Les Propos du chirurgien, adressés à des jeunes gens, sont l’apologie d’un métier exercé par… l’auteur lui-même. Après avoir obtenu un diplôme de docteur en médecine en 1880,le jeune Doyle parcourut comme médecin de bord les mers arctiques et, un an plus tard, diplômé de chirurgie il partit pour l’Afrique Occidentale.
Le père de Sherlock Holmès (absent aujourd’hui) conclut ainsi ses anecdotes :
« Et il y a bien des choses pour lesquelles un médecin doit être reconnaissant. Ne l’oubliez jamais. Il y a tant de plaisir à faire un peu de bien, qu’un homme devrait payer ce privilège, au lieu d’être payé. Ses malades sont ses amis, ou ils devraient l’être. Il va de maison en maison ; son pas, sa voix sont aimés et bien accueillis partout. Qu’est-ce qu’un homme peut demander de plus ?
En outre, il est forcé d’être un homme bon.
Il lui est impossible d’être autrement.
Comment un homme peut-il passer sa vie à voir la souffrance bravement supportée et demeurer un homme dur et vicieux ? »
Merci pour cette lecture M. Depasse, j’ai récemment entendu une émission sur M. Conan Doyle et mon intérêt s’est multiplié. Vos lectures m’ont manqué, je renoue avec votre voix avec grande joie.
Merci.
Merci M. Depasse.