Gaëlle

Gaëlle

J'aime lire à voix haute depuis toujours, et suis donneuse de voix sur L.A. depuis 2016. Je partage, à mon petit rythme, des textes qui m'émeuvent, m'intriguent ou m'enthousiasment, et me suis même lancée dans quelques traductions. Je participe également à l'administration du site, par le suivi des annonces de lectures.

Ses commentaires les plus récents

  1. Chère Éole, merci de ce joli message ! Que peut-on espérer de mieux, par les mots écrits et lus, que d’apporter un peu de paix !

  2. Cher Franck, je viens de vous envoyer un message à votre adresse mail de contact pour le site.

  3. J’ai beaucoup aimé cette histoire, c’est un joli conte et, qui plus est, une lecture très agréable à écouter. Je vous remercie de nous l’avoir partagée. Quel dommage de ne plus vous croiser ici !

  4. Je dois avouer que j’ai découvert James Joyce avec ces nouvelles, et je n’ai pas et déçue ! La façon d’entrer dans les vies de ces « gens de Dublin » est surprenante, comme si nous arrivions en retard dans une histoire qui a déjà démarré sans attendre le lecteur. Mais quelle vivacité dans ces familles, dans ces portraits d’enfants, quelle ironie douce dans cette façon de décrire ces gens, simples irlandais. Et je rejoins le commentaire de Sylve : la traduction est très fluide, vraiment tres agréable, sans anglicisme malencontreux. Bravo pour tout ce travail, et un immense merci pour cette lecture qui m’a permis d’entrer dans cette oeuvre que je ne crois pas que j’aurais abordé seule.

  5. Eh bien, ce court texte d’Ahikar vous inspire, Émilie, Marc, Jean-Pierre ! Quant au charme de la cité phocéenne – sans parler de celui de l’ami Sautillant 😅😅 – il me reste encore à le découvrir, je n’y ai fait que de courts séjours et en connaît les paysages surtout au travers des films de Guédiguian.

  6. Je dois dire, Sylve, que j’ai longuement hésité avant de proposer le texte à Vincent, étant donné le caractère du personnage de Robert ! Mais Vincent a une tendresse particulière pour les vilains, à qui il sait donner de l’humanité ! 😉

  7. Chère Sylvie, merci pour vous retours toujours très détaillés et riches. Comme Pauline, je ne connais pas vraiment Gide, et crois qu’un texte peut être plus intéressant, plus cohérent surtout, que celui qui l’écrit. Il me semble avoir lui qu’il lui a été inspiré par un couple qu’il a côtoyé. Personnellement, j’ai trouvé subtil la façon dont Evelyne ouvre progressivement les yeux sur la vraie personnalité de Robert, alors même que le lecteur, par de nombreux détails, comprend déjà qu’il s’agit d’un homme qui cherche à manipuler son entourage et à donner une bonne impression de lui. La deuxième partie révèle la profondeur, la sensibilité et l’honnêteté d’Evelyne qui ne se résout pas à la petitesse de Robert. Grâce à elle, sa fille Geneviève pourra être éduquée, choisir sa vie. C’est une histoire de transmission de mère à fille, contre le père, que j’ai trouvée très finement écrite, dans la diversité des points de vue que permet la trilogie.

  8. Le texte est accessible depuis le lien indiqué dans le billet : ‘Consulter la version texte’ – dans la version de l’édition de 1902

  9. Ce qu’il y a de bien, avec vos commentaires, cher Sautillant, c’est que l’on enrichit son vocabulaire ! 📚

  10. Je vous remercie beaucoup de votre message, cher Marc, et de votre écoute. J’ai pris grand plaisir à prêter ma voix à Ahikar pour ce texte, et suis flattée que le résultat le mette en valeur.

  11. Merci de vos messages à tous les trois, Pauline, Jean-Pierre et Ahikar. C’est un texte court mais qui fait voyager et m’a donné l’occasion de découvrir cette lointaine région du Meghalaya, je suis enchantée d’avoir pu le partager ici.

