Méridional d’origine, Alfred Capus (1857-1922) toucha à tout avant de s’orienter vers le journalisme et de se faire connaître par ses chroniques. Parallèlement, il donnait au théâtre de boulevard la mesure de son talent. Président de la Société des gens de lettres, il fut élu à l’Académie française en 1914 au fauteuil de Poincaré. La même année, il devint rédacteur en chef du Figaro et rédigea pendant les quatre années de guerre un patriotique « bulletin » quotidien. Qui perd gagne (1890), « presque un chef-d’œuvre » aux dires de Jules Lemaître, un de ses rares romans, est une observation spirituelle des milieux bourgeois de la Belle Époque. Il a été adapté au théâtre.
Maurice Ravel, Menuet antique, interprété par Felipe Sarro (domaine public).
Merci Gustave pour cette très bonne lecture. L’histoire reste imprévisible jusqu’au bout. Les caractères sont surprenants.
Finalement, le nom du journal, c’est l’Informé ou l’Infortuné!?
Je ne connaissais pas cet auteur et c’est avec plaisir que j’ai découvert ce roman dont le style très léger est parfaitement mis en valeur par le ton
agréable et l’excellente lecture.
J’ai beaucoup aimé…vraiment beaucoup aimé cet auteur et votre voix. MERCI.
Remerciements rétroactifs, j’ai écouté cette œuvre il y a un ou deux ans.
Qu’a pu le plus peut le moins, hein ?
Oui ,merci pour ce recit si bien conté .. et bonnes fêtes à vous . S T
Merci Gustqve pour ces heures délicieuses
BONJOUR
Extraordinaire cette explication des moeurs de l’ époque qui a sûrement pris d’ autres formes à la nôtre mais avec moins de “charme”