Gaëlle

Gaëlle

Ses commentaires les plus récents

  1. Merci à vous, Michée, de vous être arrêtée sur cette page, d’avoir pris le temps de l’écoute et d’un message. Je suis heureuse d’avoir donné l’occasion de découvrir cette autrice sur le site, avec ce roman.

  2. Cher Bruant, je ne pouvais manquer d’écouter votre lecture de ce roman, dans lequel j’ai retrouvé avec plaisir la plume précise et très sensible de l’autrice, les descriptions des bords de la Garonne, l’inquiétude pour les vignobles. La fin me semble un peu décevante, une forme de renoncement ; j’espérais non pas un “happy end” romantique, mais une prise de conscience, d’autonomie… Sans doute pas l’époque ni l’état d’esprit de Jean Balde.
    Votre lecture est particulièrement intense quand il s’agit de Lucien. Même si le personnage n’est pas très sympathique, la description brutale de ses pensées, de ses aigreurs, de ses regrets, m’a parue remarquable en terme de finesse psychologique – l’œuvre d’une entomologiste de l’âme humaine ! Merci de m’avoir donné l’occasion de découvrir ce roman, qui mériterait, je crois, une seconde écoute pour l’apprécier complètement.

  3. Chère Christina, je vois que vous avez suivi les conseils de Sautillant 😊 ! Merci de votre message. Vous savez – puisque vous en êtes vous-même – que les commentaires et retours sur les lectures sont précieux, pour nous DDV.
    Partager un moment, rendre la vie plus légère le temps d’une lecture, et emporter au loin dans une histoire, voilà ce que pourraient bien être les objectifs de mes lectures !

  4. Merci, cher Marc, de votre message, qui donne l’occasion de remettre en lumière les textes écrits par Ahikar, absent depuis longtemps du site. Son écriture est très vivante et sensible ; personnellement, je suis particulièrement touchée par ses textes courts qui saisissent une émotion, un regard, en peu de mots – je me permets de vous recommander L’Usage du temps, que j’ai lu également, qui est un modèle du genre.

  5. 😁 Pour ma part, je vois bien une certaine malignité dans les … de Sautillant, qui nous oblige à saisir sa pensée tressautante et bifurquante, par sauts et gambades ! 🍓

  6. Chère Sylve, merci pour votre généreux message, qui me comble de plaisir ! Vous êtes très juste, Bernanos dissimule la tragédie derrière l’apparence policée et posée du texte, et des personnages classiques – le prêtre, le policier, le juge, la femme de ménage… Vous m’intriguez, je vais aller écouter du côté de France Culture, je n’ai pas approfondi la découverte de Bernanos après la lecture de ce roman, qui m’avait un peu épuisée a vrai dire ! Et merci pour votre conseil pour modifier les noms des fichiers et clarifier leur ordre – je ne sais pas si cela est possible simplement, Pauline ou Vincent me diront.

  7. Merci, Fortin, d’avoir pris le temps de laisser un message, que je trouve ici avec du retard. Les retours des audiolecteurs sont précieux et me motivent à poursuivre. Comme déjà écrit, j’ai beaucoup douté pour cette lecture, je suis particulièrement touchée des commentaires tels que le vôtre.

  8. Karine n’est pas au centre de l’histoire, mais ce que l’on en perçoit, en particulier quand elle prend la parole ou que ses pensées et tourments s’expriment, « sonne » juste. Elle m’a, je crois, plus émue même qu’Arsène, plus intellectuel et droit dans ses convictions. Peut-être simplement qu’elle me ressemble davantage …

  9. Chère Pauline, je viens de termine l’écoute de ce roman, qui m’a accompagnée pendant plusieurs jours, et je quitte à regret Arsène, Laure et Karine, Idriss … Chaque personnage est touchant et très humain, dans ses doutes et dans ses désirs, sans être stéréotypé. La description des nouvelles orientations de l’Éducation Nationale (le proviseur est bien gratiné !) n’est pas très encourageante, j’espère qu’il reste possible de garder foi en cette indispensable institution … Bravo pour l’intelligence et la fluidité de l’écriture, ainsi que pour la lecture qui en restitue toute la subtilité. Comme Claryssandre, je ne comprends pas qu’un éditeur ne s’y intéresse !

  10. Merci Fortin, de votre message. J’espère que vous irez jusqu’au bout du texte, qui réserve encore quelques surprises…

  11. Thierry, votre message est le plus beau des compliments jamais reçus ! J’en suis sincèrement émue et vous en remercie. Je ne pouvais imaginer, dans la solitude de l’enregistrement, être écoutée d’une telle façon. Cela m’encourage à avancer mes lectures en cours. J’espère vous retrouver sur une autre lecture bientôt.

  12. Merci de votre vigilance, Sautillant. Nous allons voir ce que nous pouvons faire, mais c’est le combat de David contre Goliath… Cocotte, vous pouvez également contacter directement Audible pour leur demander le retrait immédiat de vos lectures. Affaire à suivre sur le forum, plutôt qu’ici.

