« Du temps que je gardais les bêtes sur le Lubéron, je restais des semaines entières sans voir âme qui vive… Aussi… lorsque j’entendais les sonnailles du mulet de notre ferme… j’étais vraiment heureux. Je me faisais raconter les nouvelles du pays d’en bas… ce qui m’intéressait surtout, c’était de savoir ce que devenait la fille de mes maîtres… et à ceux qui me demanderont ce que ces choses-là pouvaient me faire à moi pauvre berger… je répondrai que j’avais vingt ans et que cette Stéphanette était ce que j’avais vu de plus beau dans ma vie. […] »
Frederic Edwin Church, Twilight in the Wilderness (1860). Domaine public.
Wolfgang Amadeus Mozart, Violin Sonata in B-flat major, K.454, II. Andante, interprétée par Julia Froschhammer.
@leo: ce ne serait pas vous rendre service que de vous mâcher le travail…c’est à vous de réfléchir un peu 😉
@salma: je suis heureuse d’avoir pu vous faire plaisir 🙂
wow c’est merveilleux merci beaucoup
jaimerais bien que vous fesez le résumé de toute l’histoire apart ça merci beaucoup
wow!!!
c’est trop joli serieux alphonce daudet il assure ! ^^
Ah! la magie d’une belle histoire d’amour!
c’est une belle histoire d’amour vous m’avez donné l’ampresion de lire une autre merci bcp
Merci, Jeannedelaville pour votre petit mot