Daniel Luttringer

Daniel Luttringer

Ses commentaires les plus récents

  1. La notoriété de “Sans famille” a écrasé le reste de la production d’Hector Malot, mais nous remédions au mieux, Domi ! Merci pour votre mot.

  2. Merci, Setim, pour votre hommage et surtout pour les nuances comparatives que vous proposez.

  3. Merci à vous, Sylve, votre enthousiasme, votre jolie plume et votre exigence à éviter les clichés ! A bientôt pour un autre Toto Fouinard.

  4. Au sujet de Jules Lermina, je ne peux vous dire qu’une chose, Sylve : c’est un auteur qui a touché à des genres très différents avec, à mon avis, souvent beaucoup de bonheur. A bientôt ?

  5. Ce qui me plaît le plus dans votre mot, Nicole Chambron. c’est : “sans outrance”. Merci à vous !

  6. En fait, il me reste l’impression générale, l’atmosphère et, celles-là, perdurent très longtemps…

  7. Il existe plusieurs éditions de ce formidable roman. Par ailleurs, il est vrai que j’ai tendance à m’affranchir des préfaces. Merci de ne pas m’en vouloir, Marc, et poursuivez gloutonnement !

  8. On retrouve la prose hachée, hachurée, finement labyrinthique de notre Sautillant, prolixe en diable, appréciateur du texte, de l’auteur et – il ne l’oublie jamais – du lecteur ! Merci à lui.

  9. La suite “Le Testament de Grain de sel” m’ayant déçu, j’envisage à terme “La Résurrection de Rocambole”. Patience. En principe, Judex d’Arthur Bernède dans les prochains jours. A bientôt, skap !

  10. De notre côté, Marie et moi goûtons votre prose ô combien singulière !

  11. Vous avez raison, François Gargonne, Amédée Achard est oublié aujourd’hui, alors que sa production a été riche et diverse. Vous trouverez d’autres de ses oeuvres sur le site. Merci à vous !

  12. Le zip est complet et téléchargeable. Que manque-t-il, dites moi, François Gargonne.

  13. Toujours vos savoureuses allusions, Sautillant, votre verve au style unique, vos commentaires décalés, où l’humour est finement distillé !
    A bientôt pour d’autres Lermina et pas que du genre policier !

  14. Effectivement, Côlû Sauvage, ce titre est indisponible dans l’immédiat. Voulez-vous nous indiquer l’autre titre qui ne fonctionne pas ?

  15. Un nouveau Toto Fouinard ne devrait pas tarder, damefa. En attendant, un grand merci pour votre hommage !

  16. La traduction utilisée pour cette lecture est celle de Louis Baron (1847-1914) parue en feuilleton dans l’Echo de Paris à partir du 29 janvier 1900. Je vous mets le lien de la BNF/Gallica mais c’est délicat à lire autrement que téléchargé sur une tablette. Merci pour votre mot, Kubota.
    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k802436q/f2

  17. Après la découverte du site, l’exploration du catalogue vous attend, antenea !

  18. Au moment où j’écris, dimanche le 23 juin à 13h16, le son est normal.

  19. Eh bien, Franny, c’est moi qui suis subjugué par votre enthousiasme ! Merci et à bientôt.

  20. Mais bien sûr, Sautillant, nous ne sommes pas dans le “chef d’oeuvre”, calmons nous, les Moutons Electriques, mais dans la bonne littérature policière populaire, et c’est déjà pas mal !
    Et, naturellement, la parution des enquêtes de Toto Fouinard vont se poursuivre.
    Dans très peu de temps, La Maison tragique…

  21. Aïe, la dernière fois que je l’ai commencé, il m’est tombé des mains…

  22. Vous mettez le doigt, Sylve, sur un passage du livre à la limite du soutenable… Un grand merci à vous qui venez toujours commenter avec beaucoup d’à propos.

  23. Et vous ne serez pas déçu, Julien, car je pense qu’il est encore meilleur…

  24. Ah, une fois qu’on est lancé dans Les Mystères de Paris… Merci, Catherine, et bonne suite !

  25. Si je peux suivre pour ce qui est de mon accent allemand, Sylve, vous êtes beaucoup trop complaisante par rapport à mon chinois ! Ceci dit, je suis heureux d’avoir “attaqué” ce monstre d’érudition et d’analyse psychologique, sociologique, historique et que sais-je-encore ! Un grand merci à vous pour vos commentaires toujours enrichissants.