  13. Bonjour SOA,
    Si vous écoutez depuis le lecteur du site, pouvez-vous vérifier le volume du bouton ‘haut-parleur’🔈 en passant votre souris dessus ? C’est souvent l’origine du problème, car en cliquant dessus par inadvertance vous coupez le son…

  14. Cher Sautillant, je vais effectivement sortir mon stylo rouge🖍️, car les traductions de K. Mansfield sont signées à 4 mains – si j’ose dire – de Jacques et Germaine Delamain. Cette dernière est décédée en 1956, quelques années après son cher et tendre, et donc leurs traductions ne devraient être libres et disponibles pour ce site qu’en 2027 – il vous faudra patienter encore quelques années. J’aimerais beaucoup en lire, effectivement, mais nous n’annonçons pas en général les lectures si tôt…

  15. J’ai été bien inspirée d’écouter cette lecture, un roman policier parfaitement troussé, aux héros sympathiques ! Cette Mathilde ferait un sacré personnage de série policière, je ne sais si Tristan Bernard a tenté de lui faire vivre d’autres aventures, mais on aurait envie de la retrouver !

  16. Merci beaucoup de votre message, Moal MT ☺️ ! J’ai passé un bon moment avec Rosine, et je suis ravie d’avoir pu partager ce plaisir avec vous.

  17. Merci de votre commentaire, Houlcausseul. C’est un texte qui reste mystérieux, avec des personnages d’une grande complexité. La lecture m’a donné beaucoup de mal, et j’ai bien failli abandonner plus d’une fois… Je suis donc particulièrement fière de savoir que des audiolecteurs tels que vous l’apprécient.

  18. Je vous remercie bien, Estelle, d’avoir pris le temps d’un commentaire sur cette lecture. Oui, la liberté que l’héroïne apprivoise peu à peu, et préfère finalement préserver, n’était sans doute pas si simple à vivre en ce début du XXème siècle. Cette si vive Rosine était bien courageuse, fière et déterminée – sans doute à l’image de son autrice, que j’imagine proche d’elle.

  19. 😉 Je me dis … je me dis… et je doute, en fait, cher Sautillant ! Je creuse un peu, nous verrons ! Affaire à suivre sur le forum dédié des annonces.

  20. Il est possible qu’une chaîne YouTube diffusant des livres d’Harry Potter et diffusant également nos lectures sans aucune autorisation ait été clôturée suite à notre intervention – cette décision relève purement de la politique de YouTube face au respect des droits d’auteur. Nous n’avons fait que signaler les usages abusifs nous concernant, ce qui est parfaitement légitime – et que nous poursuivons.

  21. Merci pour cette lecture d’un texte d’un genre qui me semble inhabituel pour Verne. Votre voix et le rythme de votre lecture sont très agréables à l’écoute et bien adaptés à cette histoire. Et bon choix de musique d’accompagnement – peut-être un brin trop fort par rapport au texte, à mon avis.

  22. Merci de votre message, Estelle. La musique contribue assurément à l’ambiance, c’est pour moi une façon de faire entrer dans l’atmosphère de la lecture et je prends toujours le temps de la choisir et de l’ajuster au texte. Je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance d’obtenir l’accord du compositeur pour l’utiliser ici – après l’avoir essayée plus rien ne me semblait convenir …

  23. À mon tour de me répéter, alors, en vous remerciant bien sincèrement de votre message ! Je suis largement récompensée du temps passé si ma lecture vous permet d’apprécier le charme de l’écriture de cette autrice.

  24. Cher Vincent, je me réjouis de savoir que tu as d’autres romans de cette autrice en projet, c’est une jolie découverte ! Les personnages ne sont pas d’une seule pièce, et même l’héroïne n’est pas sans défaut et au prise à des dilemmes moraux intenses. Mrs Alexander réussit à nous les rendre tous intéressants – de Burgh a fini par trouver grâce à mes yeux, ainsi que la jolie Mrs Ormonde, sans doute d’abord une victime d’un temps où les femmes n’avaient pas beaucoup d’éducation et d’autre espoir de réussite sociale que par le mariage ! J’espérais, pour que tout finisse bien, le mariage de Bertie et Rachel, mais peut-être cela devrait être le sujet d’un autre roman…

  25. Quelle belle idée, Roquebrune ! J’espère que votre petite-fille saura apprécier, en son temps, ces autrices d’une autre époque. Et je me permets de vous signaler la dernière lecture que j’en ai faite, L’Évadée, que j’ai publié il y quelques semaines et que vous trouverez sur notre site.
    Quant à fouiner parmi les autrices : nous avons créé un ‘tag’ qui vous permettra de découvrir de nombreuses autres textes lus par des DDV différents, et qui devraient rapidement vous permettre de remplir votre bibliothèque !

