Merci Franck pour l’intérêt que vous portez à l’histoire de Léonce Moreau. Je vous invite à lire la suite sur édition 999 car je n’envisage pas pour l’instant de lire la suite. Malheureusement, comme vous le soulignez l’histoire se répète encore et toujours comme si l’orgueil était plus fort que la raison.
Bonjour Laurine, je vous remercie pour votre commentaire qui me laisse croire au futur, d’autant plus que 3 générations au moins vous séparent du narrateur. Effectivement, mon grand-père a dû affronter un tsunamie au printemps de sa vie mais il a eu la chance d’en réchapper et de pouvoir le raconter contrairement à la plupart de ses camarades. Le film dont vous parlez relate certainement de l’histoire bouleversante d’Anne Frank durant la Seconde Guerre mondiale. Je comprends que son récit vous ai touché car vous partagez la même sensibilité.g
Je vous remercie beaucoup pour votre attention et pour votre commentaire. Je pense qu’il y a deux façons d’aborder un récit:
– de façon littéraire en s’attachant en priorité à sa dimension esthétique, en savourant le texte.. – de façon réaliste en s’attachant avant tout à restituer l’environnement et le ressenti des protagonistes.
Ces deux lectures présentes chacune un intérêt différent en fonction de la teneur du texte. Ainsi on ne lira pas un livre de Victor Hugo, par exemple, comme on lit un récit de Jack London.
En ce qui concerne les carnets de guerre de mon grand-père, j’ai choisi résolument la deuxième façon, d’une part parce que le sujet se prête beaucoup mieux à une lecture « immersive » et d’autre part, parce que la proximité de l’auteur me rapprochait forcément de son ressenti.
Comment passer à coté du contexte exceptionnellement violent d’un champ de bataille de 14-18 et de ne pas se mettre en emphatie avec le narrateur. On comprend très vite le climat anxiogène et l’urgence à finir chaque phrase comme s’il s’agissait de la dernière.
Les DDV de littérature audio sauront de quoi je parle et j’espère pouvoir toucher ainsi la majorité des audio lecteurs.
Dans cette même logique, les bruitages et la musique sont pour moi indissociables ; néanmoins j’aurais pu proposer une lecture sans accompagnement sonore.
Je vous remercie encore une fois pour votre franchise et j’espère avoir répondu en partie à vos questions. g
Un double merci au DDV et à l’audio-lecteur pour votre oreille attentive et pour vos encouragements. g
Effectivement, on peut comprendre pourquoi on parle de «matrice du siècle » quand on évoque 14-18. Merci beaucoup pour vos éloges Franck même si vous savez qu’un audio est toujours perfectible. S’il pouvait servir de support à des élèves un jour, je pense que mon grand-père en serait très honoré d’autant plus que c’est la raison d’être de littérature audio. g
Merci Ahikar, je pense que vous auriez pu vous entendre.
Ce serait donc le secret.. Difficile de retrouver la spontanéité d’une première lecture.
Une lecture en live comme Ahikar en a le secret. L’histoire de l’humanité est une grande tragédie..
Merci Alice pour la mise en onde de cet auteur. Difficile de ne pas penser à Dino Buzzati en écoutant cette histoire. g
J’ai télécharger”les Boulingrin” hier pour l’écouter avant de m’endormir. Je ne m’attendais pas à passer un si bon moment. Comment ai-je pu passer à coté de ça aussi longtemps. Bravo pour votre virtuosité et votre talent.
Au hasard de mes recherches, je suis tombé sur l’histoire de votre mère vous auriez pu écrire “Histoire de nombreuses mères”. Elle m’a beaucoup touché d’autant plus que la mienne a vécu le même drame à la même époque et j’ai éprouvé aussi le même ressenti que vous. L’écriture a donc le pouvoir de briser la solitude, de rétablir la vérité et de permettre peut-être de changer l’ordre des choses. Merci Ahikar pour votre courage.
Merci beaucoup Maryse pour vos encouragements. Quelle chance nous avons de pouvoir éclairer vos jours et vos nuits à travers la plume de Khalil Gibran. Hier n’est que le souvenir d’aujourd’hui et demain est le rêve d’aujourd’hui..
