‘Correspondances’,
poème fondateur de la poétique de Baudelaire.
‘Poème didactique’,
nous répétaient nos professeurs.
Loin des savantes analyses,
que votre œil écoute,
que votre oreille sente :
« II est des parfums…
Doux comme les hautbois »…
Illustration : Cathedral
de Photo Extremist, Evan Sharboneau, photographe,
avec son aimable autorisation.
Ambiance musicale :
L’Adagio du Concerto pour hautbois en ré mineur
d’Alessandro Marcello (1669-1747),
interprété par l’ensemble baroque ‘il Gardellino’
sous la direction de Marcel Ponseele.
Avec l’aimable autorisation du hautboïste baroque belge
de renommée internationale et facteur de hautbois Marcel Ponseele,
directeur artistique de l’ensemble ‘il Gardellino’.
” Tendez votre oreille à la musique
ouvrez votre oeil à la peinture et … ne pensez pas “.
(Vassily Kandinsky)
La mention « (Version 3) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site d’autres enregistrements de ce même texte, effectués par des donneurs de voix différents. Voir aussi : Version 1 ; Version 2.
Enveloppant et transportant “dans l’air supérieur” encore une fois! Merci beaucoup
Merci pour ce bon moment,
J’image un énorme travail dessous.
Cordialement
Bravo et merci beaucoup Gilles-Claude Thériault pour cette interprétation très juste de ce poème magistral et délicat de Baudelaire. J’ai apprécié particulièrement d’entendre un peu de hautbois avec le texte et grâce à eux “d’entendre” un peu mieux “les parfums”.
La musique du 18ème siècle surprend un peu, au début; mais, comme ce poème est toujours neuf, cet anachronisme devient, au fur et à mesure de l’écoute, une clé de lecture savoureuse pour ce poème.
LC