Sans doute le poème de Rimbaud le plus connu, le plus lu, le plus commenté et le plus souvent interprété.
Et le poème se suffit à lui-même.
Cependant voici une nouvelle version, à écouter en regardant, telles des mises en abîme, l’autoportrait L’Homme blessé de Gustave Courbet, sorte d’agonie confondue au sommeil, ou encore, en ayant en mémoire, cette citation de Carlos Fuentes :
« La littérature est une blessure par où jaillit l’indispensable divorce entre les mots et les choses. Par cette plaie, nous pouvons perdre tout notre sang. »
(Diane ou La chasseresse solitaire, Gallimard, 1999)
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Gustave Courbet, L’Homme blessé (1844-1854) domaine public
Gabriel Fauré, Élégie, opus 24, interprétée par Océane Guéret (violoncelle) et François Micol (piano). Avec leur aimable autorisation.
Merci….
Juste merci,
Une diction où les pauses et le ton donnent du sens, éclairent la beauté du texte, et en révèlent l’indicible émotion. Merci pour cette superbe interprétation.
Salut,Gilles-Claude!
Ce que j’ai été content aujourd’hui… Mes vacances se sont finalement établies. J’enseigne toujours le français aux débutants et je vais à la fac tous les jours, donc les vacances n’ont pas vraiment été éta, quoi?!
salut c’est merveilleux c’est fluide
CETTE POESI EST TRES BELLE ELLE EST TRISTE EST SA NOUS FAIS PENSAI COMMENT SA VA SE PASSER POUR NOUS PLUS TARD
Merci Mina pour votre commentaire.
Je suis très touché que déjà à votre âge votre cœur
s’ouvre à la magie de quelques mots prononcés dans le silence et qui arrivent à vous atteindre. Et parfois, pour la vie !
Merci encore !