  12. Vous l’avez peut-être remarqué : la sélection par auteur, dans la barre latérale, a été repensée :
    https://www.litteratureaudio.com/classement-de-nos-livres-audio-gratuits-par-auteur

    😃 Plus lisible, avec un classement alphabétique ou par nombre de livres, cette nouvelle présentation devrait convenir à tous ceux et celles qui nous ont faire part de leur difficulté à s’y retrouver avec la liste précédente. Nous devons cette évolution à Julien, qui est en charge des aspects techniques du site. 🙏

  13. Chère Céleste (quel joli prénom !), merci bien de votre message. Je vous invite à poursuivre avec Robert (lu par Vincent) et Geneviève (lu par Pauline) pour comprendre les points de vue des autres protagonistes.

  14. Un petit texte divertissant sans prétention, sans doute un exercice de style pour latiniste, mais avec tout de même quelques zeugmas bien servis pour rattraper l’affaire ! C’est un Verne bien surprenant, loin de celui des grandes aventures au tour du monde, au centre de la Terre ou sur la Lune, mais qui m’a fait sourire tout en m’activant en cuisine. Et pour cela, je vous remercie, cher Kin-Fo.

  15. Bonsoir Soubeyrand,
    Normalement les téléchargements se font sur la première page du billet, et un fichier .zip est téléchargé qui regroupe tous les fichiers MP3 de la lecture. Si cela ne fonctionne pas, vous pouvez nous le signaler sur la page concernée, il y a peut-être quelques fichiers mal référencés sur le serveur, ce que nous devrions pouvoir corriger.
    Bonne découverte !

  16. Je vous remercie de votre retour (dans tous les sens du terme !), chère Lïat ! Vos petites étoiles me récompensent grandement du temps passé à corriger, reprendre, hésiter, recommencer … La deuxième partie (Robert) sera publiée en fin de journée, mais si vous êtes curieuse, vous pouvez déjà y accéder en cliquant sur le lien qui apparaît dans les remarques…😉

  17. Cette phrase que vous citez est à l’image de tout le roman, je crois : elle transmet l’intensité des émotions ressenties par Paule au travers de gestes simples, par des phrases écrites dans une langue élégante et belle, mais sans artifices. Quant à cet Adagio de Ravel au piano, il s’est imposé à moi assez vite ; je suis contente que vous soyez également sensible à l’accord des émotions qu’il éveille, en phase avec le texte.
    Et vous ne pouviez le savoir, mais votre message, cher Sautillant, me touche particulièrement, car ce jour est non seulement l’anniversaire de Jean Balde (ce dont je ne me souvenais plus… ainsi, 140 ans après, nous continuons à le célébrer) mais était aussi celui de mon père… Merci donc, doublement, de ce réconfort que votre message m’apporte ce soir.

  18. Moi-aussi, j’ai été séduite par ce texte, et je suis étonnée qu’il ne soit pas plus connu. Vous verrez, la suite est tout aussi intéressante !

  19. J’espère que le texte vous plaira, chère Lïat – vous nous direz vos impressions

  20. Merci beaucoup, Serge, de vos compliments. Je dirais qu’ils doivent d’abord s’adresser à Gide, car il m’a suffi de suivre le texte. Quant aux deux autres parties, elles vont arriver très vite – je n’en dis pas plus … 🤫

  21. Merci, cher Marc, de ces réflexions sur Rousseau et plus largement sur la vie intime des auteurs. Je propose que cette discussion se poursuive, le cas échéant, sur le forum où l’ami Sautillant a initié un (une ? non, un) appendice au Livre d’Or, et éviter de l’encombrer de réflexions certes passionnantes sur la littérature mais qui n’y ont pas vraiment leur place.

  22. Cher Bébert, vous êtes parfaitement légitime à ne pas apprécier la façon de lire de l’un ou l’autre des DDV, et vous pouvez bien sûr vouloir le faire savoir dans les commentaires – sans liberté de blâmer etc.
    Mais ne croyez-vous pas qu’il y aurait des manières moins abruptes et plus respectueuses de la passion et du temps passé par des bénévoles sur leurs lectures pour le faire ?

  23. Bonsoir Valérie, Je viens de vérifier de mon côté, et n’ai eu aucun problème à dézipper le fichier complet. Je vous encourage à recommencer le téléchargement, peut-être qu’il ne s’est pas fait correctement – il y a quelques opérations de maintenance sur le site en ce moment qui peuvent perturber son fonctionnement.