  26. Un auteur prolifique dont vous découvrirez bien d’autres titres sur le site, clerget !

  27. Merci, Sylve, pour vos analyses, commentaires et avis, presque pas discutables !
    Nous retrouverons le formidable personnage de Baccarat dans la suite, Le Club des Valets de coeurs. A très bientôt.

  28. Cordial salut de même, inénarrable Sautillant, dont les méninges, non engourdies, certes pas, mais un peu labyrinthiques, offrent à l’auditeur (à venir ou non), d’innombrables références et des pistes de réflexion. Un grand merci !

  29. Et la lecture audio devient un formidable viatique, n’est-ce pas, Jean-Baptiste !

  30. Un Léon Sazie, même mineur, est toujours bon à prendre, n’est-ce pas, Sophie !

  31. Ah, que j’aimerais proposer davantage de Miss Wharton, Sylve, mais vous le savez sans doute, peu de traductions sont dans le domaine public… En tout cas, celle-ci est plaisante. Merci pour votre mot.

  32. Ce sont de très belles réflexions que vous proposez là, Pline, tant par rapport à mon épouse, à l’auteur qu’à ma lecture. Un grand merci.

  33. Merci Pauline, je prends bonne note : Veiller sur elle de Jean-Baptiste Andrea…

  34. L’hommage que vous me faites, Harvey, est réjouissant car vous résumez en trois mots mon éthique de lecture. Un grand merci.

  35. Si vous ne connaissiez pas Edith Wharton, vous prendrez plaisir à continuer à la découvrir sur le site, Marc !

  36. Il est certain, Sophie, qu’il va falloir que, tôt ou tard, je m’attelle au tome 2. Mon idée est que je le publie sur l’autre site en feuilleton après celui en cours.

  37. Cela tombe bien, Sophie que je remercie, un Wilkie Collins tout chaud vient d’être publié !

  38. Vous faites une remarquable analyse de cette oeuvre, sylve, c’est un bonheur de vous lire ! Merci.

  39. Ce que vous me dites est plaisant, Florence, merci et bonne écoute à suivre !

  40. On trouve de beaux textes en dehors des grands boulevards… Merci, Sophie !

  41. Je vous en prie, clerget. Certainement, qu’il y aura encore d’autres Braddon.

  42. Prenez du plaisir, sensible Raphaëlle, je tacherai de proposer à l’occasion d’autres inédits.

  43. En attendant, de poursuivre les enquêtes de Toto Fouinard, je publierai dans les prochaines semaines d’autres (excellents) roman de Jules Lermina, un auteur accompli. Merci pour vos bons mots.

  44. Il y a les grands boulevards et les chemins de traverse, j’aime beaucoup ceux-là… Continuez à découvrir, Sophie VV et merci à vous.

  45. Votre analyse de l’oeuvre est magnifique, Pauline, vous rendez un bel hommage à Thomas Hardy et, accessoirement, à moi. Soyez-en chaleureusement remerciée.

  46. Un grand merci, Sylve, pour la précision et la pertinence de votre analyse qui enrichissent le site. A bientôt pour Tess d’Urberville ?

  47. Oui, Alice, la littérature anglaise du XIX° possède un charme propre dont je suis aussi amateur. Merci à vous.

  48. Bonjour Sylve, c’est étrange, vous êtes la première qui a des difficultés de téléchargement. Voyons si Vincent peut faire quelque chose.

  49. L’énigme du Crime d’Orcival étant résolue, que voulez-vous dire, patsy, par deuxième partie ?

  50. L’Empire chinois est actuellement publié en feuilleton sur Audiocité. Il sera publié dans son intégralité sur L.A.

  51. Oui, Marie-Anne, ce texte est formidable et connu… des connaisseurs ! Maintenant, pour ce qui est des pauses sur mesure, tout ce que je peux vous proposer, c’est de ralentir, après téléchargement, le tempo avec un logiciel (libre) genre Audacity.
    Par ailleurs, vous aimerez, je suppose, la suite, L’Empire chinois, ouvrage sur lequel je “travaille” en ce moment. Merci et à bientôt ?