C’est la fin de l’hiver, et vous en êtes arrivé à bout Gaëlle; vous avez réalisé un travail de titan.. Je ne sais pas si c’est votre intérêt pour l’auteur, mais votre diction colle particulièrement au texte et j’ai particulièrement apprécié l’intensité des dialogues. Les couleurs de votre voix, parlent à chacun d’entre nous, encore merci.
Bonsoir Diomedeine,
pour répondre à votre première question, Ahikar m’a appris après coup que ce texte avait été traduit par Louis Postif en1926 sous le titre « L’Abnégation des femmes » et il a aussi été traduit plus récemment par François Specq chez folio(Gallimard) sous le titre « une femme de cran ». Cependant, malgré toute l’admiration que j’ai pour L. Postif, sa traduction a un peu vieilli, quant à celle de F. Specq, elle est la propriété de Gallimard.
Je vous remercie pour votre commentaire et pour votre franchise Diomedeine. Comme il est expliqué dans la présentation, J. London savait ce qu’il devait aux femmes ; c’est bien Virginia Prentiss, une ancienne esclave, qui adopte j London et l’aide financièrement et l’écrivain lui voua une profonde affection toute sa vie.
Cette nouvelle de J. London m’a intéressé à la première lecture pour plusieurs raisons. En tant qu’écrivain, J. London relatait la réalité du grand nord sans états d’âme. À aucun moment, je n’ai relevé de sa part une justification des pratiques esclavagistes, bien au contraire. Il est important de replacer l’histoire dans le contexte de l’époque et qu’on le veuille ou non, les femmes pouvaient être vendues dans la tradition indienne. C’était bien sur totalement discriminatoire et injuste. Dans l’histoire, Sitka Charley, à moitié indien, est imprégné par sa culture et jeune de surcroît. Je pense que pour l’auteur, ce n’est pas le Sitka Charley du début de piste qui compte; mais bien le chemin qu’il a parcouru et sa capacité à se transformer. Au cours du récit, c’est bien Passuk qui contrôle la situation à tout point de vue et contrairement au apparence c’est bien la seule à s’accomplir alors que Sitka réalise qui ne connaîtra jamais une femme aussi exceptionnelle et un amour aussi grand pour le reste de sa vie.
Cette tragédie marque toujours autant les lecteurs un siècle après sa mise en page, c’est tout le talent de J London.
Je tiens aussi à vous remercier pour votre fidélité et pour vos encouragements. J’ai aussi beaucoup appris au contact de Gaëlle. Encore merci, Pascalette, c’est très important pour nous de savoir si notre travail est juste. g
Il fallait oser s’attaquer à un texte aussi difficile. Cela en dit long sur vos capacités. Bravo Emeraude!
Merci beaucoup Marie, je suis très heureux d’avoir pu vous changer les idées à travers cette belle histoire. Bien à vous, g
René Bazin se reconnaîtrait certainement à travers ce livre audio. Nul besoin d’aller en Bretagne quand on écoute votre voix, la musique et le bruit des vagues. Quelle réussite!
Je reconnais que j’ai toujours laissé tomber mes tentatives de lectures de Proust pour la simple raison que j’ai déjà oublié, la plupart du temps, le début des phrases quand j’en arrive à la fin. Mais grâce à vous, je pourrais enfin dire que je connais un peu son univers. Parmi toutes les lectures que j’ai écoutées, vous êtes la seule à apporter autant de nuances dans une même phrase. Je dois dire que je me suis même amusé à me prendre pour honoré pendant un moment.
Ce livre est incroyable, il fait froid dans le dos, merci à vous.
Vous avez donc dû traverser le temps comme un livre ouvert.. Sourire. Merci pour l’info Guillaume et très bonne journée à vous. g
Merci beaucoup Guillaume pour vos commentaires et J Pierre(bien sur!). Je suis flatté de savoir qu’on écoute ce conte de Tolstoï dans le métro parisien. “Intemporel” c’est le mot malheureusement et heureusement…En parlant d’orpailleur, je vous donne RV Jeudi, si vous le souhaitez, pour une très belle nouvelle de J London avec la lumineuse Gaëlle. Amitiés georje
Bravo Émeraude, 4 h pour un premier audio, cela promet on aurait quand même dû vous prévenir que L.A pouvait entrainer une forte addiction.
Magnifique lecture! Merci. G
Merci beaucoup Karine pour toutes vos lectures, votre voix très agréable, la qualité de vos montages et vos choix musicaux. Quel dommage de ne plus vous entendre. g
Une instructive et belle lecture, merci.
