À l’instar de Jehan-Rictus ou de Gaston Couté, Aristide Bruant a donné de bien belles lettres de noblesse à la poésie populaire.
Ce texte, Lézard, adapté (et adopté) par le chanteur Renaud, à la fin des années 70, en ouverture d’un spectacle consacré aux chansonniers du début du XXème siècle, montre la puissance évocatrice de la « jactance de Paname » de cette période.
« On prend des manières à 15 ans, puis on grandit sans qu’on les perde […] »
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Livre audio gratuit ajouté le 03/08/2009.
Le mot d’Alain attire mon attention sur votre chanson.
Je suis en totale symbiose avec le refrain !
Belle lecture de cette chanson popu, rudement bien foutue la môme ! Merci David. Il manquerait plus qu’une bonne musique là-dessus, sous les doigts d’un magicien du piano à bretelles !
Alain D.
Encore, encore du Bruant David. Vous êtes super dans la peau du personnage ! Ceci dit avec toute ma reconnaissance bien sûr.
Merci pour ce moment de pur bonheur
jeannedelaville
Merci David pour cette belle lecture du poème.
Didier Pilette
Vous lisez aussi bien un “J’accuse” qu’une lettre d’un condamné à mort ou qu’un poème de Bruant! Bravo.
Pomme
Excusez la faute.Remplacez par “commencent tôt”
Bonjour et merci .Moi, j’aime bien ce poème en chanson par Renaud.j’ai remarqué comme Bruand que les vocations de loulou, proxènète commence tôt, 14 ans pour l’un de mes élèves.Encore bravo
Une très bonne idée de faire revivre les textes d’Aristide Bruant ! C’est sympa que la poésie populaire soit aussi à l’honneur ici ! 🙂