  26. Merci de votre message, Claryssandre, et de votre analyse de ce roman, que je partage complètement. Beaucoup d’humanité, effectivement, dans les portraits de ces différents personnages. Je vais poursuivre la lecture des textes de cette autrice et les publier ici… à mon petit rythme…

  27. Je vous remercie de votre message, Eole. C’est un beau portrait de femme, effectivement, dont je me sens proche par de nombreux aspects – j’ai beaucoup aimé lui prêter ma voix. Si vous ne les connaissez, je vous encourage à découvrir les autres textes de cette autrice déjà disponibles ici – et d’autres sont encore dans mes projets 😊

  28. Merci bien, cher Bruant, pour votre précision sur mon détachement, que j’adopte donc volontiers ! 😅
    Je me suis moi-aussi retenue, dans le descriptif du billet, de dévoiler les liens qui se font et se défont entre les personnages, pour en laisser le plaisir de la découverte.

  29. Un grand et sincère merci à vous, Bruant, pour votre message, qui me récompense du temps passé pour finaliser cette lecture, en particulier pour choisir et ajuster la musique d’accompagnement que je voulais accordée à l’ambiance de chaque chapitre.
    Mais je ne sais trop ce que vous voulez dire par « voix détachée », car je me suis sentie, au contraire, très impliquée dans cette lecture…🤨 Je le prend tout de même comme un compliment dans vos mots !

  30. Merci Pauline, pour ton retour. Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, je n’ai pas eu de difficulté à me glisser dans les mots d’Annie de Pène et dans la peau de cette Rosine.
    Annie de Pène était une amie de Colette, qui l’appelait « mon Annie d’enfance », ai-je lu, ce qui dit leur connivence. Leur vie et leur écriture présentent des points communs, je suis bien d’accord. Malheureusement elle est décédée trop jeune, en 1918, pour laisser une œuvre aussi importante que Colette, mais il me semble qu’elle en avait le potentiel. 😊

  31. Merci à vous, chère Lïat, pour votre message ! Je suis ravie de donner l’occasion de découvrir cette autrice oubliée, dont l’écriture m’a séduite.

  32. Merci Pauline 😊 Il ne reste plus alors que le grand ménage de l’été pour avoir le temps de l’écouter !

  33. Merci beaucoup, Pauline, pour cette belle lecture qui m’a donnée l’occasion de découvrir cette nouvelle de Zweig que je ne connaissais pas. Une tragédie banale, à l’époque en tout cas, comme tu le dis si bien dans le descriptif…

  34. 👏👏Je me joins au concert de louanges bien mérité, et ne peux rien ajouter d’original. Je n’ai qu’envie de vous dire, à tous les deux, BRAVO, BRAVO, BRAVO ! Bravo pour la traduction, bravo pour l’interprétation (passer d’un personnage à l’autre en changeant le ton, le rythme, le phrasé, c’est très réussi !), bravo pour le résultat final très vivant, divertissant et cette plongée dans la bonne société anglaise ! Madame Douglas est impayable, et Helen est un beau personnage, émouvant et sincère. La narration du retour du mari et ce qui s’en suit (sans divulgâcher davantage) m’a fait monter les larmes aux yeux… Je ne peux que m’écrier : à quand la prochaine collaboration entre vous deux ?

  35. Merci beaucoup de votre message, Estelle, c’est très encourageant de se savoir écoutée et appréciée !
    J’espère que les autres textes de Charlotte Perkins-Gilman que j’ai lus vous plairont également. Vous verrez, il y a deux veines, celle des petites nouvelles humoristiques ´édifiantes’ dirais-je, comme la Chaumièrette, écrites sans doute avec l’envie d’encourager les femmes de son temps à prendre leur autonomie, et celle des textes mêlant du fantastique, dénonçant diverses formes de violence envers les femmes, plus intéressants d’un point de vue littéraire, à mon avis – bien que j’ai beaucoup de tendresse pour les premiers.
    Quant à mon micro, c’est un T-Bone de Thomann, directement branché en USB sur mon ordinateur. J’en suis satisfaite, mais je n’ai aucune compétence technique pour pourvoir en évaluer les avantages et inconvénients comparés à d’autres solutions…

  36. Chère Jany, tout le mérite en revient à l’auteur, Ahikar, qui est un fin observateur et a le talent de transcrire en peu de mots ses impressions.

  37. Ah, quel plaisir de démarrer ce long week-end avec la publication de cette seconde partie ! Je l’attendais avant de commencer à écouter la première partie. Je me réjouis d’avance de retrouver vos deux voix dans un roman d’Emily Eden ! Merci d’avance pour le plaisir que vous nous procurez. 🙏

  38. Monsieur Demiesse, vous me faites rougir ! ☺️ Votre message m’émeut aussi, car j’ai lu ce texte en pensant particulièrement à quelqu’un qui, j’en suis sûre, l’aurait aimé également. Par de tels éloges, me voilà bien récompensée du temps passé devant l’ordinateur à enregistrer, couper, nettoyer et recommencer encore. Grand merci pour votre message, qui m’encourage à poursuivre.