Merci Claryssandre, quel bonheur de pouvoir toucher le temps d’un sourire..Très bonne année à vous. g
Je suis tout à fait d’accord avec ce que vous dites, Kadour mais ma lecture diffère peut-être un peu de la vôtre dans le sens où Tolstoï nous rappelle bien que Dieu est amour et que son champ d’action s’arrête là(si je puis dire) puisqu’il a donné à l’homme son libre arbitre sur une planète qui n’est plus sous son contrôle. Force est de constater que l’homme le plus riche du monde ne peut pas survivre sans amour et vous en êtes convaincu même si vous déclarez être athée. Laissé moi penser que votre papa vient de nous faire un petit clin d’oeil à travers ce conte de Tolstoï et que j’ai été son messagé de temps d’une lecture. Je vous invite à découvrir les magnifiques écrits de Khalil Gibran si vous ne l’avez pas déjà fait. Bien à vous, g.
Merci à vous, je pense que L. Tolstoï n’aurait pas dénigré votre interprétation. Pour ma part, je persiste à croire à un esprit supérieur universel qui relie les hommes entre eux, même si je connais parfois des périodes de doute. En quelque sorte, vous êtes plus croyant que moi, Kadour, puisque vous avez une certitude…
Je ne savais pas pourquoi Ahikar était si connu au sein de L.A. J’ai compris en écoutant le sable: ” C’est vivant tout simplement”
Merci pour vos encouragements Ahikar Pendant un moment,j’ai eu peur d’être passé à coté de l’esprit de Khalil Gibran. Effectivement, après avoir lu l’article de C Boustani, il est difficile de comprendre pourquoi May Ziadé n’est pas plus connue.
Merci Dominique, très bonne année à vous et à vos proches.
Difficile de trouver meilleure lecture, quel plaisir…
Merci Karine pour cette très bonne restitution de ce grand écrivain.
Merci à vous “Eclat du soleil”. Je suis très heureux que cela vous plaise. Décidément, la journée promet d’être ensoleillée pour un mois d’octobre..
Bonjour Gauthier. Quel bonheur de savoir que son travail est apprécié ! Vous savez comme moi, qu’un enregistrement audio, même modeste, demande quelques efforts mais bien sur, je souhaite continuer à partager avec Littérature audio. Encore une fois, merci pour vos encouragements, Gauthier, et à bientôt, j’espère. Georje
Bonjour David, vous trouverez ce conte de L. Tolstoï aux Éditions Max Milo. Il n’existe pas, à ma connaissance, de version numérique. Ne soyez pas surpris si des passages de la traduction comportent des expressions éloignées du français et des fautes de syntaxe mais le prince Bojidar Karageorgevitch qui a traduit l’œuvre en 1893 a cherché à conserver la tournure et l’accent russe.
De la dentelle..
Si L. Tolstoï a été excommunié en 1901 à cause d’une vision trop révolutionnaire du christianisme et il avait exprimé lui-même auprès de ses amis, son désir d’avoir une inhumation minimaliste. Dans un autre registre, Je vous invite à lire ou écouter les magnifiques écrits du penseur Chrétien d’Orient Khalil Gibran mais c’est sûrement déjà fait… Amicalement.
Merci au génie de L Tolstoï et la magnifique interprétation musicale de Peter Bradley-Fulgoni. Pour la lecture, j’ai juste essayé d’y mettre du coeur. Mikhaïl avait donc raison..
Un texte peut se lire de 1000 façons. On ne peut être indifférent à la sensibilité de l’interprétation qui met en valeur le texte d’Hugo.
Effectivement Marie, je pense que R Rolland aurait aussi pu dire « Apprendre à bien vivre ensemble pour apprendre à bien mourir » On a du mal à comprendre comment l’un de nos plus grands écrivains est presque tombé dans l’oubli son propre pays alors qu’il est encore reconnu aujourd’hui, dans le monde entier.
Hommage à ce gendarme qui a souhaité préserver la vie à travers son geste.
Je ne connais littérature audio que depuis quelques mois; Après avoir écouté ‘journal d’une femme de chambre, je me précipite sur les commentaires. Au fur et à mesure de ma lecture, je ne vois plus les réponses de Victoria puis je comprends qu’elle n’est plus avec nous alors que sa voix est plus vivante que celles de tous les vivants.
J’aime beaucoup votre ressenti.