  52. Stupéfiant, oui, j’imagine… En tout cas, voilà qui est réparé (merci Vincent) !

  53. Quelle heureuse surprise, Sautillant, d’avoir été une sorte d’initiateur ! Bonne réécoute…

  54. A ma connaissance des dérogations existent… pour prolonger la durée de 70 ans, genre “prorogations de guerre”…

  55. Eh bien, ce sera déjà une première version. Par contre, Agathe : patience pour la publication…

  56. Oui, Pauline et Agathe, c’est juste, la version de madeleine Rolland n’est pas encore publiable. Mais je viens de découvrir une version de Tess d’Urberville par Louis Barron (1847-1914) parue en feuilleton dans L’Echo de Paris du 29 janvier au 12 mai 1900, et j’ai bien envie de m’y atteler… A bientôt ?

  57. J’apprécie beaucoup votre analyse, Sylve, pertinente et fouillée, et je la partage entièrement. Comme vous, j’ai adoré le “couple” Sophie/Boodle !

  58. Eh bien, voilà, Siana, le chef d’oeuvre a été absorbé, je vous souhaite de nouvelles belles découvertes !

  59. Merci pour votre commentaire chaleureux, Claire ! Notez que vous trouverez d’autres Trollope sur le site.

  60. TOUS les textes de Pierre Loti sont excellents. Poursuivez, Sophie, et merci.

  61. Le “à bientôt” est de bon augure, Bocombe Greenholm, merci !

  62. De grands auteurs, certes, Françoise, mais aussi des oubliés… Merci à vous et à bientôt !

  63. Vous vous faites parfaitement comprendre, Sylve, l’oeuvre n’est de loin pas aussi aboutie que Jane Eyre. Quant au Trollope, il ne vaut pas Les Tours de Barchester, mais enfin, c’est un Trollope ! Merci pour vos mots.

  64. Comme vous le dites à votre manière, ileana, Faguet porte un regard différent (ici, assez féroce) sur le monstre sacré.

  65. Un Anthony Trollope de près de 16 heures dans les prochains jours, cela vous irait-il, pline ? En tout cas, merci pour votre mot.

  66. Merci, Machiavel, mais je suis sûr que vous trouverez de quoi poursuivre sur le site !

  67. Bien vu le cousinage avec “Raison et sentiments” de Miss Austen, nancy, merci !

  68. C’est un témoignage assez exceptionnel, en effet, Sylve. Tôt ou tard, je publierai le voyage de retour, patience…

  69. Je vous en prie, Plume, cela a été un plaisir aussi pour moi d’avoir trouvé ce très beau texte.

  70. En fait, Rima, le texte extrait du Journal des Voyages est présenté en entier !

  71. Marie-Anne, je tâcherai de proposer régulièrement des nouvelles de ce magnifique recueil.

  72. Oui, Sylve, ce qui est formidable, ce sont les divers aspects de cette relation : géographique, culturel, ethnique, religieux, etc., qui en font le sel !
    Par ailleurs, je retiens l’idée de la suite, d’autant qu’il est dans mon disque dur…

  73. C’est un bel hommage que vous me faites là, Sophie ! Merci à vous et bonne écoute à suivre.

  74. Bonjour Ted, je viens de télécharger cette lecture et le zip s’est parfaitement décompressé. Voulez-vous réessayer ?

  75. Mon élan est un peu coupé, renegrandjean, mais votre prose est vivifiante !

  76. J’ai toujours milité pour les versions multiples, vous me redonnez de l’élan, renegrandjean ! Qui va oser répondre et me suivre ?

  77. Mais certainement que Wilkie Collins est apprécié outre-manche, Marie, il n’en demeure pas moins qu’en France tout le monde connaît Dickens et bien moins son ex-ami/rival ! Merci à vous.

  78. Salut à vous Sautillant, heureuse suggestion que celle d’Edgar Wallace que je connaissais sans l’avoir jamais enregistré. Bien nous en a pris, je trouve ! A bientôt et merci.

