Alexis Nikolaïevitch Apoukhtine est un nouvelliste, un romancier et un poète russe né le 15 novembre 1840 à Bolkhov, gouvernement d’Orel (Russie) et décédé le 17 août 1893 à Saint-Pétersbourg (Russie).
Le roman épistolaire, qu’il a écrit en 1890, Les Archives de la comtesse D***, a été publié après sa mort. Il faut souligner l’originalité du procédé : on ne dispose que des lettres reçues par la Comtesse, mais jamais celles qu’elle a envoyées. Ce qui en fait un personnage mystérieux, ce qui est paradoxal car elle est justement la destinataire de toutes ces lettres !
« Entends-tu comme nous courons, comme nous nous hâtons de travailler, et demain il ne restera aucune trace de nous ; crois que tout ce qui t’inquiète et t’afflige maintenant disparaîtra ainsi ; et la vie même s’en ira sans laisser nul vestige. Pourquoi se souvenir, pourquoi se révolter et se tourmenter ? Ne regrette pas le passé ; ne crains pas l’avenir ; sois sans inquiétude ; pardonne et oublie ! »
Donneurs de voix ayant participé au projet, par ordre de leur entrée en scène :
Akexandre Vassilievich Mojaïski : Vincent de l’Épine,
Vassilisa Ivanovna Mediachkina : Milady,
Anna Ivanovna Kretchetova : Domi,
Maria Ivanovna Boiarova : Christine Treille,
Comte D : Christophe Ménager,
Princesse Krivolobokaia : Cocotte,
Dmitri Dmitrievitch Koudriachine : Aymeric,
Sophie : Domia,
H.N. Boiarof : Florent,
Baronne Viezen : Plume,
Archevêque Nicodime : Gustave,
Avec l’aimable collaboration de Magali, qui nous a fait l’amitié de lire les présentations.
Franz Xaver Winterhalter, Portrait de la Princesse Elizaveta Alexandrovna Tchernicheva, femme du Prince Vladimir Ivanovich Bariatinsky (1858).
Piotr Ilyich Tchaikovsky, Souvenir de Florence en Ré mineur, Op. 70: II. Adagio cantabile e con moto, interprété par Leonid Kogan / Elizaveta Gilels / Rudolph Barchaï / Heinrich Talalian / Mtislav Rostropovitch / Sviatoslav Knushevitzky (1956, domaine public).
Sergei Rachmaninov, Prélude Opus 23 en Ré majeur, Op. 23: IV. Prélude N° 4, Andante cantabile, interprété par Sviatoslav Richter (1961, domaine public).
Désolée, chère Pauline, ce n’est qu’aujourd’hui que je trouve votre commentaire.
Votre humour, qui tombe à pic, m’a bien fait rire. Il faut, de temps en temps.
Je remercie chaleureusement Vincent, qui a bien voulu me confier la coordination de ce roman épistolaire, et tous les donneurs de voix de notre équipe, qui, rapidement et avec beaucoup de talent, ont permis cette réalisation.
Merci d’avoir pris la peine de nous ire votre satisfaction: c’est un véritable encouragement pour nous tous.
Amitiés
Cocotte
Tout en finesse, en sous-entendus, en demi-teintes… Un petit bijou très joliment serti par vos voix ! Merci pour ce moment 🙂
Merci Luc de votre commentaire très encourageant !
C’est en effet un grand avantage des romans épistolaires que de se prêter parfaitement à une lecture à plusieurs voix.
Amicalement
Vincent
Quel belle idée que de prêter une voix
différente pour chaque personnage !
Merci à vous tous, lecteurs et lectrices
de ce texte savoureux !
Merci Elisabeth !
Votre message me fait d’autant plus plaisir qu’il s’agit d’un vieux projet, longtemps différé, et qui se concrétise enfin. Merci de votre retour qui a fait plaisir à toute l’équipe.
Vincent
Formidable ! merveilleux moment ! Toutes vos voix se répondant… Merci. Elisabeth
Bonjour Paul et merci beaucoup pour votre retour !
Il sera précieux pour toute l’équipe !
Amicalement
Vincent
Bravo à chacun et merci
pour cette magnifique lecture !
Très bon choix de l’illustration et
de la musique !
Félicitations !
Toute l’équipe vous remercie chaleureusement, cher ou chère Bouchon 42.
Nous sommes très heureux que ce roman littéraire vous ait plu. Merci d’avoir pris la peine de nous le dire.
Amicalement
Cocotte
Quel excellent moment que je viens de passer grâce à vous
Merci.