  24. Les lectures de René Depasse sont très appréciées sur le site. Sachez, chez Alexandre, qu’aucun DDV ne s’octroie l’exclusivité d’un auteur, mais que chacun choisit selon ses affinités, ses centres d’intérêt, ses envies. Par ailleurs, nous publions des versions multiples de textes lus par des donneurs de voix différents, pour vous permettre de choisir. En particulier, de nombreux poèmes de Verlaine ont déjà été lus plusieurs fois, il me semble.

  25. Cher Bernard, je vous ai suivi du Cap jusqu’au Limpopo, et même au-delà, à dos de girafe ! C’est une aventure très divertissante et bien menée, que votre lecture sert parfaitement. Le choix de ce solo de flûte est une belle idée, il contribue à l’ambiance du texte. Et les noms exotiques des populations locales et des lieux, tout participe à nous emporter très loin…

  26. C’est une bonne idée, effectivement, de lire ce dernier roman inachevé d’Edith Wharton, mais il me semble que la traduction française n’est pas libre de droits. Notez que vous pouvez faire des suggestions de lecture dans le forum dédié.

  27. Excellente suggestion, que je rajoute donc à la liste des suggestions de lecture sur le forum dédié !

  28. Eh bien, vous allez pouvoir écouter tout Conan Doyle sur le site, car il y a de quoi faire ! J’aime particulièrement les lectures de Pascal Frêne, mais d’autres DDV ont également contribué au catalogue.
    Quant à l’autrice, si vous êtes en contact avec elle, faites-lui part de mes félicitations 👏 ! Je suis allée moi-aussi fouiner sur le site, je n’ai pas l’impression qu’elle a écrit un autre Sherlock Holmes, c’est bien dommage…

  29. Quelle bonne idée de s’approprier l’univers d’un auteur pour en proposer une nouvelle histoire, et quelle bonne idée de nous en proposer la lecture ! Je n’avais jamais eu l’occasion, je crois, de lire une fan fiction, et j’ai commencé sans tarder l’écoute de celle-ci. Je n’en suis qu’à la moitié, mais l’histoire et le style sont jusqu’ici très convaincants. Et votre lecture, cher Bruant, leur rend honneur, avec ce qu’il faut d’accompagnement et de bruitages pour accompagner l’histoire, sans excès ni effets forcés. J’y retourne de ce pas !

  30. Merci de votre message, qui fait chaud au cœur ! 🥰 Une seule solution, partir un peu au hasard et vous laisser tenter par les vignettes, pour découvrir de nouvelles voix et des auteurs méconnus. Vous avez également la possibilité de faire des recherches par durée, thématique,etc. dans la Recherche Avancée. Votre proposition a été ajoutée à notre liste de suggestions sur le forum dédié, en espérant qu’un DDV s’en empare.

  31. C’est une suggestion qui a déjà été faite et apparaît dans la liste sur le forum dédié : ne reste plus qu’à trouver un·e DDV qui s’y lance !

  32. Bonjour Kostia, je vous avais répondu dans le corps même de votre message, c’est peut-être pour cela que vous ne l’aviez pas vu : comme l’a précisé Pomme, cette autrice n’est pas libre de droits, vous ne pourrez l’écouter ici.

  33. C’est une analyse très intéressante, je n’avais pas perçu tout ce qui était associé à Saha pour Alain si clairement. Mais oui, maintenant que tu l’écris, et cela approfondit encore mon intérêt pour ce texte.

  34. Chère Pauline, je ne suis en général pas très portée sur les livres “animaliers” 😉, mais je me suis laissé tentée par le descriptif et les premiers commentaires, et puis j’aime beaucoup Colette !
    Eh bien, j’ai bien fait, car j’ai été complètement séduite par ce texte, et intéressée d’en comprendre la genèse. On connaît la passion de Colette pour les chats ; son observation précise du caractère de cette chatte, et de la passion qu’elle engendre chez Alain, est très fine. Et tes miaulements sont juste parfaits ! Bravo, bravo ! 😻😻

  35. Je vous confirme, Ricou, que la “Nouvelle histoire de Mouchette” n’est pas disponible sur le site, et ne fait pas partie des annonces en cours, autant que je le sache – elle est à vous, si cette lecture vous tente !

  36. Il me semble, chère Sylve, que cela vient du fait que vous n’êtes pas systématiquement connectée quand vous postez un commentaire. Je ne sais pourquoi ce ‘n’, sans doute une lettre que vous tapez sans y faire attention, mais il me semble que vous n’apparaissez sous le pseudo Sylve que lorsque vous êtes identifiée (cf. ‘Se connecter’ en haut à droite de l’écran).