  39. Une touchante histoire, effectivement, de cette autrice que je découvre avec vous et que j’ai bien envie de connaître davantage ! Merci de cette belle lecture, en tout point réussie.

  40. Stefan Zweig sait parfaitement décrire les tourments de l’âme, et ceux de cette femme y sont très sensiblement exprimés. Quant au mari, quelle cruauté ! Il y aurait là-aussi un roman à écrire, pour comprendre par quoi il est passé… Votre lecture était, comme toujours, impeccable et j’ai apprécié les discrètes notes de musique qui l’accompagnant et ponctuent votre lecture. Un grand MERCI !

  41. Yves Chantal, votre message est perdu dans les limbes du site 🧐: je l’ai lu pourtant et vous en remercie. Je suis heureuse que cette lecture intéresse tout de même quelques audiolecteurs curieux, qui s’aventurent hors des sentiers balisés des auteurs les plus connus.
    Car il me semble que l’écriture de ce roman est très belle, les sentiments et les paysages y sont décrits finement, et Paule est un personnage de femme que je trouve très attachant.

  42. Je vous remercie de votre message, Estelle. J’aime beaucoup ce texte, la subtilité de la description des sentiments qui annonce déjà La Recherche. Il m’avait donné un peu de mal, à mes débuts, tout à la fois pour trouver ma respiration dans les longues phrases de Proust et affronter la technique d’un enregistrement audio. J’ai lu ici une autre nouvelle de Proust, les autres du recueil ne m’avaient pas tentées par contre. Il faudrait peut-être que j’y retourne voir…

  43. Cher Bruant, je vous retrouve ici ! L’illustration est celle du magazine américain ayant publié la nouvelle, et qui s’était fait la spécialité de ces histoires fantastiques. Je la trouve très réussie.
    La forme du journal ou du récit à un autre est souvent utilisée par Wells, j’aime cette façon de raconter les histoires qui fait passer d’un temps, d’un lieu, à un autre. Elle se prête bien aux lectures audio, je trouve.
    J’ai une tendresse particulière pour ce M. Cave maltraité par sa famille et qui trouve le réconfort dans ce monde lointain qu’il devine dans son œuf. Votre commentaire m’y a fait repenser, et je vous en remercie bien.

  44. Cher Bruant, merci de votre retour ! À vrai dire, Wells lui-même ne devait pas être sur de savoir où il voulait en venir puisqu’il a revu cette nouvelle plusieurs dizaines d’années plus tard et en a modifié la fin…

  45. Merci de votre lecture, toujours réussie et particulièrement divertissante ici ! Je n’avais jamais eu l’occasion d’écouter une enquête du commissaire Rosic, je crois que je vais de ce pas aller jeter un œil du côté des lectures de Cocotte, pour prolonger le plaisir !

  46. Je viens juste de terminer d’écouter ce roman, chère Pauline, qui m’a tenue compagnie pendant plusieurs mois. Je dois avouer que j’y ai trouvé quelques longueurs, mais les derniers chapitres valent largement d’aller jusqu’au bout, et me donneraient presque envie de recommencer au début pour prolonger encore un peu la soirée en compagnie de Batsheba et Gabriel… Grand merci pour cette lecture très réussie, qui retranscrit finement, sans effet superflu, toutes les émotions et contradictions des personnages.

  47. Je vous remercie bien de votre commentaire, Ahcys, qui me redonne du cœur à l’ouvrage en ce début d’année, et l’envie de continuer à proposer des lectures. Je suppose que votre commentaire fait plutôt référence à ma lecture Un dîner en ville de Proust qu’à celle-ci, dans un genre d’écriture bien different 😀
    Le rythme est difficile à trouver pour rentrer dans les longues phrases de Proust, poser la respiration au bon moment pour que la phrase garde du sens à l‘écoute. Je m’y étais prise à plusieurs fois pour cet enregistrement. Vous me faites plaisir en y ayant été sensible.
    Je n’avais lu que deux nouvelles de Proust, je ne m’y suis pas frottée depuis, je n’avais pas été emballée par les autres nouvelles du recueil. Après tout, avec un œil neuf… mais j’ai déjà tellement de lectures en attente !

  48. Bonjour Jade,
    Le lecteur intégré au site ne permet pas de modifier le rythme de lecture, il vous faudrait télécharger le MP3 et en accélérer le tempo dans un logiciel externe (sans pour autant modifier la tonalité de la voix). Cependant, chaque DDV a son propre rythme, qui fait partie intégrante de son style de lecture, il est un peu dommage de le dénaturer, à mon avis…
    Bonne continuation sur notre site

  49. Chère Pauline, il va peut-être falloir que j’ajoute un message d’avertissement au billet : ne pas écouter à la nuit tombée dans une grande maison isolée !
    J’espère ne pas vous avoir empêché de dormir…
    Merci de votre retour, c’est important de se savoir écoutée pour garder l’envie de poursuivre les enregistrements.

