Le début d’Un réveillon dans la Marais :
« M. Majesté, fabricant d’eau de Seltz dans le Marais, vient de faire un petit réveillon chez des amis de la place Royale, et regagne son logis en fredonnant… Deux heures sonnent à Saint-Paul. « Comme il est tard ! » se dit le brave homme, et il se dépêche ; mais le pavé glisse, les rues sont noires, et puis dans ce diable de vieux quartier, qui date du temps où les voitures étaient rares, il y a un tas de tournants, d’encoignures, de bornes devant les portes à l’usage des cavaliers. »
La fin de La Vision de juge de Colmar (de la même inspiration que La Dernière Classe) :
« D’un bout à l’autre du cimetière, tout le monde rit, tout le monde se tord, et cette grosse gaieté prussienne résonne jusqu’au fond du caveau, où le mort pleure de honte, écrasé sous un ridicule éternel. »
Portrait d’Alphonse Daudet.
très bien j ai compris le livre