  37. Bonjour Gerolimich,
    Je ne sais vous dire pour l’inscription, mais quant à l’écoute en streaming, pouvez-vous vérifier que le son du lecteur (haut-parleur en bas à droite de la piste) n’ait pas été coupé par mégarde ? Cela arrive fréquemment.

  38. Je suis très touchée de votre message, chère Sylve ! À dire vrai, je n’ai pas moi-même exploré les autres écrits de Bernanos, je me suis arrêtée à ce Crime – je ne me souviens d’ailleurs plus très bien comment je l’avais trouvé… 😕
    Vous me donnez envie d’écouter moi-aussi les autres lectures disponibles (en particulier celles d’André Rannou, dont j’apprends avec tristesse qu’il nous a quitté, mais nous laisse ici encore à entendre sa voix), et de retrouver Bernanos pour une future lecture ! À suivre…

  39. Je vous remercie, Nadine, de votre message qui est comme un cadeau de Noël arrivé après les autres ! Comme vous, j’ai été séduite par l’écriture d’Annie de Pène, assez proche il me semble de celle de Colette que nous pourrons très bientôt écouter sur le site, et dont elle a été une amie proche.

  40. Je termine juste ce premier tome, qui m’a accompagnée tout au long de la semaine. La raison de ce titre n’apparaît pas dés les premiers chapitres, c’est là sans doute une façon pour Mrs Wood de maintenir le suspens !
    Merci pour cette belle lecture, vivante et dynamique, mais qui sait rester naturelle et sans artifice, et qui maintient en haleine : je me précipite de ce pas sur la suite ! Et j’espère que d’autres romans de cette autrice suivront sur le site – tu lis à la perfection ces romans victoriens, cher Vincent, ils conviennent parfaitement à ton timbre et ton rythme de voix, et en sont à présent indissociables à mon oreille.

  41. Merci de votre longue analyse, cher Sautillant – je me suis permis d’y ajouter une alerte car vous dévoilez un peu trop l’intrigue. 🤐Votre interprétation d’un cauchemar de Lénore, en s’appuyant sur l’étymologie du mot que je découvre grâce à vous, est très intéressante et conduit à enrichir la compréhension du texte. Nerval y a sans doute pensé, lui qui a tellement apprécié ce texte de Bürger qu’il en a proposé deux versions, celle-ci en vers après une première en prose. Je crois qu’elle est plus proche du texte allemand, lui-même en vers.
    Je suis ravie enfin que vous soyez sensible à la version avec musique et bruitages : « dynamise et rehausse », oui, c’est bien là ce que j’essaie de faire en préparant mes accompagnements. Merci ! 🙏

  42. Merci de votre message, Christiane-Jehanne. Effectivement, l’administration du site me prend une bonne partie du temps libre que je pourrais consacrer à mes lectures, qui n’avancent donc pas bien vite… Mais je continue avec plaisir, plusieurs projets sont en cours… et arriveront bien à leur terme un jour ou l’autre !

  43. Cher Florent, j’avais dans mon téléphone depuis longtemps votre lecture, que je viens finalement d’écouter au cours de la semaine. Je vous remercie de ce partage, qui m’a donné l’occasion de me plonger au milieu de l’aristocratie anglaise du début du XIXème – et de découvrir avec stupeur les arguments contre l’éducation des enfants ! Il est assez difficile d’avoir une quelconque sympathie pour cette Mrs Ludlow qui assène des arguments aussi cyniques pour promouvoir l’illettrisme des enfants pauvres. Heureusement que la fin présente un peu d’espoir sur les bienfaits de la scolarisation, malgré tout !

  44. Malheureusement la newsletter n’est pas encore remise en route, nous l’attendons… Augustin, l’administrateur de notre site, pourra sans doute vous donner des précisions à ce sujet.

  45. Philippe, vous ne m’ennuyez pas du tout ! 😀 Les retours des audiolecteurs seuls nous permettent de savoir que nos lectures sont écoutées et appréciées, et sont une vraie motivation à poursuivre les enregistrements. Votre message me fait plaisir, je suis ravie d’avoir réussi à vous emporter dans l’univers de Wells. Bonne continuation sur notre site, vous devriez trouver de quoi vous accompagner encore pendant de longues promenades !

