Accueil › Forums › Textes contemporains › (O) PUCCIANO, Pauline – La Mort, l’Amour et la Mer
- Ce sujet contient 7 réponses, 5 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Pauline Pucciano, le il y a 10 années et 3 mois.
- AuteurMessages
- 29 août 2014 à 22h45 #14403729 août 2014 à 22h45 #156945
Bonjour à tous,
Comme la rentrée se profile j'ai pensé à vous proposer ce texte qui sent bon l'air marin, écrit en 2001.
Amanda est née en parlant et ses yeux changent de couleur au gré de ses humeurs. Son père mort continue à lui parler dans son cercueil et sa mère passe son temps à monologuer, immobile dans une maison encombrée du sol au plafond d’un fatras inextricable…
Amanda aime, enfante, et mène son existence à la manière d'un voyage tout au long de ce petit récit où se mêlent un peu d'émotion,de poésie et de fantaisie.
En remerciant chaleureusement ceux qui voudront bien me lire,
Pauline
30 août 2014 à 3h29 #156946O
4 septembre 2014 à 23h42 #156965O
5 septembre 2014 à 6h44 #1569675 septembre 2014 à 10h38 #156971Aegidius a écrit :
Lien de téléchargement alternatif (via Transfernow.net) :
7 septembre 2014 à 11h31 #156978Je n'ai lu que quelques pages, c'est très soigné dans l'ensemble, je vous indique à tout hasard certaines inadvertances sans grande importance que j'ai repérées.
Page 2
par là : sans trait d'union.page 4
d'elle : apostrophe.
il était si content : masculin
À ce moment : accent grave sur la majusculepage 5
à sa radiation : lettre manquantepage 6
sans que rien puisse : les puristes refusent la négation explétive dans la syntaxe “sans que”, et ce, même si elle contient un mot négatif car il a un sens positif dans ce contexte, par exemple “sans que personne vienne” (ou vînt au subjonctif imparfait), “sans que rien se passe” (ou se passât au subjonctif imparfait), “sans qu'aucun parle” (ou parlât au subjonctif imparfait) etc. Cette règle est contestée par d'autres grammairiens plus tolérants, je l'ai moi-même utilisée dans mon conte de fées échiquéen intitulé “Le tournoi d'échecs”, on trouve d'ailleurs des occurrences chez Balzac et chez Proust mais jamais chez Hugo ni chez Verne. Donc à vous de voir, je vous indique cette spécificité à tout hasard.
qui m'y avait poussée : deux virgules accolées. Si le pronom élidé “me” renvoie à un être féminin, je crois que le participe devrait s'accorder.page 7
elle m'a laissée la palper : accord à vérifier
bavardage : plutôt au singulier à mon avispage 8
par-delà : trait d'unionJe n'ai pas tout lu mais à la fin il faut écrire “partirent”, et peut-être “sans que personne sache”. Ces remarques se veulent bienveillantes, j'ai apprécié l'ambiance du début, c'est très vivant, c'est un travail de qualité, merci à vous.
O
7 septembre 2014 à 15h34 #156979Merci Aegidius pour toutes ces corrections et pour vos remarques encourageantes, j'essaierai de corriger plus sérieusement ma version texte ! Vous aurez remarqué que je ne suis pas ( assez) perfectionniste, je vous demande de m'en excuser…
- AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.