Cette nouvelle fait partie du recueil Mémoires d’un médecin, d’Arthur Conan Doyle
« – Le Dr Horace Wilkinson est-il chez lui ?
– Vous lui parlez en personne. Donnez-vous donc la peine d’entrer.
Le visiteur parut étonné de voir le maître de la maison lui ouvrir la porte lui-même.
– J’aurais quelques mots à vous dire.
Le docteur, jeune, pâle et sec, vêtu de la professionnelle redingote noire avec un col blanc très haut et d’élégants petits favoris, se frotta les mains et sourit. Ce gros homme corpulent qui venait le trouver était, à n’en pas douter, un client et le premier de la journée. Ses maigres ressources commençaient à diminuer, et quoique l’argent de son premier trimestre de loyer fût soigneusement mis de côté dans son bureau, il se demandait comment il pourrait faire face aux dépenses courantes de son train de maison, si modeste qu’il soit. »
– Le Dr Horace Wilkinson est-il chez lui ?
– Vous lui parlez en personne. Donnez-vous donc la peine d’entrer.
Le visiteur parut étonné de voir le maître de la maison lui ouvrir la porte lui-même.
– J’aurais quelques mots à vous dire.
Le docteur, jeune, pâle et sec, vêtu de la professionnelle redingote noire avec un col blanc très haut et d’élégants petits favoris, se frotta les mains et sourit. Ce gros homme corpulent qui venait le trouver était, à n’en pas douter, un client et le premier de la journée. Ses maigres ressources commençaient à diminuer, et quoique l’argent de son premier trimestre de loyer fût soigneusement mis de côté dans son bureau, il se demandait comment il pourrait faire face aux dépenses courantes de son train de maison, si modeste qu’il soit. »
Arthur Conan Doyle, par Henry L. Gates (1927) (Domaine public).
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