  46. Merci à vous, Michée, de vous être arrêtée sur cette page, d’avoir pris le temps de l’écoute et d’un message. Je suis heureuse d’avoir donné l’occasion de découvrir cette autrice sur le site, avec ce roman.

  47. Cher Bruant, je ne pouvais manquer d’écouter votre lecture de ce roman, dans lequel j’ai retrouvé avec plaisir la plume précise et très sensible de l’autrice, les descriptions des bords de la Garonne, l’inquiétude pour les vignobles. La fin me semble un peu décevante, une forme de renoncement ; j’espérais non pas un “happy end” romantique, mais une prise de conscience, d’autonomie… Sans doute pas l’époque ni l’état d’esprit de Jean Balde.
    Votre lecture est particulièrement intense quand il s’agit de Lucien. Même si le personnage n’est pas très sympathique, la description brutale de ses pensées, de ses aigreurs, de ses regrets, m’a parue remarquable en terme de finesse psychologique – l’œuvre d’une entomologiste de l’âme humaine ! Merci de m’avoir donné l’occasion de découvrir ce roman, qui mériterait, je crois, une seconde écoute pour l’apprécier complètement.

  48. Chère Christina, je vois que vous avez suivi les conseils de Sautillant 😊 ! Merci de votre message. Vous savez – puisque vous en êtes vous-même – que les commentaires et retours sur les lectures sont précieux, pour nous DDV.
    Partager un moment, rendre la vie plus légère le temps d’une lecture, et emporter au loin dans une histoire, voilà ce que pourraient bien être les objectifs de mes lectures !

  49. Merci, cher Marc, de votre message, qui donne l’occasion de remettre en lumière les textes écrits par Ahikar, absent depuis longtemps du site. Son écriture est très vivante et sensible ; personnellement, je suis particulièrement touchée par ses textes courts qui saisissent une émotion, un regard, en peu de mots – je me permets de vous recommander L’Usage du temps, que j’ai lu également, qui est un modèle du genre.

  50. 😁 Pour ma part, je vois bien une certaine malignité dans les … de Sautillant, qui nous oblige à saisir sa pensée tressautante et bifurquante, par sauts et gambades ! 🍓

  51. Chère Sylve, merci pour votre généreux message, qui me comble de plaisir ! Vous êtes très juste, Bernanos dissimule la tragédie derrière l’apparence policée et posée du texte, et des personnages classiques – le prêtre, le policier, le juge, la femme de ménage… Vous m’intriguez, je vais aller écouter du côté de France Culture, je n’ai pas approfondi la découverte de Bernanos après la lecture de ce roman, qui m’avait un peu épuisée a vrai dire ! Et merci pour votre conseil pour modifier les noms des fichiers et clarifier leur ordre – je ne sais pas si cela est possible simplement, Pauline ou Vincent me diront.

  52. Merci, Fortin, d’avoir pris le temps de laisser un message, que je trouve ici avec du retard. Les retours des audiolecteurs sont précieux et me motivent à poursuivre. Comme déjà écrit, j’ai beaucoup douté pour cette lecture, je suis particulièrement touchée des commentaires tels que le vôtre.

  53. Karine n’est pas au centre de l’histoire, mais ce que l’on en perçoit, en particulier quand elle prend la parole ou que ses pensées et tourments s’expriment, « sonne » juste. Elle m’a, je crois, plus émue même qu’Arsène, plus intellectuel et droit dans ses convictions. Peut-être simplement qu’elle me ressemble davantage …

  54. Chère Pauline, je viens de termine l’écoute de ce roman, qui m’a accompagnée pendant plusieurs jours, et je quitte à regret Arsène, Laure et Karine, Idriss … Chaque personnage est touchant et très humain, dans ses doutes et dans ses désirs, sans être stéréotypé. La description des nouvelles orientations de l’Éducation Nationale (le proviseur est bien gratiné !) n’est pas très encourageante, j’espère qu’il reste possible de garder foi en cette indispensable institution … Bravo pour l’intelligence et la fluidité de l’écriture, ainsi que pour la lecture qui en restitue toute la subtilité. Comme Claryssandre, je ne comprends pas qu’un éditeur ne s’y intéresse !

