, le Monde de Léa, écrite à la manière des Bienveillantes de Jonathan Littell. Les monstres ont beaucoup de succès en librairie, et surtout ils nous aident à comprendre la part d’ombre qui est en nous.
Bonne continuation!
Oui, beaucoup de plaisir, car les thèmes abordés sont peu courants, et surtout l’intrigue a un développement intéressant. Bref ce n’est pas cousu de fil blanc, et donc c’est prenant 😀
Merci St3r3o d’avoir pris la peine d’écouter ce roman bien que votre goût ne vous y porte pas vraiment. Je suis heureuse que malgré tout vous y ayez trouvé quelque plaisir.
Je suis tombé sur votre oeuvre en regardant ce que vous aviez fait en dehors des 1001 Nuits.
Je dois avouer que je ne suis pas fan des romans contemporains réalistes. Mais je trouve que vous écrivez de façon très agréable, et que votre lecture est égale a elle même, soigné et claire. Bref, bravo 😀
Je suis contente Elise que vous vous soyez arrêtée ici pour ce commentaire et que vous ayez apprécié ce texte.
Quant à vous André, un seul mot: merci. Pour tout.
Outre à être un roman d’amour, ce texte aborde un sujet pour lequel j’ai fait de nombreuses recherches, un sujet rarement traité, en un mot tabou. Il s’agit de la violence conjugale perpétré par la femme sur l’homme. Une violence dont on rit la pensant impossible, ridicule, exagérée. Mes recherches m’ont fait découvrir un monde inconnu où la souffrance morale et physique endurée par certains hommes est indicible…et méconnue.
Je suis heureuse que ce texte comme le prouve les commentaires puisse toucher et aider à mieux faire connaître cette terrible maladie d’amour.