  50. Bonjour Marc,
    Cet outil avait été développé par un audio lecteur féru d’informatique, Daniel – Stressless, pour son usage personnel, et il l’avait mis à disposition plus largement aux utilisateurs de L.A. Daniel est décédé il y a déjà trois ans, et son site n’est donc plus maintenu. Il était bien pratique et permettait un tri synthétique des lectures disponibles.
    Le site LitteratureAudio bénéficie à présent d’un outil de recherche avancée, avec des filtres, qui devrait vous rendre service : https://www.litteratureaudio.com/?s#results
    Bonne écoute sur notre site,
    Gaëlle

  51. Je suis d’accord avec vous, Cendrillon, c’est la descente vers la folie, induite par cet enfermement forcé et l’absence de toute distraction, que décrit ce texte avec beaucoup de force. Merci de votre écoute.

  52. Bonjour Jean-Pierre,
    Si vous découvrez notre site, préparez -vous à de nombreuses heures de ménage qui s’envolent par magie, de chemins qui paraissent toujours trop courts, de nuits jamais assez longues pour écouter les milliers d’heures disponibles !
    Mais vous ne trouverez pas de sitôt Simone de Beauvoir, car seules les textes tombés dans le domaine public peuvent être mis à disposition ici, soit 70 ans après la mort de l’auteur et de son traducteur le cas échéant. Ce sera donc l’occasion de découvrir des auteurs plus anciens, certains tombés injustement dans l’oubli que les DDV font revivre.
    Gaëlle

  53. Bien vu, Sautillant ! 😉 Il y a plus d’un âne qui s’appelle Martin… 🍓

  54. Cendrillon, je suis ravie de vous retrouver ici ! Je ne m’étonne pas que ce texte vous ait plu, il partage un peu du mystère et du merveilleux que vous aviez déjà aimés dans Le Sang de la Sirène. Il faudra que je me replonge dans les recueils des nouvelles de Le Braz pour chercher d’autres histoires de cette veine à proposer, que j’affectionne particulièrement. Et quelle belle écriture !

  55. Merci de votre message, Cendrillon, je suis ravie que vous ayez été sensible à l’ambiance de cette histoire.

  56. Je joins ma voix à ce concert de louanges. La lecture posée de Pomme sur l’accompagnement musical donne particulièrement à entendre le poème de Sautillant. Bravo à tous les deux ! 👏

  57. Bonjour JCLD, avez-vous vérifié que le volume du lecteur du site (en bas de la page) ne soit pas simplement en mode silencieux ? Cela m’est arrivé sans y faire attention, et à d’autres également 😉

  58. Merci à tous les DDV pour cette charmante pièce de théâtre. Tout est bien qui finit bien !

  59. Juliette, je suis ravie de savoir que je vous ai donné l’occasion de découvrir Charlotte Perkins Gilman, c’est l’un de mes petits plaisirs sur le site, au delà de celui de lire à haute voix, que de donner à entendre des autrices méconnues.
    Ce texte est, à ce qu’il parait, un classique aux États-Unis, mais me paraît méconnu par chez nous, malgré plusieurs traductions disponibles. Et si vous ne l’avez pas vue, j’ai publié récemment une autre de ses nouvelles dans la même veine, et quelques autres plus distrayantes les années passées.
    Quant à la traduction, j’ai été bien aidée par celle trouvée en ligne, car je ne m’en sortais pas seule, j’ai abandonné plus d’une fois !
    Merci de votre retour, je vous souhaite de belles découvertes sur le site.

  60. Chère Claryssandre, je suis comblée de savoir que mon intérêt pour cette autrice est partagé par de nombreux audiolecteurs comme vous, et que mes lectures participent à faire connaître son écriture. Cela m’encourage à poursuivre l’exploration de ses nouvelles, j’espère en proposer d’autres au fil du temps. Elle a également écrit des textes sociologiques et politiques sur la situation des femmes au début du XXème siècle, mais je me sens plus portée à lire des fictions.

  61. C’est effectivement un bel hommage rendu à tous les DDV du site ! 🥰Mais sous quel pseudo pourrait-il bien est inscrit sur le site ? Un personnage de l’un de ces films, peut-être ??
    Cher Michel, si vous nous lisez, continuez à vous détendre en nous écoutant lire ; et moi, j’avais déjà prévu de passer une bonne soirée devant votre film lundi soir – échange des bons procédés !😃

  62. Cher Bruant, votre analyse de ce texte me semble très pertinente et profonde, je n’avais pas pensé à tous ces aspects psychologiques sur le traumatisme. On sait pourquoi on lit quand on est écouté comme cela ! J’espère obtenir l’autorisation de lire une autre nouvelle du même recueil, qui est très réussie et à plusieurs niveaux d’interprétation également.
    J’aime beaucoup les textes où le fantastique vient juste perturber la réalité et apporter un peu de rêve, d’inquiétude, pour révéler une vérité cachée. HG Wells le fait aussi très bien. Merci de votre fidélité, je retourne très vite au micro !

