Cher Daniel, Chère Pauline… Ce que j’ai aimé ce livre d’une intensité psychologique où le désarroi, l’impuissance, la tendresse, les questionnements parfois stériles et les enchevêtrements qui n’arrivent pas à se démêler parce que d’une trop grande faiblesse (ou ignorance? ) bien humaine ! Ouf ! Ces trois heures un quart passent trop vite parce qu’intenses et simples à la fois. Ce roman est d’une rare maturité, au point qu’on ne peut que se demander s’il en est effectivement un, ou plutôt une narration d’une véritable tragédie. Pauline, je n’ai pas écouté vos précédents ou ultérieurs récits; je ne peux donc comparer et c’est mieux ainsi, car il me restera comme un unique cadeau. Évidemment, narrer par vous, Daniel, et voilà la quintessence d’un binôme indéniable. Merci à vous deux, vraiment.
Votre épouse dirait certainement que les connexions, quelles que soient leurs médiums, sont de l’énergie transmises !
Voici la deuxième fois que j’écoute ce livre et c’est avec la même émotion, plus mûrie peut-être, que je le termine. L’on pourrait croire du Paul Bourget au féminin, tant l’analyse psychologique des personnages principaux est intense. De même que l’on retourne à un endroit que l’on a aimé et que l’on y découvre des détails échappés la première fois, une autre écoute de ce livre si poignant nous permet d’y déceler de façon plus approfondie une ambiance d’un autre temps où conventions et besoin de liberté y sont décrits magistralement. Et bien sûr cher Daniel, comme à chaque écoute, votre narration rehausse l’intensité de l’intrique. Merci…
Merci cher Daniel, vous tenez rapidement votre promesse ! Je m’y mets à l’instant…
Ce serait avec grand plaisir ! Votre générosité est vraiment très appréciée… Par avance, mrci pour votre amabilité.
Bonsoir Daniel, Je viens de terminer ” Le Disciple ” de Paul Bourget. Quel merveilleux choix et qui reste tellement d’actualité ! En vous écoutant, il me revenait en mémoire moult exemples de personnes qui furent, ou sont encore, soit un Sixte soit un Greslou, version XXIe siècle. Évidemment, votre voix se marie admirablement bien avec ce texte. À quand les prochains projets de 6 à 20 heures ou mieux, de 20 heures et plus ? Un grand merci !
Merci…
Cher Daniel, Chère Pauline… Ce que j’ai aimé ce livre d’une intensité psychologique où le désarroi, l’impuissance, la tendresse, les questionnements parfois stériles et les enchevêtrements qui n’arrivent pas à se démêler parce que d’une trop grande faiblesse (ou ignorance? ) bien humaine ! Ouf ! Ces trois heures un quart passent trop vite parce qu’intenses et simples à la fois. Ce roman est d’une rare maturité, au point qu’on ne peut que se demander s’il en est effectivement un, ou plutôt une narration d’une véritable tragédie. Pauline, je n’ai pas écouté vos précédents ou ultérieurs récits; je ne peux donc comparer et c’est mieux ainsi, car il me restera comme un unique cadeau.
Évidemment, narrer par vous, Daniel, et voilà la quintessence d’un binôme indéniable. Merci à vous deux, vraiment.
Votre épouse dirait certainement que les connexions, quelles que soient leurs médiums, sont de l’énergie transmises !
Voici la deuxième fois que j’écoute ce livre et c’est avec la même émotion, plus mûrie peut-être, que je le termine. L’on pourrait croire du Paul Bourget au féminin, tant l’analyse psychologique des personnages principaux est intense. De même que l’on retourne à un endroit que l’on a aimé et que l’on y découvre des détails échappés la première fois, une autre écoute de ce livre si poignant nous permet d’y déceler de façon plus approfondie une ambiance d’un autre temps où conventions et besoin de liberté y sont décrits magistralement. Et bien sûr cher Daniel, comme à chaque écoute, votre narration rehausse l’intensité de l’intrique. Merci…
Merci cher Daniel, vous tenez rapidement votre promesse ! Je m’y mets à l’instant…
Ce serait avec grand plaisir ! Votre générosité est vraiment très appréciée… Par avance, mrci pour votre amabilité.
Bonsoir Daniel, Je viens de terminer ” Le Disciple ” de Paul Bourget. Quel merveilleux choix et qui reste tellement d’actualité ! En vous écoutant, il me revenait en mémoire moult exemples de personnes qui furent, ou sont encore, soit un Sixte soit un Greslou, version XXIe siècle. Évidemment, votre voix se marie admirablement bien avec ce texte. À quand les prochains projets de 6 à 20 heures ou mieux, de 20 heures et plus ? Un grand merci !