La Chute de la maison Usher (The Fall of the House of Usher) est une nouvelle fantastique écrite par Edgar Allan Poe. Elle fut publiée pour la première fois en septembre 1839 dans la revue littéraire Burton’s Gentleman’s Magazine. La traduction est de Charles Baudelaire.
Le narrateur arrive à la maison de son ami Roderick Usher, ayant reçu de lui une lettre dans laquelle il se plaignait de maladie et réclamait sa présence. Cette maladie se manifeste par une hyper-acuité des sens et une grande anxiété. Madeline, la sœur jumelle de Roderick, est elle aussi malade, tombant dans des états de transes cataleptiques…
La mention « (Version 2) » à la suite du titre indique qu’il existe sur notre site un autre enregistrement de ce même texte, effectué par un donneur de voix différent. Voir aussi : Version 1.
Tout à fait!
🙂
Je ne peux pas ne pas programmer bientôt un nouvel Edgard Poe, Pahinda, n’est-ce pas ?
Décidément, votre voix me subjugue…
Je trouve qu’elle convient parfaitement au style d’écriture d’Edgar Allan Poe.
Encore une fois merci!
Bonjour
Voix, narration, écouter Daniel Luttringer est un régal, le meilleur conteur qui soit, bravo et MERCI 🙏
Quel hommage, Maya, merci à vous de même !
Bonjour Pahinda
Oui le mot subjuguer est évidemment adéquat … extraordinaire talent !
J’ai aimé un récit si particulier (l’art d’imiter un personnage) que j’ai écouté par deux fois “le petit fût” 😊
A Nestor Plasma : les mistakes ont été corrigés dans l’heure…
Nestor Plasma espère que ces rectifications ne demanderont pas un long travail à Daniel Luttringer. Pour «affectation», le mot apparaît dès le début.
► Nestor Plasma, c’est pour ça qu’on l’aime
Daniel Luttringer veut s’excuser auprès de Nestor Plasma, dont l’oreille n’a rien perdu de sa finesse, le remercier et s’empresser de rectifier…
Merci pour cette lecture.
Nestor Plasma, dont l’oreille se fait vieille, a entendu des choses bizarres, comme «une affectation mentale qui l’oppressait» ou deux fois «des fongeosités», ce qui au demeurant, s’est-il dit, renforce le côté bizarre de la nouvelle.
(Pour, probablement, «une affection mentale» et pour «des fongosités».)
► Nestor Plasma, c’est pour ça qu’on l’aime
Merci, Daniel Luttringer, j’ai lu cette nouvelle il y a au moins cinquante ans et j’en ai tout oublié sauf le titre.
► Nestor Plasma, c’est pour ça qu’on l’aime