Dans cette étude philosophique, ce ne sont pas des femmes en général dont il s’agit, mais plutôt du mariage tel qu’il est vu par un homme « fait », un homme mûr, qui voudrait inciter son fils à convoler, pour qu’ainsi lui vienne une descendance légitime et désirée.
Ce beau texte entièrement en alexandrins déploie une langue fluide, un style simple et harmonieux, à l’égal de sa vision de la vie à deux. La femme dont il parle est vertueuse mais aimante, sérieuse mais douce, courageuse mais gaie. On se doute que devant pareille admiration, le fils finira par se laisser persuader de chercher cette épouse parfaite, mais le père le met en garde : c’est dans les lieux où s’expriment la charité et la compassion qu’il trouvera la perle rare, et non dans la vie facile et insouciante…
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