Voici la 16ème des Méditations poétiques, édition de 1860 : La Charité, hymne oriental, 1846.
« Dieu dit un jour à son soleil :
Toi par qui mon nom luit, toi que ma droite envoie
Porter à l’univers ma splendeur et ma joie,
Pour que l’immensité me loue à son réveil ;
De ces dons merveilleux que répand ta lumière,
De ces pas de géant que tu fais dans les cieux,
De ces rayons vivants que boit chaque paupière,
Lequel te rend, dis-moi, dans toute ta carrière,
Plus semblable à moi-même et plus grand à tes yeux ? »
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Livre audio gratuit ajouté le 12/05/2017.
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Amicalement
Jolie poesie 🙂