  55. Merci Fortin, de votre message. J’espère que vous irez jusqu’au bout du texte, qui réserve encore quelques surprises…

  56. Thierry, votre message est le plus beau des compliments jamais reçus ! J’en suis sincèrement émue et vous en remercie. Je ne pouvais imaginer, dans la solitude de l’enregistrement, être écoutée d’une telle façon. Cela m’encourage à avancer mes lectures en cours. J’espère vous retrouver sur une autre lecture bientôt.

  57. Merci de votre vigilance, Sautillant. Nous allons voir ce que nous pouvons faire, mais c’est le combat de David contre Goliath… Cocotte, vous pouvez également contacter directement Audible pour leur demander le retrait immédiat de vos lectures. Affaire à suivre sur le forum, plutôt qu’ici.

  58. Bonjour SOA,
    Si vous écoutez depuis le lecteur du site, pouvez-vous vérifier le volume du bouton ‘haut-parleur’🔈 en passant votre souris dessus ? C’est souvent l’origine du problème, car en cliquant dessus par inadvertance vous coupez le son…

  59. Cher Sautillant, je vais effectivement sortir mon stylo rouge🖍️, car les traductions de K. Mansfield sont signées à 4 mains – si j’ose dire – de Jacques et Germaine Delamain. Cette dernière est décédée en 1956, quelques années après son cher et tendre, et donc leurs traductions ne devraient être libres et disponibles pour ce site qu’en 2027 – il vous faudra patienter encore quelques années. J’aimerais beaucoup en lire, effectivement, mais nous n’annonçons pas en général les lectures si tôt…

  60. J’ai été bien inspirée d’écouter cette lecture, un roman policier parfaitement troussé, aux héros sympathiques ! Cette Mathilde ferait un sacré personnage de série policière, je ne sais si Tristan Bernard a tenté de lui faire vivre d’autres aventures, mais on aurait envie de la retrouver !

  61. Merci beaucoup de votre message, Moal MT ☺️ ! J’ai passé un bon moment avec Rosine, et je suis ravie d’avoir pu partager ce plaisir avec vous.

  62. Merci de votre commentaire, Houlcausseul. C’est un texte qui reste mystérieux, avec des personnages d’une grande complexité. La lecture m’a donné beaucoup de mal, et j’ai bien failli abandonner plus d’une fois… Je suis donc particulièrement fière de savoir que des audiolecteurs tels que vous l’apprécient.

  63. Je vous remercie bien, Estelle, d’avoir pris le temps d’un commentaire sur cette lecture. Oui, la liberté que l’héroïne apprivoise peu à peu, et préfère finalement préserver, n’était sans doute pas si simple à vivre en ce début du XXème siècle. Cette si vive Rosine était bien courageuse, fière et déterminée – sans doute à l’image de son autrice, que j’imagine proche d’elle.

  64. 😉 Je me dis … je me dis… et je doute, en fait, cher Sautillant ! Je creuse un peu, nous verrons ! Affaire à suivre sur le forum dédié des annonces.

  65. Il est possible qu’une chaîne YouTube diffusant des livres d’Harry Potter et diffusant également nos lectures sans aucune autorisation ait été clôturée suite à notre intervention – cette décision relève purement de la politique de YouTube face au respect des droits d’auteur. Nous n’avons fait que signaler les usages abusifs nous concernant, ce qui est parfaitement légitime – et que nous poursuivons.

  66. Merci pour cette lecture d’un texte d’un genre qui me semble inhabituel pour Verne. Votre voix et le rythme de votre lecture sont très agréables à l’écoute et bien adaptés à cette histoire. Et bon choix de musique d’accompagnement – peut-être un brin trop fort par rapport au texte, à mon avis.

  67. Merci de votre message, Estelle. La musique contribue assurément à l’ambiance, c’est pour moi une façon de faire entrer dans l’atmosphère de la lecture et je prends toujours le temps de la choisir et de l’ajuster au texte. Je dois dire que j’ai eu beaucoup de chance d’obtenir l’accord du compositeur pour l’utiliser ici – après l’avoir essayée plus rien ne me semblait convenir …

  68. À mon tour de me répéter, alors, en vous remerciant bien sincèrement de votre message ! Je suis largement récompensée du temps passé si ma lecture vous permet d’apprécier le charme de l’écriture de cette autrice.

