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, le il y a 5 années et 3 mois.
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TB
Oh lala, ça devient une vraie énigme! Le TB pour moi = Très bien que j'aimais écrire sur une copie. Ici, sont-ce les bonnes initiales de l'auteur du texte comme le confirmerait le “bravo” d'Ahikar? Mais alors… qui est-ce???
Quant à l'interprétation qui attire certaines foudres, certes elle est ridicule (ou simplement désuète?) mais si vous avez entendu jusqu'au bout, ses multiples “ouaaaasivité” sont quand même drôles.
Patience, nous saurons bientôt le nom de l'auteur et celui de l'interprète.
il ne peut s'agir de la voix de Tennberg , l'auteur auquel je pense est Français, hors il est dit plus haut qu'il ne l'était pas
de plus je ne retrouve pas ce texte
… et, tristement pour lui, Tennberg est mort avant la publication de cette oeuvre. Eh oui, Ahikar nous a habilement égaré avec quelque chose de beaucoup plus récent qu'à l'habitude
Peut il s'agir d'un écrivain autrichien mort en février 1989 à 58 ans ?
Je ne trouve pas le texte , c'est agaçant lol
Bravo à tous !
Il s’agissait bien de Thomas Bernhard interprété par Serge Merlin. Le texte est Auslöschung (Extinction), publié en 1986. L’extrait choisi se trouve à 25 min 26. Il s’agit d’une adaptation tirée de son grand roman Auslöschung: Ein Zerfall. Vous pouvez l’écouter sur France Culture à l’adresse ci-dessous :
https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-theatre-et-cie/ausloschung-extinction-de-thomas-bernhard
Réception par la presse :
https://www.theatreonline.com/Spectacle/Ausloschung-Extinction/38038#infospectacle
Résumé de l’œuvre :
Brebis galeuse d'une famille attachée à ses traditions, héritier d'un domaine dont il n'a que faire, Murau, le narrateur, rentre au château familial de Wolfsegg, en Autriche, pour enterrer ses parents et son frère, morts dans un accident de voiture. Dans ce lieu grandiose, aux rites respectés et bafoués à la fois par son père, ancien membre du parti nazi, et par sa mère, maîtresse de l'archevêque Spadolini, haut dignitaire du Vatican, Murau évoque le passé, les souvenirs inquiétants, comme pour se désenvoûter de cet univers oppressant, et ” éteindre ” définitivement tout ce qui le rattachait encore à son enfance et à sa jeunesse. Dans cet ultime roman, Thomas Bernhard se livre à une analyse familiale caustique et jubilatoire. II met en scène les personnages les plus vils et grossiers, sinistres marionnettes dans une tragédie moderne emplie d'amertume.
Merci pour votre participation et bonne semaine à tous !
Ahikar
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