Let’s go reading in the car…

Bonjour,
Merci Christine S. c’est un article génial!
Les anglo saxons utilisent les audiolivres depuis bien plus longtemps que nous. Que les connaisseurs me corrigent si je me trompent, mais, jusqu’à l’apparition d’internet et, bien entendu, de notre site préféré, les audiolivres étaient vus comme des objets quasiment paramédicaux puisqu’ils étaient surtout réservés aux aveugles et malvoyants.

En Grande Bretagne, aux USA, les audiolivres ont été d’abord sur cassettes non pas seulement pour les personnes en situation de handicap mais aussi pour les conducteurs coincés dans les embouteillages.
C’est d’ailleurs chez eux que je me fournis en AL (pas Arsène Lupin, AudioLivre! private joke) car j’ai la chance de comprendre l’anglais. Le nombre de titres qui sortent tant dans le domaine public que dans le commerce est incomparable avec ce que je considère être le “pauvre marché français”.
D’ailleurs, quelqu’un sait-il ce que représente le marché français en termes de sorties, de chiffre d’affaires, de progression, etc? Un jour, une lectrice professionnelle anglo/américaine (Kate Reading pour ceux qui connaissent) m’a demandé ce que ça représentait et j’ai été totalement incapable de lui répondre malgré un tour sur ce qui semble être le site français de la profession. Mais je suis nulle en économie. J’ai certainement mal cherché.

Enfin, c’est vrai que je n’envisage plus un voyage en voiture sans un AL.

Si des lecteurs non anglophones souhaitent un résumé du texte en question, je veux bien m’y coller, sous toutes réserves et avec la correction possible de tout autre membre anglophone!
Il suffit de demander.
CM