  63. Encore une belle lecture que vous nous avez proposée là, Bruant ! Comme Ribambelle, il m’a semblé que l’histoire s’étire et accumule les rebondissements de manière un peu artificielle – je me suis même demandée si la publication avait été faite en feuilleton, pour avoir tant de retournements de situation ! – une fois que l’histoire n’est plus centrée sur le château. Votre lecture n’est pas en cause, bien au contraire c’est grâce à vous que je suis allée au bout, et j’ai maintenant envie de découvrir d’autres romans de Radcliffe, c’est dire !

  64. Bonjour Agnès ,
    Nous ne pouvons publier sur le site que des auteurs
     “tombés” dans le domaine public, ce qui correspond en France à 70 ans révolus après leur décès. Les romans de Martin du Gard seront donc libres de droit à partir du 1er janvier 2029… un peu de patience, donc, mais je suis bien sûre que des DDV s’en empareront ! D’icI là, vous avez le temps d’écouter les plus de 8000 livres Audio disponibles, pour des heures – des années même ! – d’écoute et de découvertes !
    Bonne écoute ! 😃

  65. Cher Sautillant, chère Bruissement, merci de vos chaleureux messages. Ils constituent une fière récompense pour le temps passé à lire, corriger , chercher l’accord parfait entre musique et texte….
    La préface du recueil indique que ce texte est la première nouvelle publiée par Charlotte Perkins Gilman, et l’on y retrouve quelques points communs avec Le Papier peint jaune, il me semble. J’ai été bien contente de pouvoir lire la traduction de Virginie Wallbrou, car la première partie est écrite dans un vieil anglais qui m’aurait donné du fil à retordre, et je ne m’y serais sans doute pas risquée.
    Votre analyse est très juste, Sautillant : évocation, suggestion, rien n’est tout à fait explicité et pourtant le drame est deviné, compris, et l’impression laissée sur ces trois jeunes couples sans doute gravée à jamais. Merci encore de votre soutien sans faille !

  66. Merci de votre retour, verotarn. Jean Balde a écrit d’autres romans, qui intéresseront peut-être d’autres DDV pour nous permettre de mieux connaître cette écrivaine oubliée – pour ma part, j’ai beaucoup aimé celui-ci, mais je ne me sens pas capable de me replonger de sitôt dans une lecture aussi longue !

  67. Après Monsieur, j’ai donc écouté Madame Malot, et me suis laissée porter par votre belle voix dans ce court texte mélancolique. J’espère que nous aurons le plaisir de vous écouter bientôt dans des textes plus longs.

  68. Cher Christian, votre Anie m’a tenue compagnie ces derniers semaines de vacances. Votre lecture est toujours impeccable, et l’accompagnement musical discret mais parfaitement choisi pour rentrer dans l’atmosphère du texte.
    Sans doute du fait de ce moment particulier pour moi, j’ai été particulièrement touchée par le personnage du père et son amour pour sa fille, qui transparaît dans tous ses actes. Il me semble qu’au delà du respect et de la loyauté vis à vis des volontés de son frère, c’est ce qui le guide jusqu’à la fin du roman. Je me rends compte que je ne connaissais pas vraiment Hector Malot, et vais me pencher sur les autres lectures disponibles. Merci infiniment !

  69. Le choix d’un accompagnement musical en accord avec ce que je ressens de l’ambiance du texte est toujours un choix délicat et ô combien personnel, qui ne fait pas toujours l’unanimité parmi les audio-lecteurs/lectrices. Vous me faites infiniment plaisir, donc, en y ayant été sensible ! Merci beaucoup, et j’espère effectivement vous retrouver sur une autre lecture.

  70. Cher Vincent, merci de cette découverte ! Une nouvelle fantastique, c’est un genre qui vous va bien à la voix ! N’auriez vous pas envie de partager d’autres lectures de cet auteur ?

  71. Chère Pauline, merci infiniment pour votre retour ! Oui, Jean Balde / Jeanne Alleman est tombée dans l’oubli, ce roman fait pourtant preuve d’une grande finesse d’écriture et d’analyse des personnages, je l’aime beaucoup et suis enchantée d’avoir réussi à faire partager mon enthousiasme.
    Odette était sans doute, au début du XXè siècle, un prénom très courant pour une jeune femme ! Je ne crois pas qu’il faille y voir un hommage discret à Proust… Quant à Eugénie Grandet, il faudra que je m’y replonge, je n’en ai qu’un souvenir lointain… 🙁 Je vois que Pomme en a fait la lecture, je vais peut-être me laisser tenter, pour l’été !