Merci Franck pour l’intérêt que vous portez à l’histoire de Léonce Moreau. Je vous invite à lire la suite sur édition 999 car je n’envisage pas pour l’instant de lire la suite. Malheureusement, comme vous le soulignez l’histoire se répète encore et toujours comme si l’orgueil était plus fort que la raison.
Bonjour Laurine, je vous remercie pour votre commentaire qui me laisse croire au futur, d’autant plus que 3 générations au moins vous séparent du narrateur. Effectivement, mon grand-père a dû affronter un tsunamie au printemps de sa vie mais il a eu la chance d’en réchapper et de pouvoir le raconter contrairement à la plupart de ses camarades.
Le film dont vous parlez relate certainement de l’histoire bouleversante d’Anne Frank durant la Seconde Guerre mondiale. Je comprends que son récit vous ai touché car vous partagez la même sensibilité.g
Je vous remercie beaucoup pour votre attention et pour votre commentaire.
Je pense qu’il y a deux façons d’aborder un récit:
– de façon littéraire en s’attachant en priorité à sa dimension esthétique, en savourant le texte..
– de façon réaliste en s’attachant avant tout à restituer l’environnement et le ressenti des protagonistes.
Ces deux lectures présentes chacune un intérêt différent en fonction de la teneur du texte. Ainsi on ne lira pas un livre de Victor Hugo, par exemple, comme on lit un récit de Jack London.
En ce qui concerne les carnets de guerre de mon grand-père, j’ai choisi résolument la deuxième façon, d’une part parce que le sujet se prête beaucoup mieux à une lecture « immersive » et d’autre part, parce que la proximité de l’auteur me rapprochait forcément de son ressenti.
Comment passer à coté du contexte exceptionnellement violent d’un champ de bataille de 14-18 et de ne pas se mettre en emphatie avec le narrateur.
On comprend très vite le climat anxiogène et l’urgence à finir chaque phrase comme s’il s’agissait de la dernière.
Les DDV de littérature audio sauront de quoi je parle et j’espère pouvoir toucher ainsi la majorité des audio lecteurs.
Dans cette même logique, les bruitages et la musique sont pour moi indissociables ; néanmoins j’aurais pu proposer une lecture sans accompagnement sonore.
Je vous remercie encore une fois pour votre franchise et j’espère avoir répondu en partie à vos questions. g
Un double merci au DDV et à l’audio-lecteur pour votre oreille attentive et pour vos encouragements. g
Effectivement, on peut comprendre pourquoi on parle de «matrice du siècle » quand on évoque 14-18. Merci beaucoup pour vos éloges Franck même si vous savez qu’un audio est toujours perfectible. S’il pouvait servir de support à des élèves un jour, je pense que mon grand-père en serait très honoré d’autant plus que c’est la raison d’être de littérature audio. g
Merci Ahikar, je pense que vous auriez pu vous entendre.
Ce serait donc le secret.. Difficile de retrouver la spontanéité d’une première lecture.
Une lecture en live comme Ahikar en a le secret. L’histoire de l’humanité est une grande tragédie..
Merci Alice pour la mise en onde de cet auteur. Difficile de ne pas penser à Dino Buzzati en écoutant cette histoire. g
J’ai télécharger”les Boulingrin” hier pour l’écouter avant de m’endormir. Je ne m’attendais pas à passer un si bon moment. Comment ai-je pu passer à coté de ça aussi longtemps. Bravo pour votre virtuosité et votre talent.
Au hasard de mes recherches, je suis tombé sur l’histoire de votre mère vous auriez pu écrire “Histoire de nombreuses mères”. Elle m’a beaucoup touché d’autant plus que la mienne a vécu le même drame à la même époque et j’ai éprouvé aussi le même ressenti que vous. L’écriture a donc le pouvoir de briser la solitude, de rétablir la vérité et de permettre peut-être de changer l’ordre des choses. Merci Ahikar pour votre courage.
Merci beaucoup Maryse pour vos encouragements. Quelle chance nous avons de pouvoir éclairer vos jours et vos nuits à travers la plume de Khalil Gibran. Hier n’est que le souvenir d’aujourd’hui et demain est le rêve d’aujourd’hui..
