Lyse venait régulièrement sur Litteratureaudio pour elle-même et pour les enfants dont elle avait la charge, étant psycho-pédagogue.
La gentillesse et la grâce de ses interventions nous l’ont rendue chère sur le site qui lui offre aujourd’hui ce témoignage.
Qu’elle fût fauchée à la fleur de l’âge dans un terrible accident ajoute encore à la tristesse de ce deuil, c’est pourquoi je désire joindre à mon poème les vers poignants de Ronsard sur le deuxième MP3.
Vous qui passez par ce chemin, écoutant au travers des mots, le chuchotement de l’âme de Lyse, gardez-en un souvenir heureux, car en notre monde vécut, selon l’un de ses amis, « un rayon de soleil », « une ondée bienfaisante ».
À mon amie lointaine, Lyse du Québec ❣️
Ohara Koson, Canari et roses.
Hommage à Lyse
Max Bruch, Kol Nidrei Opus 047, interprétée par l’Orchestre Lamoureux, dirigé par Jean Martinon, avec Pierre Fournier (violoncelle) (1961, domaine public).
Comme on voit sur la branche
Wolfgang Amadeus Mozart, Sonate 24 pour violon et piano K454-01, interprétée par Arthur Grumiaux et Clara Haskil (1956, domaine public).
Merci bruissement pour votre gentille réponse… je serais vraiment très curieuse de prendre connaissance de votre « prose »… j’espère que vous « conditions » de vie vous le permettront bientôt… je pourrais aussi le lire avec la version PDF… cela me plaît aussi beaucoup… si tel était votre choix… n’hésitez pas me l’envoyer… (caroledetain@yahoo.fr)
très belle journée…
Carole
Quel joli commentaire, vous me faites-là, chère Carole… soyez-en remerciée chaleureusement. 🙂
En effet, la précision avec laquelle vous faites vos remarques montre tout l’intérêt que vous avez porté à mes écrits. Et pour répondre à votre question, j’aurais pu publier cette année encore, de la prose cette fois, mais, certaines circonstances me tiennent encore éloignée de cette finalisation d’un projet, validé pourtant.
Que vous ayez été émue par “Lyse” me touche beaucoup puisque l’objet de mon poème était que la délicatesse de son âme vive encore.
Pour mes autres poésies, je vois que ma sensibilité a rencontré la vôtre et j’en suis bien heureuse.
En vous remerciant encore d’avoir pris la peine de vous arrêter pour m’adresser ces mots réconfortants, je vous souhaite de réaliser vos projets sur L.A. et d’en obtenir beaucoup de satisfaction… 🙂
Amicalement
Bonjour bruissement,
je viens d’écouter pendant une balade toute une série de poèmes. Comme je suis impressionnée. Depuis la « disparition de Lyse », vous n’avez donc plus « publié » sur littérature audio ? Et vos poèmes précédents datent d’un certain nombre d’années. Vous n’êtes plus dans cette phase ?
Quel travail vous faites pour chaque enregistrement ! Le cœur que vous mettez dans votre lecture, et le choix des musiques, quelle merveille !
J’ai écouté « Lyse » qui m’a ému, fait trembler, jusqu’au fond de l’âme.
Je me permets de vous dire deux mots de vos autres poèmes sur ce « billet » :
• la complainte D’Eve: quelle originalité, Eve vue sous l’angle de la tragédie maternelle.
• Le remords de Pierre : quelle présence ! La souffrance humaine (du Christ) par le regard de Pierre paraît intime, proche, actuelle , moderne presque.
– Étoile du matin : quelle douceur, spiritualité, avec la « chute » qui évoque l’étoile de Noël.
• Au contour de l’âme (5 novembre 2013) : une promenade en spiritualité, en délicatesse, en gratitude et humanité.
– Mélancolie: celui-ci est plus sombre. Pas de lumière … et chute … humaine…
– la flèche d’or : original, vivant ; l’amour est présent, essentiel dans tous vos poèmes.
… Et… voilà… je me suis arrêtée là… je continuerai…
merci encore