Francesco Cenci apparaît comme l’incarnation diabolique de son époque.
Il avait hérité de son père un revenu de soixante mille piastres. Né avec des instincts mauvais et maître d’une fortune immense qui lui permettait d’acheter l’impunité, il s’abandonna à tous les désordres de son tempérament fougueux et passionné. Il détestait ses enfants.
Lorsque Béatrix, sa seconde fille, eut treize ans, elle était d’une grande beauté et Francesco, auquel aucun crime n’était étranger, jeta des regards incestueux sur elle. Pendant trois ans, elle fut la victime de viols cruels et répétés. La jeune fille était obligée de partager la couche de son père et de sa seconde femme.
Excédées, les deux jeunes femmes décidèrent de faire tuer l’auteur de tant de crimes.
Un nouvel épisode des Crimes célèbres…
Ginevra Cantofoli, portrait de Beatrix Cenci (XVIIè)
Chère Paruline
mais non, vous n’êtes pas froussarde! D’ailleurs, il serait difficile de ne pas trembler en écoutant tous les Crimes Célèbres de Dumas. C’est sordide et cruel.
Heureusement, je compense avec d’autres lectures, moins macabres!
Le bonjour à votre gros matou, ron, ron, ron.
Amitiés à vous, chère Paruline et merci pour votre charmant commentaire et votre fidélité.
Cocotte
Chère Cocotte !
Je suis une froussarde quand il s’agit de crimes…
Je ne suis pas allée me cacher dans un trou de souris; j’ai plutôt transmis le lien à un copain qui, tel un gros matou, dévore les romans policiers 😉