Deux historiettes peu communes d’un faux faune et d’un vrai Japonais à Paris.
Le Dernier Faune et la flûte de pan
Petite fantaisie amusante signée George Auriol (1863-1938), peintre, aquarelliste, dessinateur et illustrateur, ainsi qu’auteur de chansons et de fantaisies humoristiques.
« Je fais partie d’une Société d’excursionnistes suburbains, les Champêtres du XVIIIe, laquelle est uniquement composée de gens qui se figurent que les dieux ne sont pas morts, – ni les faunes, ni les satyres, ni les dryades… »
Le Professeur de mort honorable
« C’est très sérieux », dit l’auteur Ernest d’Hervilly, « à Paris, on s’empoisonne, on se pend, on se noie, on se brûle la cervelle, on se guillotine même, on se jette du haut des tours de Notre-Dame, mais on ne se suicide pas en s’ouvrant le ventre. »
Versions textes : Le Dernier Faune et la flûte de pan, Le Professeur de mort honorable.
Kunikazu Utagawa, Scène de seppuku (ca. 1850) Domaine public
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