Cette nouvelle, à caractère fantastique ou surnaturel, d’Auguste de Vaucelle (1818-1876) est parue dans la revue L’Artiste en 1849.
Le début : « Il n’était bruit à Munich, vers le milieu de l’hiver de 1833, que d’un jeune violoniste qui à la plus magnifique puissance d’exécution joignait un talent de compositeur qui tenait presque du miracle ; c’était toute une révélation, il n’y avait point de prodige que sous ses doigts l’archet n’accomplit comme en se jouant. Tout émerveillait dans cette musique, qui ne cessait jamais un instant d’enchanter les oreilles et le cœur : effets étranges, combinaisons inconnues, diatonique particulière qui ne ressemblait à rien de ce qu’on avait entendu jusque-là, tout était saisissant et marqué au cachet d’une puissante individualité. C’était neuf et surtout grand et beau. »
Résidence Königsbau et Théâtre National sur la place Max-Joseph à Munich – photographie de Joseph Albert (1860) – colorisée
merci pour cette belle histoire, à bientôt
Eh bien, voilà, patty !
ouf! j’ai eu peur!
Bravo pour ce nouveau site!
Je vous assure, chère Patty, que je n’ai d’autre préoccupation que celle de continuer à vous enchanter, comme vous dites. La suite de mon travail se trouve ici :
https://www.audiocite.net/recherche.php?lecteur=Daniel%20Luttringer
A bientôt !
la curiosité, cher Daniel est parait-il une qualité, mais parfois il semble qu’il faille se contenter de la magie et du mystère…
Comme tous ces récits dont vous nous régalez, et je prie à un de mes donneurs de voix préférés, de nous rester fidèle à nous autres auditeurs, conscients que nous ne faisons que récolter le fruit de votre travail. Sachez que vous feriez bien de malheureux et de malheureuses en cessant de nous enchanter. c’est dit!
A Shmuel : le Zigomar sera publié, le moment venu, à ma nouvelle adresse. Qu’on ne s’inquiète pas.
Shmuel, vous z’avez trouvé la formule qui tue :
“PAS DE DEPART SANS ZIGOMAR !”
J’y souscris pleinement. Merci à vous.
La Fée Coupaille
Ok, cher Shmuel, mais aussi pour le dernier Goncourt, je suppose ?
Cher Daniel, permettez-moi de vous rappeler que vous nous avez promis Zigomar. Pas de départ sans Zigomar. Et puis, pas de départ avant tous les Simenon qui ne sera libre de droits que dans quelques décennies encore. Donc, vous restez. Point.
chouette, une nouvelle histoire de violon, je télécharge… après Ar Mor, je suis gâtée…