« Il était une fois un homme qui avait une cervelle d’or ; oui, madame, une cervelle toute en or. Lorsqu’il vint au monde, les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d’olivier ; seulement sa grosse tête l’entraînait toujours, et c’était pitié de Ie voir se cogner à tous les meubles en marchant… Il tombait souvent. »
Il tombe… amoureux
« Entre les mains de cette mignonne créature – moitié oiseau, moitié poupée -, les piécettes d’or fondaient que c’était un plaisir. Elle avait tous les caprices ; et lui ne savait jamais dire non ; même, de peur de la peiner il lui cacha jusqu’au bout le triste secret de sa fortune. »
Moralité ?
J’adore cette nouvelle
C’est formidable.J’en suis ravi vraiment.
Non,Emile!Le texte s’achève ,après “souffrir” par des points de suspension.A vous de compléter.Bonne écoute et merci!
C’est très bien mais… il manque la fin! quelques mots seulement je pense, mais c’est un peu frustrant…