C’est la fin de l’hiver, et vous en êtes arrivé à bout Gaëlle; vous avez réalisé un travail de titan.. Je ne sais pas si c’est votre intérêt pour l’auteur, mais votre diction colle particulièrement au texte et j’ai particulièrement apprécié l’intensité des dialogues. Les couleurs de votre voix, parlent à chacun d’entre nous, encore merci.
Bonsoir Diomedeine,
pour répondre à votre première question, Ahikar m’a appris après coup que ce texte avait été traduit par Louis Postif en1926 sous le titre « L’Abnégation des femmes » et il a aussi été traduit plus récemment par François Specq chez folio(Gallimard) sous le titre « une femme de cran ». Cependant, malgré toute l’admiration que j’ai pour L. Postif, sa traduction a un peu vieilli, quant à celle de F. Specq, elle est la propriété de Gallimard.
Je vous remercie pour votre commentaire et pour votre franchise Diomedeine. Comme il est expliqué dans la présentation, J. London savait ce qu’il devait aux femmes ; c’est bien Virginia Prentiss, une ancienne esclave, qui adopte j London et l’aide financièrement et l’écrivain lui voua une profonde affection toute sa vie.
Cette nouvelle de J. London m’a intéressé à la première lecture pour plusieurs raisons. En tant qu’écrivain, J. London relatait la réalité du grand nord sans états d’âme. À aucun moment, je n’ai relevé de sa part une justification des pratiques esclavagistes, bien au contraire. Il est important de replacer l’histoire dans le contexte de l’époque et qu’on le veuille ou non, les femmes pouvaient être vendues dans la tradition indienne. C’était bien sur totalement discriminatoire et injuste.
Dans l’histoire, Sitka Charley, à moitié indien, est imprégné par sa culture et jeune de surcroît. Je pense que pour l’auteur, ce n’est pas le Sitka Charley du début de piste qui compte; mais bien le chemin qu’il a parcouru et sa capacité à se transformer.
Au cours du récit, c’est bien Passuk qui contrôle la situation à tout point de vue et contrairement au apparence c’est bien la seule à s’accomplir alors que Sitka réalise qui ne connaîtra jamais une femme aussi exceptionnelle et un amour aussi grand pour le reste de sa vie.
Cette tragédie marque toujours autant les lecteurs un siècle après sa mise en page, c’est tout le talent de J London.
Je tiens aussi à vous remercier pour votre fidélité et pour vos encouragements. J’ai aussi beaucoup appris au contact de Gaëlle. Encore merci, Pascalette, c’est très important pour nous de savoir si notre travail est juste. g
Il fallait oser s’attaquer à un texte aussi difficile. Cela en dit long sur vos capacités. Bravo Emeraude!
Merci beaucoup Marie, je suis très heureux d’avoir pu vous changer les idées à travers cette belle histoire. Bien à vous, g
René Bazin se reconnaîtrait certainement à travers ce livre audio. Nul besoin d’aller en Bretagne quand on écoute votre voix, la musique et le bruit des vagues. Quelle réussite!
Je reconnais que j’ai toujours laissé tomber mes tentatives de lectures de Proust pour la simple raison que j’ai déjà oublié, la plupart du temps, le début des phrases quand j’en arrive à la fin.
Mais grâce à vous, je pourrais enfin dire que je connais un peu son univers. Parmi toutes les lectures que j’ai écoutées, vous êtes la seule à apporter autant de nuances dans une même phrase. Je dois dire que je me suis même amusé à me prendre pour honoré pendant un moment.
Ce livre est incroyable, il fait froid dans le dos, merci à vous.
Vous avez donc dû traverser le temps comme un livre ouvert.. Sourire. Merci pour l’info Guillaume et très bonne journée à vous. g
Merci beaucoup Guillaume pour vos commentaires et J Pierre(bien sur!). Je suis flatté de savoir qu’on écoute ce conte de Tolstoï dans le métro parisien. “Intemporel” c’est le mot malheureusement et heureusement…En parlant d’orpailleur, je vous donne RV Jeudi, si vous le souhaitez, pour une très belle nouvelle de J London avec la lumineuse Gaëlle.
Amitiés georje
Bravo Émeraude, 4 h pour un premier audio, cela promet on aurait quand même dû vous prévenir que L.A pouvait entrainer une forte addiction.
Magnifique lecture! Merci. G
Merci beaucoup Karine pour toutes vos lectures, votre voix très agréable, la qualité de vos montages et vos choix musicaux. Quel dommage de ne plus vous entendre. g
Une instructive et belle lecture, merci.