  79. La pertinence de vos commentaires, Sylve, enrichissent cette page, merci à vous.

  80. Oui, Linda, le dénouement est terrible… Merci pour vos élégants mots.

  81. Oui, Francine, dans cette histoire, l’héroïne subit une sorte de fatalité, mais le style d’André Theuriet est si beau, n’est-ce pas ? Merci à vous.

  82. Ah, L’Ile des morts de Böcklin… un de mes tableaux préférés ! Bonsoir, Sylve et merci.

  83. Vos observations sont particulièrement pertinentes, Sylve, je les approuve d’une certaine manière même si mon ressenti a été différent.

  84. Merci pour cet hommage, Julien, qui résume brillamment mon éthique de lecture !

  85. Un lapsus doit-il OBLIGATOIREMENT être révélateur, malicieux Sautillant vous-même !

  86. Eh bien, nous commencerons par Le Testament mystérieux de cet Edgar Wallace que je vais découvrir, Sautillant, qui nous rappelez, à votre manière, que les versions 2 sont un enrichissement…

  87. Reste à espérer que la lecture sera-t-elle à la hauteur du tableau de Constable, Marie !

  88. Tiens, oui, Edgar Wallace… jamais lu… allons sonder le catalogue “Depasse”. A bientôt, Sautillant ?

  89. C’est tout l’intérêt des versions multiples, Ric ! Merci à vous.

  90. Merci pour le pertinent commentaire, Danielle. Dans le même genre, vous trouverez aussi le regard de Frances Trollope sur Paris et les Parisiens en 1835.

  91. Oui, Sylvie, la délicatesse est une des marques du style de cet auteure. Merci à vous.

  92. L’autre grande oeuvre de la créatrice de Jane Eyre… Merci à vous, Sylvie.

  93. Un grand merci, skap, votre mot chaleureux !
    Le Juif errant ? Je me souviens avoir trouvé interminable la mise en place de l’histoire. J’y réfléchirai.

  94. Je vous en prie, mooncol, régalez-vous (avec un troisième tome en perspective…)

  95. Je vous en prie, rosebretagne, dévorez ! Vous trouverez sur le site d’autres lectures de cette femme de lettre dont Barbey d’Aurevilly a dit ” Elle a la pureté de la plume, cette chose maintenant plus rare que le talent.”

  96. Sautillant, je vois à peu près ce que voulez dire, même si “caverneux” est excessif. J’alterne mes enregistrements avec deux micros différents, utilisés chacun dans une disposition acoustique différente et pour des raisons d’ergonomie. Vous pourriez entendre la différence avec par exemple, Ariadne d’Henry Gréville. Vous me direz et je réfléchirai par la suite.

  97. Oui, on peut hiérarchiser les oeuvres de CD, et le professeur Challenger ne figurera pas en haut, nous sommes d’accord. Mais cette nouvelle m’a néanmoins amusée.
    Quant au sujet de la technique, voulez-vous préciser ? Ma voix un peu voilée sur cet enregistrement (nous sommes en hiver…) ? Ou autre chose ?

  98. Gaston Leroux n’est pas mon chouchou, du tout, mais là, je dois dire que, oui, c’est réussi comme vous le dites si bien avec votre style inimitable ! Merci, Sautillant.

  99. Une nouvelle donne a permis à mon exil (contraint) de prendre fin, JPB Le Moqueur !

  100. Je ne risque pas de lâcher, Francine, je suis à peine de retour ! Quant au texte, c’est plus que du roman, c’est du vécu…
    A bientôt.

  101. Je ne suis pas fou, fou de d’Edgar Poe, mais là, je dois dire… Merci, Sautillant, et bonne année !

  102. Votre pseudo, EclatDuSoleil, vient éclairer l’ambiance sombre du texte ! Merci à vous.

  103. Bonsoir, Sautillant. Comme vous le dites, les enquêtes du commissaire Rosic sont désormais disponibles. A terme, Cocotte et moi les publierons intégralement. A bientôt.

  104. Vous avez raison, Lizzy-Mary, “Croc blanc” et “L’Appel de la forêt” masquent l’étendue de l’oeuvre de Jack London. Il y aura bientôt d’autres courts textes de ce type. Merci à vous.