  69. Cher Vincent, je me réjouis de savoir que tu as d’autres romans de cette autrice en projet, c’est une jolie découverte ! Les personnages ne sont pas d’une seule pièce, et même l’héroïne n’est pas sans défaut et au prise à des dilemmes moraux intenses. Mrs Alexander réussit à nous les rendre tous intéressants – de Burgh a fini par trouver grâce à mes yeux, ainsi que la jolie Mrs Ormonde, sans doute d’abord une victime d’un temps où les femmes n’avaient pas beaucoup d’éducation et d’autre espoir de réussite sociale que par le mariage ! J’espérais, pour que tout finisse bien, le mariage de Bertie et Rachel, mais peut-être cela devrait être le sujet d’un autre roman…

  70. Quelle belle idée, Roquebrune ! J’espère que votre petite-fille saura apprécier, en son temps, ces autrices d’une autre époque. Et je me permets de vous signaler la dernière lecture que j’en ai faite, L’Évadée, que j’ai publié il y quelques semaines et que vous trouverez sur notre site.
    Quant à fouiner parmi les autrices : nous avons créé un ‘tag’ qui vous permettra de découvrir de nombreuses autres textes lus par des DDV différents, et qui devraient rapidement vous permettre de remplir votre bibliothèque !

  71. Merci de votre message, Claryssandre, et de votre analyse de ce roman, que je partage complètement. Beaucoup d’humanité, effectivement, dans les portraits de ces différents personnages. Je vais poursuivre la lecture des textes de cette autrice et les publier ici… à mon petit rythme…

  72. Je vous remercie de votre message, Eole. C’est un beau portrait de femme, effectivement, dont je me sens proche par de nombreux aspects – j’ai beaucoup aimé lui prêter ma voix. Si vous ne les connaissez, je vous encourage à découvrir les autres textes de cette autrice déjà disponibles ici – et d’autres sont encore dans mes projets 😊

  73. Merci bien, cher Bruant, pour votre précision sur mon détachement, que j’adopte donc volontiers ! 😅
    Je me suis moi-aussi retenue, dans le descriptif du billet, de dévoiler les liens qui se font et se défont entre les personnages, pour en laisser le plaisir de la découverte.

  74. Un grand et sincère merci à vous, Bruant, pour votre message, qui me récompense du temps passé pour finaliser cette lecture, en particulier pour choisir et ajuster la musique d’accompagnement que je voulais accordée à l’ambiance de chaque chapitre.
    Mais je ne sais trop ce que vous voulez dire par « voix détachée », car je me suis sentie, au contraire, très impliquée dans cette lecture…🤨 Je le prend tout de même comme un compliment dans vos mots !

  75. Merci Pauline, pour ton retour. Je comprends tout à fait ce que tu veux dire, je n’ai pas eu de difficulté à me glisser dans les mots d’Annie de Pène et dans la peau de cette Rosine.
    Annie de Pène était une amie de Colette, qui l’appelait « mon Annie d’enfance », ai-je lu, ce qui dit leur connivence. Leur vie et leur écriture présentent des points communs, je suis bien d’accord. Malheureusement elle est décédée trop jeune, en 1918, pour laisser une œuvre aussi importante que Colette, mais il me semble qu’elle en avait le potentiel. 😊

  76. Merci à vous, chère Lïat, pour votre message ! Je suis ravie de donner l’occasion de découvrir cette autrice oubliée, dont l’écriture m’a séduite.

  77. Merci Pauline 😊 Il ne reste plus alors que le grand ménage de l’été pour avoir le temps de l’écouter !

  78. Merci beaucoup, Pauline, pour cette belle lecture qui m’a donnée l’occasion de découvrir cette nouvelle de Zweig que je ne connaissais pas. Une tragédie banale, à l’époque en tout cas, comme tu le dis si bien dans le descriptif…

  79. 👏👏Je me joins au concert de louanges bien mérité, et ne peux rien ajouter d’original. Je n’ai qu’envie de vous dire, à tous les deux, BRAVO, BRAVO, BRAVO ! Bravo pour la traduction, bravo pour l’interprétation (passer d’un personnage à l’autre en changeant le ton, le rythme, le phrasé, c’est très réussi !), bravo pour le résultat final très vivant, divertissant et cette plongée dans la bonne société anglaise ! Madame Douglas est impayable, et Helen est un beau personnage, émouvant et sincère. La narration du retour du mari et ce qui s’en suit (sans divulgâcher davantage) m’a fait monter les larmes aux yeux… Je ne peux que m’écrier : à quand la prochaine collaboration entre vous deux ?

