Bonjour madame Pucciano, tout d’abord un grand merci pour cette fantastique odyssée qu’est “l’organe et la sonde”. Votre écriture est d’une grâce divine. Je suis un grand passionné de littérature fantastique et j’ai ressenti dans votre œuvre le souffle cette même intensité que dans mon livre de chevet ” Dune”. Votre livre est, permettait moi de vous le dire, ce qu’aurait pu être “Avatar” si les scénaristes avaient eu votre sensibilité, votre talent et votre intelligence. Une question me taraude. La construction de la communauté sur l’Organe est à mon sens d’inspiration libertaire. Est-ce que je me trompe ? Comment avez-vous eu l’idée de l’organisation de la parole au sein du conseil des clés ? Les règles qui organisent le cheminement de la pensée du groupe vers le consensus sont absolument passionnantes. Je parcours depuis 15 ans la littérature libertaire depuis Reclus jusqu’à Bakounine et je vous confesse, madame, n’avoir jamais rien lu de tel. Quelle est votre inspiration ? Sinon madame, il se pourrait bien que en deveniez vous-même une… Au plaisir de vous lire, vous entendre et dans la attente d’une réponse, veuillez agréer mes sentiments les meilleurs. Guillaume.
Bonjour madame Pucciano, tout d’abord un grand merci pour cette fantastique odyssée qu’est “l’organe et la sonde”. Votre écriture est d’une grâce divine. Je suis un grand passionné de littérature fantastique et j’ai ressenti dans votre œuvre le souffle cette même intensité que dans mon livre de chevet ” Dune”. Votre livre est, permettait moi de vous le dire, ce qu’aurait pu être “Avatar” si les scénaristes avaient eu votre sensibilité, votre talent et votre intelligence.
Une question me taraude. La construction de la communauté sur l’Organe est à mon sens d’inspiration libertaire. Est-ce que je me trompe ?
Comment avez-vous eu l’idée de l’organisation de la parole au sein du conseil des clés ? Les règles qui organisent le cheminement de la pensée du groupe vers le consensus sont absolument passionnantes. Je parcours depuis 15 ans la littérature libertaire depuis Reclus jusqu’à Bakounine et je vous confesse, madame, n’avoir jamais rien lu de tel. Quelle est votre inspiration ? Sinon madame, il se pourrait bien que en deveniez vous-même une…
Au plaisir de vous lire, vous entendre et dans la attente d’une réponse, veuillez agréer mes sentiments les meilleurs.
Guillaume.