  72. Cher Bruant, j’ai beaucoup aimé votre lecture de ce roman, votre capacité à prendre la voix d’Yvonne sans que cela ne semble forcé, et l’accompagnement musical qui fait entrer dans l’air du temps. Je me suis laissée emporter par votre voix, et ai été émue par ce beau personnage d’Yvonne, qui s’ouvre à la vie et évolue progressivement. Eugène Dabit m’était totalement inconnu, et j’ai bien envie à présent de découvrir ces autres œuvres. Peut-être vous laisseriez-vous tenter par une version 2 de L’Hotel du Nord ?

  73. Chère Lïat, je suis tout émue de votre cri du cœur ! Il ne pouvait mieux tomber pour me donner envie de me remettre à l’ouvrage.
    Quant à votre suggestion de lecture, sur laquelle rompampa a renchéri, elle me laisse un brin perplexe… Je n’ai rien contre les versions multiples, quant il s’agit de proposer une lecture d’un style différent, et j’aimerais beaucoup vous faire plaisir. Mais je dois vous avouer que je ne me sens vraiment pas à ma place dans cette lecture… 😕
    J’ai une autre histoire de fleurs en projet, une nouvelle de Charlotte Perkins Gilman, plus tragique et d’un tout autre style que la nouvelle de Silvestre, je ne sais si elle vous plaira. Car évidemment, la chute en sera moins amusante !
    Bonne fin de semaine à vous également, et merci encore de votre message🍓

  74. Cher Ahikar, je vous remercie de votre message. Le commentaire de Mauriac me paraît un brin dédaigneux (« livre honnête » ?? Est-ce là un compliment ???) mais reconnaît tout de même la belle écriture, la profondeur des sentiments et des personnages, je lui pardonne donc. 😃
    PS : J’ai bien reçu votre courriel, je vous répondrai directement – j’ai été très préoccupée ces dernières semaines et peu disponible, je vous prie de m’excuser.

  75. Merci de votre écoute, Bricolo. Je suis d’accord avec vous, par delà les détails et les modes de vie qui marquent un roman dans son temps, l’âme humaine reste fondamentalement inchangée, et les personnages de celui-ci ne sont pas si éloignés de nous…

  76. Merci à vous, Marie-Thé, d’avoir pris le temps de me faire un commentaire. Le micro est en veille en ce moment, mais bien sûr je reprendrai mes lectures plus tard, quand j’en aurai le loisir.
    J’en ai déjà publié quelques unes qui pourraient vous plaire – je me permets de vous conseiller particulièrement Les Confidences de femmes, lues avec deux autres DDV, d’une autre écrivaine oubliée, Annie de Pène. Ou La Fin de la jalousie, de Proust, une nouvelle émouvante à l’écriture ciselée, que j’avais publiée il y a plusieurs années.

  77. Votre message me comble, chère Christina, et rejoint celui d’Hervé : l’écriture de Jeanne Alleman aka Jean Balde décrit subtilement les scènes, les lieux, les personnages, et nous les rend présents malgré les 100 années qui nous séparent d’elle. Je suis heureuse de contribuer à la faire connaître.

  78. Merci, Hervé, de votre écoute et de votre message. C’est vrai que les descriptions des lieux, à Bordeaux comme dans la campagne girondine, sont très fines et sensibles. Elles m’ont donné l’impression en lisant de reconnaître les lieux, de m’y promener en suivant Paule et Gérard.

  79. Chère Bernie, vous m’avez fait bien rire 😃 ! L’annuaire serait, en fait, un bon exercice de diction pour se chauffer la voix ! Mais j’espère surtout avoir réussi à ne pas vous endormir, avec cette lecture…

  80. Jane Austen et Balzac, je n’y avais pas pensé, à vrai dire, en la lisant… Mais romantique, assurément ! En tout cas, je suis d’accord avec vous, Bruant, le roman est intéressant au delà de l’intrigue sentimentale, dans la description sans concession des caractères – de sa famille, de la bonne société bordelaise, des paysans qui rôdent autour d’elle. Seuls quelques-uns sont « sauvés », plus humains, plus sincères et compatissants.

  81. Merci à vous Lïat, Claryssandre, Bruant, pour vos messages qui me récompensent grandement du temps passé et me donnent envie de retourner devant le micro 🙏🥰
    Pour tout vous dire, j’ai démarré cette lecture au soir du 1er confinement… en mars 2020… la fleur au fusil, pensant que tout ce temps bloquée à la maison me serait ainsi profitable… Quelle naïveté, quel optimisme ! En fait il m’a fallu trois ans pour aboutir, après avoir mis de côté plusieurs fois les enregistrements pour d’autres lectures plus courtes, et avoir eu plus d’une fois l’impression de m’y noyer… L’envie de faire découvrir cette écrivaine et ce beau roman a été une motivation à ne pas abandonner malgré tout, ainsi que l’espoir que la lecture saurait plaire. Mais l’on ne m’y prendra plus de sitôt à me lancer dans un texte si long, je vais retourner à des textes plus courts, plus compatibles avec mon rythme et mes contraintes personnelles.

