Il a été ici question de lecteur mp3 à destination des personnes déficientes visuelles. Augustin nous a donné l’info d’un lecteur distribué par les bibliothèques sonores. Mais il existe aussi un lecteur mp3 qui s’appelle le milestone 311 (lecteur Daisy) en vente à l’a.v.h. depuis quelques années. Il coûte certes un peu cher, mais il rend pas mal de services, notamment, on peut s’en servir aussi comme dictaphone. Son prix est de 375 euros. Cependant, son fabricant (basé en Suisse) envisage la sortie du milestone 312 très prochainement, qui offre davantage de possibilités encore.
Juste les cases à cocher ne sont pas cochables avec Sonorel. Pour info : l’accessibilité est donc plutôt bonne mais pas totale.
Ouaah ! ça vole haut par ici…
Que chacun y trouve son compte. Basta !
(Ce genre de commentaire ne peut être que blessant. Dommage… surtout ici)
Ah perdon ! j’avions pas vu la rose blanche qu’était ben chantée par eul René à la fin. (Tralalala itou !) Qu’c’était ben chouette ! Encore ! encore ! encore !
Oh ben chuis ben déçu car j’m’étions laissé entendu dire qu’y aurait un tio peu d’chant là eud dans. Et pi rin. Alors ! (tralalalala !)
Pour Cathyange En français, quand on pose une question, on utilise un point d’interrogation (?) et non un point d’exclamation (!)
Ceci dit, nous n’avons pris aucun risque et avons profité que Duparc l’ait fait avant nous…
Et oui, dans Janico, il y a Jeanne, en plus de nico… Et Jeanne est pianiste… Quant à Victor Hugo… ne l’oublions pas : il mangeait ses oranges avec la peau !
Je suis complètement d’accord avec Stiv ! Je dirais même plus : ckxglhoqerùgtn
Drôlissime Courteline. Merci René. (et bravo !) C’est assez touchant même, en plus d’être drôle.
sur la sncf, plus de payants que de gratuits d’ailleurs, ce qui est normal, puisque ce sont des enregistrements pros. Ce qui n’est pas notre cas, loin s’en faut.
Belle voix de Mem’but ! Bell’ lecture égal’ment. Bravo ! pour un début… D’autant plus excellent !
Ce texte s’inspire du Songe d’Athalie de Racine, acte II, scène 5 :
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit. Ma mère Jézabel devant moi s’est montrée, Comme au jour de sa mort pompeusement parée. Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté ; Même elle avait encor cet éclat emprunté Dont elle eut soin de peindre et d’orner son visage, Pour réparer des ans l’irréparable outrage. « Tremble, m’a-t-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l’emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l’embrasser. Mais je n’ai plus trouvé qu’un horrible mélange D’os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Excellent ! bravo René.
La présentation d’Olivier Salon n’est pas seulement un acrostiche, mais elle suit une double contrainte : celle du beau présent en acrostiche. Le beau présent est un texte (poème ou autre) que l’on souhaite offrir par exemple à une personne et qui ne comprendra que les lettres des prénoms et noms de cette personne. Le poème d’Olivier, auto-beau présent, ne contient donc que 10 lettres. (12-2 puisque 2 sont à la fois dans le nom et le prénom…)
Audio gratuit pour auteur vivant ? bon courage !
Oui, vous avez raison, Rabouille, ce n’est pas évident de trouver l’équilibre (c’était de plus nos débuts) ; malgré plusieurs retouches…
Il a été ici question de lecteur mp3 à destination des personnes déficientes visuelles. Augustin nous a donné l’info d’un lecteur distribué par les bibliothèques sonores. Mais il existe aussi un lecteur mp3 qui s’appelle le milestone 311 (lecteur Daisy) en vente à l’a.v.h. depuis quelques années. Il coûte certes un peu cher, mais il rend pas mal de services, notamment, on peut s’en servir aussi comme dictaphone. Son prix est de 375 euros. Cependant, son fabricant (basé en Suisse) envisage la sortie du milestone 312 très prochainement, qui offre davantage de possibilités encore.
Juste les cases à cocher ne sont pas cochables avec Sonorel. Pour info : l’accessibilité est donc plutôt bonne mais pas totale.
Ouaah ! ça vole haut par ici…
Que chacun y trouve son compte.
Basta !
(Ce genre de commentaire ne peut être que blessant.
Dommage… surtout ici)
Ah perdon ! j’avions pas vu la rose blanche qu’était ben chantée par eul René à la fin. (Tralalala itou !)
Qu’c’était ben chouette ! Encore ! encore ! encore !
Oh ben chuis ben déçu car j’m’étions laissé entendu dire qu’y aurait un tio peu d’chant là eud dans. Et pi rin. Alors ! (tralalalala !)
Pour Cathyange
En français, quand on pose une question, on utilise un point d’interrogation (?) et non un point d’exclamation (!)
Ceci dit, nous n’avons pris aucun risque et avons profité que Duparc l’ait fait avant nous…
Et oui, dans Janico, il y a Jeanne, en plus de nico… Et Jeanne est pianiste… Quant à Victor Hugo… ne l’oublions pas : il mangeait ses oranges avec la peau !
Je suis complètement d’accord avec Stiv !
Je dirais même plus : ckxglhoqerùgtn
Drôlissime Courteline. Merci René. (et bravo !) C’est assez touchant même, en plus d’être drôle.
sur la sncf, plus de payants que de gratuits d’ailleurs, ce qui est normal, puisque ce sont des enregistrements pros. Ce qui n’est pas notre cas, loin s’en faut.
Belle voix de Mem’but !
Bell’ lecture égal’ment.
Bravo ! pour un début…
D’autant plus excellent !
Ce texte s’inspire du Songe d’Athalie de Racine, acte II, scène 5 :
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit.
Ma mère Jézabel devant moi s’est montrée,
Comme au jour de sa mort pompeusement parée.
Ses malheurs n’avaient point abattu sa fierté ;
Même elle avait encor cet éclat emprunté
Dont elle eut soin de peindre et d’orner son visage,
Pour réparer des ans l’irréparable outrage.
« Tremble, m’a-t-elle dit, fille digne de moi.
Le cruel Dieu des Juifs l’emporte aussi sur toi.
Je te plains de tomber dans ses mains redoutables,
Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables,
Son ombre vers mon lit a paru se baisser ;
Et moi, je lui tendais les mains pour l’embrasser.
Mais je n’ai plus trouvé qu’un horrible mélange
D’os et de chairs meurtris et traînés dans la fange,
Des lambeaux pleins de sang et des membres affreux
Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Excellent ! bravo René.
La présentation d’Olivier Salon n’est pas seulement un acrostiche, mais elle suit une double contrainte : celle du beau présent en acrostiche.
Le beau présent est un texte (poème ou autre) que l’on souhaite offrir par exemple à une personne et qui ne comprendra que les lettres des prénoms et noms de cette personne. Le poème d’Olivier, auto-beau présent, ne contient donc que 10 lettres. (12-2 puisque 2 sont à la fois dans le nom et le prénom…)
Audio gratuit pour auteur vivant ? bon courage !
Oui, vous avez raison, Rabouille, ce n’est pas évident de trouver l’équilibre (c’était de plus nos débuts) ; malgré plusieurs retouches…