Merci Claryssandre, quel bonheur de pouvoir toucher le temps d’un sourire..Très bonne année à vous. g
Je suis tout à fait d’accord avec ce que vous dites, Kadour mais ma lecture diffère peut-être un peu de la vôtre dans le sens où Tolstoï nous rappelle bien que Dieu est amour et que son champ d’action s’arrête là(si je puis dire) puisqu’il a donné à l’homme son libre arbitre sur une planète qui n’est plus sous son contrôle. Force est de constater que l’homme le plus riche du monde ne peut pas survivre sans amour et vous en êtes convaincu même si vous déclarez être athée. Laissé moi penser que votre papa vient de nous faire un petit clin d’oeil à travers ce conte de Tolstoï et que j’ai été son messagé de temps d’une lecture. Je vous invite à découvrir les magnifiques écrits de Khalil Gibran si vous ne l’avez pas déjà fait. Bien à vous, g.
Merci à vous, je pense que L. Tolstoï n’aurait pas dénigré votre interprétation. Pour ma part, je persiste à croire à un esprit supérieur universel qui relie les hommes entre eux, même si je connais parfois des périodes de doute. En quelque sorte, vous êtes plus croyant que moi, Kadour, puisque vous avez une certitude…
Je ne savais pas pourquoi Ahikar était si connu au sein de L.A. J’ai compris en écoutant le sable: ” C’est vivant tout simplement”
Merci pour vos encouragements Ahikar
Pendant un moment,j’ai eu peur d’être passé à coté de l’esprit de Khalil Gibran. Effectivement, après avoir lu l’article de C Boustani, il est difficile de comprendre pourquoi May Ziadé n’est pas plus connue.
Merci Dominique, très bonne année à vous et à vos proches.
Difficile de trouver meilleure lecture, quel plaisir…
Merci Karine pour cette très bonne restitution de ce grand écrivain.
Merci à vous “Eclat du soleil”. Je suis très heureux que cela vous plaise. Décidément, la journée promet d’être ensoleillée pour un mois d’octobre..
Bonjour Gauthier. Quel bonheur de savoir que son travail est apprécié ! Vous savez comme moi, qu’un enregistrement audio, même modeste, demande quelques efforts mais bien sur, je souhaite continuer à partager avec Littérature audio. Encore une fois, merci pour vos encouragements, Gauthier, et à bientôt, j’espère. Georje
Bonjour David, vous trouverez ce conte de L. Tolstoï aux Éditions Max Milo. Il n’existe pas, à ma connaissance, de version numérique. Ne soyez pas surpris si des passages de la traduction comportent des expressions éloignées du français et des fautes de syntaxe mais le prince Bojidar Karageorgevitch qui a traduit l’œuvre en 1893 a cherché à conserver la tournure et l’accent russe.
De la dentelle..
Si L. Tolstoï a été excommunié en 1901 à cause d’une vision trop révolutionnaire du christianisme et il avait exprimé lui-même auprès de ses amis, son désir d’avoir une inhumation minimaliste. Dans un autre registre, Je vous invite à lire ou écouter les magnifiques écrits du penseur Chrétien d’Orient Khalil Gibran mais c’est sûrement déjà fait… Amicalement.
Merci au génie de L Tolstoï et la magnifique interprétation musicale de Peter Bradley-Fulgoni. Pour la lecture, j’ai juste essayé d’y mettre du coeur. Mikhaïl avait donc raison..
Un texte peut se lire de 1000 façons. On ne peut être indifférent à la sensibilité de l’interprétation qui met en valeur le texte d’Hugo.
Effectivement Marie, je pense que R Rolland aurait aussi pu dire « Apprendre à bien vivre ensemble pour apprendre à bien mourir »
On a du mal à comprendre comment l’un de nos plus grands écrivains est presque tombé dans l’oubli son propre pays alors qu’il est encore reconnu aujourd’hui, dans le monde entier.
Hommage à ce gendarme qui a souhaité préserver la vie à travers son geste.
Je ne connais littérature audio que depuis quelques mois; Après avoir écouté ‘journal d’une femme de chambre, je me précipite sur les commentaires. Au fur et à mesure de ma lecture, je ne vois plus les réponses de Victoria puis je comprends qu’elle n’est plus avec nous alors que sa voix est plus vivante que celles de tous les vivants.