  82. Je plussoie 👍 au message de Claryssandre ! Bravo pour cette lecture – et la traduction ! – à deux voix, vive, alerte, drôle, fluide. Vous m’avez tenu compagnie pendant un très long voyage, que je n’ai pas vu passer grâce à vous.

  83. Merci beaucoup de votre message, Christina, j’espère que vous aimerez ce roman. Il m’arrive de prolonger le ménage plus que strictement nécessaire pour finir l’écoute d’un livre audio 😃. Mais il y a d’autres occasions de se plonger dans une lecture : une grande promenade en solitaire, les transports en commun, les nuits d’insomnie, les salles d’attente…

  84. Cher René-Pierre, je vous retrouve ici avec plaisir. Christian a fait le plus gros du travail, c’est d’abord à lui que doivent aller vos compliments. J’ai aimé prêter ma voix à Gertrude, qui s’ouvre au monde peu à peu. Merci de votre commentaire, et – grillant la politesse à Christian 😉 , qui je l’espère ne s’en offusquera pas – j’espère vous croiser à nouveau entre d’autres pages.

  85. René-Pierre, Abenne, vos deux messages me comblent de plaisir, me flattent et m’encouragent à poursuivre ! Les retours des audiolecteurs, tels que vous, sont les seules récompenses que nous puissions attendre, en tant que donneurs/donneuses de voix sur ce site ; ils me sont particulièrement précieux et rendent cette activité un peu moins solitaire. J’ai atteint mon objectif si je vous ai fait partager les émotions de ce roman et de son écriture subtile, qui m’ont portées pendant toute la lecture.

  86. Chère Lïat, quel plaisir que de lire votre message ! J’ai moi-aussi été séduite par le style et l’écriture de ce roman, particulièrement dans les descriptions des paysages et dans celle des sentiments qui animent Paule et Gérard. Et les portraits de la bourgeoisie bordelaise sont particulièrement piquants, n’est-ce pas ? Je vous souhaite une bonne écoute de la seconde partie. ☺️🍓

  87. Cher Ponsard, je suis touchée de savoir que ma voix vous a tenu compagnie pendant votre journée de travail. Les paysages des vignes vous auront mis dans l’ambiance, d’ailleurs je suppose que l’histoire aurait pu être transposée en Champagne.
    J’ai moi-même découvert l’existence de cette écrivaine par ses liens avec André Lafon, dont j’ai lu ici un roman et des poèmes. Peut-être que d’autres DDV auront envie de poursuivre l’exploration de ses romans…

  88. Merci Fabien ! 😊 J’espère que l’histoire et le style du roman vous plairont également.

  89. Une belle réussite, de la vignette à l’accompagnement musical en passant – et c’est là l’essentiel ! – par une lecture parfaite, qui attrape l’oreille et transporte jusqu’à la porte de cette chambre mystérieuse ! Merci de nous faire profiter de votre talent de lecteur, cher Bruant, et à très bientôt, je l’espère !

  90. Merci de cette charmante lecture.
    Puisqu’il s’agit de votre première lecture ici, je me permets de vous suggérer d’appliquer un léger filtre sur votre enregistrement pour en réduire le bruit de fond, cela rendrait l’écoute plus confortable, je pense.

  91. Je vous remercie très sincèrement de votre message, Jérôme. J’ai lu plusieurs nouvelles de Wells ici, et je suis d’accord avec vous, j’aime autant L’Œuf de cristal que celle-ci. Je crois que c’est parce que les personnages y sont particulièrement touchants et sincères, attirés par le monde différent qui leur est découvert miraculeusement.

  92. Merci beaucoup de ton retour, Vincent. En ce qui concerne l’image, la version initiale, de même inspiration, mettait plus clairement en évidence le portrait de Charlotte Perkins Gilman derrière le papier peint, il faudrait que je la retrouve dans mes archives. Je me rends compte que celle-ci a été modifiée (pas par moi, a priori) lors de la mise à jour du site, et ne correspond plus à la légende… Et je ne sais pas qui en est l’auteur.

  93. Merci de votre message, Bruant, j’ai moi aussi découvert cette autrice avec ce texte. Les autres textes de Charlotte Perkins Gilman que j’ai lus ici ne sont pas dans cette même veine fantastique, mais j’ai le projet de lecture d’une nouvelle qui le sera.
    Charlotte Perkins Gilman a expliqué la genèse de ce texte, inspiré de sa propre expérience d’enfermement à la suite d’une dépression post-partum. Mais elle en fait quelque chose de plus qu’un récit autobiographique, en insinuant de manière très fine, petit à petit, des éléments de la folie qui emporte le personnage principal. Jusqu’à la dernière phrase, qui a été l’objet de diverses interprétations contradictoires !

×