  80. Merci beaucoup de votre message, Estelle, c’est très encourageant de se savoir écoutée et appréciée !
    J’espère que les autres textes de Charlotte Perkins-Gilman que j’ai lus vous plairont également. Vous verrez, il y a deux veines, celle des petites nouvelles humoristiques ´édifiantes’ dirais-je, comme la Chaumièrette, écrites sans doute avec l’envie d’encourager les femmes de son temps à prendre leur autonomie, et celle des textes mêlant du fantastique, dénonçant diverses formes de violence envers les femmes, plus intéressants d’un point de vue littéraire, à mon avis – bien que j’ai beaucoup de tendresse pour les premiers.
    Quant à mon micro, c’est un T-Bone de Thomann, directement branché en USB sur mon ordinateur. J’en suis satisfaite, mais je n’ai aucune compétence technique pour pourvoir en évaluer les avantages et inconvénients comparés à d’autres solutions…

  81. Chère Jany, tout le mérite en revient à l’auteur, Ahikar, qui est un fin observateur et a le talent de transcrire en peu de mots ses impressions.

  82. Ah, quel plaisir de démarrer ce long week-end avec la publication de cette seconde partie ! Je l’attendais avant de commencer à écouter la première partie. Je me réjouis d’avance de retrouver vos deux voix dans un roman d’Emily Eden ! Merci d’avance pour le plaisir que vous nous procurez. 🙏

  83. Monsieur Demiesse, vous me faites rougir ! ☺️ Votre message m’émeut aussi, car j’ai lu ce texte en pensant particulièrement à quelqu’un qui, j’en suis sûre, l’aurait aimé également. Par de tels éloges, me voilà bien récompensée du temps passé devant l’ordinateur à enregistrer, couper, nettoyer et recommencer encore. Grand merci pour votre message, qui m’encourage à poursuivre.

  84. Une touchante histoire, effectivement, de cette autrice que je découvre avec vous et que j’ai bien envie de connaître davantage ! Merci de cette belle lecture, en tout point réussie.

  85. Stefan Zweig sait parfaitement décrire les tourments de l’âme, et ceux de cette femme y sont très sensiblement exprimés. Quant au mari, quelle cruauté ! Il y aurait là-aussi un roman à écrire, pour comprendre par quoi il est passé… Votre lecture était, comme toujours, impeccable et j’ai apprécié les discrètes notes de musique qui l’accompagnant et ponctuent votre lecture. Un grand MERCI !

  86. Yves Chantal, votre message est perdu dans les limbes du site 🧐: je l’ai lu pourtant et vous en remercie. Je suis heureuse que cette lecture intéresse tout de même quelques audiolecteurs curieux, qui s’aventurent hors des sentiers balisés des auteurs les plus connus.
    Car il me semble que l’écriture de ce roman est très belle, les sentiments et les paysages y sont décrits finement, et Paule est un personnage de femme que je trouve très attachant.

  87. Je vous remercie de votre message, Estelle. J’aime beaucoup ce texte, la subtilité de la description des sentiments qui annonce déjà La Recherche. Il m’avait donné un peu de mal, à mes débuts, tout à la fois pour trouver ma respiration dans les longues phrases de Proust et affronter la technique d’un enregistrement audio. J’ai lu ici une autre nouvelle de Proust, les autres du recueil ne m’avaient pas tentées par contre. Il faudrait peut-être que j’y retourne voir…

  88. Cher Bruant, je vous retrouve ici ! L’illustration est celle du magazine américain ayant publié la nouvelle, et qui s’était fait la spécialité de ces histoires fantastiques. Je la trouve très réussie.
    La forme du journal ou du récit à un autre est souvent utilisée par Wells, j’aime cette façon de raconter les histoires qui fait passer d’un temps, d’un lieu, à un autre. Elle se prête bien aux lectures audio, je trouve.
    J’ai une tendresse particulière pour ce M. Cave maltraité par sa famille et qui trouve le réconfort dans ce monde lointain qu’il devine dans son œuf. Votre commentaire m’y a fait repenser, et je vous en remercie bien.

  89. Cher Bruant, merci de votre retour ! À vrai dire, Wells lui-même ne devait pas être sur de savoir où il voulait en venir puisqu’il a revu cette nouvelle plusieurs dizaines d’années plus tard et en a modifié la fin…

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