Ces Contes et Légendes du vieux Japon ont d’abord été traduits en anglais par M. A.B. Mitford, secrétaire de la légation britannique au Japon. Ils font partie d’un volume intitulé Tales of Old Japan, dont il recueillit les éléments pendant les années qui suivirent l’ouverture du pays aux étrangers.
Depuis lors, on a beaucoup écrit sur le Japon. De nombreux ouvrages ont parlé de son histoire, de sa littérature, de ses traditions. Mais le livre de M. Mitford garde, pour tous ceux qui habitèrent comme nous l’Extrême-Orient, un grand charme évocateur et primesautier. »
Cet ouvrage a été ensuite traduit en français en 1904 par la comtesse de Pimodan.
Utagawa Hiroshige, Cent vues d’Edo, n°35 : Printemps – Sanctuaire de Suijin et Massaki sur la rivière Sumida (1856).
Chère Katja
Enfin, nous allons pouvoir continuer à papoter, puisque L.A. est de nouveau revenu, à la très grande joie de tous.
En effet, entre le Covid, qui revient et se modifie de plus en plus, et la guerre en Ukraine, il y a de quoi déprimer. Heureusement, Littérature audio a été d’un grand secours pour moi. J’ai enregistré une vingtaine de lectures, ce qui était une évasion pendant quelques heures. mais il faut garder le moral et apprécier chaque jour qui nous est encore donné. Il faut espérer que les beaux et bons jours reviendront au plus vite, que la guerre se terminera au plus vite, et que nous nous habituerons à porter le masque et à observer les gestes barrière. Le printemps arrive, de très nombreuses nouvelles lectures vont arriver très bientôt. je vais publier rapidement Van der Meersch, qui est un de mes auteurs favori. C’est terrible, au 21ème siècle, de voir ces destructions, ces morts, ces blessés, ces exilés, toutes les douleurs des Ukrainiens. Pourtant, il ne faut pas se laisser abattre et faire tout ce qu’on peut pour aider ceux qui ont tant besoin de courage et d’espoir en l’humanité.
Je vous embrasse
Cocotte
Chère Cocotte,
merci beaucoup pour votre très gentil commentaire!
Un jour, j’écouterai les T. Combe en pensant à vous! “No Covid” est un but qu’on ne pourra jamais atteindre. Avec ou sans effort, la situation ainsi créee (alerte, mesures, doigt montrant le peu de lits) ne changera plus jamais.Plus d’espoir à ce sujet. Plus de pays pour s’évader. C’est aussi l’avis de ma soeur, infirmière.
Je suis un peu désolée de vous dire cela un lundi matin qui pourrait être si beau. Au temps de T. Combe en Suisse, il y avait le temps de “advent”, la neige, …
Je vous embrasse!
Katja
Chère Katja
Quand j’ai entendu au Journal télévisé les tristes nouvelles d’Autriche, j’ai tout de suite pensé à vous, avec beaucoup de sympathie et d’amitié. Les progrès de l’épidémie chez vous, les mesures qui ont été prises, tout cela doit être très dur à vivre pour vous et pour les Autrichiens.
Je vous comprends tout à fait : ce n’est pas toujours facile de garder le moral, dans un contexte difficile à vivre.
Je voudrais vous tendre la main, vous aider. Je ne puis le faire qu’en publiant des romans de T. Combe, qui, je crois, vous plaisent bien. J’aimerais qu’ils aient le bonheur de vous faire penser à autre chose pendant quelques heures et vous donner un peu d’espoir en l’avenir.
Je vous souhaite un bon dimanche, malgré l’adversité. Courage! Encore un peu de patience!
Je vous embrasse
Cocotte
Chère Cocotte,
je suis très désolée de ne pas avoir répondu un peu plus vite à vos si aimables commentaires. En ce moment je dois presque m’efforcer car rien a un sens pour moi. Il n’y a dédinitivement plus de démocratie en Autriche, cela m’effraye beaucoup. Le monde entier a changé pour toujours.
Je vous souhaite un très beau dimanche et vous remercie de tout coeur pour vos belles lectures,
Katja
Cher Ygonaar
Merci beaucoup pour votre aimable commentaire, très encourageant! Nous sommes heureuses de vous avoir fait passer un moment agréable.
Ne connaissant pas le japonais, je ne peux pas juger la qualité de la traduction. Mais vous avez certainement raison! Oui, ces contes ressemblent un peu aux contes bretons, ou même à d’autres, de différentes régions, ou même de différents pays. Nous avons tous quelque chose en commun, c’est bien de sentir cette sorte de fraternité, au-delà des frontières.
Cordialement
Cocotte
Une plongée très intéressante dans les contes du Japon, un aspect de ce folklore que je ne connaissais encore guère par ce média.
Je me demande toutefois si les diverses transcriptions et traductions ne les ont pas parfois beaucoup européanisé. J’avais parfois l’impression d’écouter des contes de Bretagne!
Merci pour vos lectures.