Belphégor, divinité moabite, prenant souvent un corps de femme, séduisait ses victimes en leur inspirant des inventions ingénieuses pouvant les enrichir. De cette légende, Arthur Bernède (1871-1927) a tiré un roman : Belphégor ou le Fantôme du Louvre, dans lequel Belphégor vole le trésor des Rois de France ; le feuilleton télévisé bien connu y substituera la quête du métal de Paracelse, secret des Rose-Croix.
Tous les ingrédients du polar fantastique sont réunis : détective, fantôme, crime, inspecteurs, arrestations, fuites, policiers qui se trompent, avec en prime, une angélique histoire d’amour et un suicide…
« Il y a un fantôme au Louvre ! Telle était l’étrange rumeur qui, le matin du 17 mai 1925, circulait dans notre musée national. Partout, dans les vestibules, dans les couloirs, dans les escaliers, on ne voyait que des gens qui s’abordaient, les uns effrayés, les autres incrédules, et s’empressaient de commenter l’étrange et fantastique nouvelle. » (Début du roman).
Merci monsieur Dépasse du pur bonheur
Bonne histoire racontée avec talent, mais bon sang M. Dépasse : achetez-vous un pavé tactile au lieu d’une souris! Ça coûte à peine 50$.
J’adore vos lectures, presque dans le vrai sens du mot. Une toute petite chose par contre, ne trouvez vous pas que votre micro ne vous rend pas justice…
J’avais lu roman il y a longtemps. Le retrouver, servi par le talent de Monsieur Depasse fut un véritable bonheur. Merci !