  105. Le Bulletin de la société des gens de lettres recèle de beaux textes, en effet. Merci à vous, Matteo-Roland.

  106. Oui, le livre ne semble téléchargeable que par chapitres séparés. Nous allons remédier à cela.
    Par ailleurs, il y a effectivement deux livres I, mais dans deux versions différentes, la mienne et une version collective.

  107. Eh bien, pour mon “retour”, voilà un accueil particulièrement chaleureux ! Merci, Sophie.

  108. Nous verrons si ce sera au pas, au trot ou au galop, facétieux Sautillant ! En tout cas, bonjour à tous.

  109. Je ne sais pas si je suis un peu Lupin dans l’âme, ce serait présomptueux, en tout cas, je me sens particulièrement à l’aise dans ce personnage ! Merci, Christine.

  110. Merci pour votre bon mot, mjolk. Pour ce qui est l’aspect technique, je ne maîtrise pas, mais je suis heureux que vous ayez pu le télécharger en entier.

  111. Merci à vous, mjolk. Puis-je me permettre de vous indiquer que vous trouverez d’autres Henry Gréville sur le site ami audiocite.net ?

  112. C’est formidablement pertinent ce que vous écrivez, Alice, et vous enrichissez le site avec votre prose ! Un grand merci à vous.

  113. Merci à vous, Florence, notamment pour le bonus “grand photographes”.

  114. C’est un très beau travail que vous faites là, Alice, merci.
    Je me permets à tout hasard de vous signaler que vous trouverez d’autres de mes Balzac sur audiocite.net, notamment La Peau de chagrin.

  115. Eh bien, Marie-Isabelle, vous pouvez trouver d’autres textes, de Léon Sazie notamment, sur Audiocité.net
    A bientôt ?

  116. Grand honneur, Michelle ! Merci.
    Peut-être, puis-je vous indiquer que je poursuis depuis 2020 sur audiocite.net

  117. Je vous en prie, Florence, c’est un bonheur de vous lire ! Si un jour, vous tombez en panne, même si cela est peu peu probable sur L.A., venez me voir sur Audiocité…

  118. C’est un bonheur que de vous lire, Patricia, et je vous remercie chaleureusement même si je pense, au contraire de vous, que les versions 2 sont, souvent, enrichissantes.

  119. Merci, Maryse.
    Une fois n’est pas coutume, je me permets d’ajouter que des centaines d’autres de mes lectures sont disponibles sur Audiocite.net

  120. Je me réjouis pour vous, Kat, quant à la suite des aventures de ce policier atypique !

  121. Mais oui, Sautillant, cette petite maladresse est innocente ! Bon ménage !

  122. Votre compliment, Sautillant, est amusant : le texte convient au lecteur que je suis, mais l’écriture est chichiteuse… Je conclus ainsi :

  123. Eh bien, merci, élogieux Sautillant !
    Bien vu, le rapport avec Sheridan Le Fanu.
    Cordial salut de même !

  124. Mais oui, Veilleuse, c’est un très beau texte auquel Jane Eyre fait de l’ombre ! Merci à vous.

  125. Merci, Patsy, venez me voir à l’occasion, j’ai d’autres Boussenard et je viens de publier un Kipling. À bientôt.

  126. Ma réponse, Erwan, est directe : si la scène est “juste”, il n’y a pas de difficulté particulière avec des enfants, car, au moment ou j’enregistre, je suis complètement dans la scène ! Merci à vous.
    A tout hasard, je vous signale que j’ai d’autres Edith Wharton sur Audiocité.net.

  127. Nul n’est parfait, dites-vous en substance, Sautillant !
    Eh bien, je souscris et note ce que vous dites au sujet de la vivacité (manquante parfois).
    C’est d’ailleurs drôle, car dans la (vraie) vie, la vivacité est un des traits qui me caractériserait particulièrement!

  128. Oui, Sautillant, bien vu, à ce jour 7 journées sont publiées (notamment 4 supplémentaires sur Audiocité).
    A plus tard, comme vous écrivez.

  129. Votre mot est réjouissant, Erwan, tant pour l’auteur que pour le lecteur ! Un grand merci à vous.

  130. Oui, Sylvie, Eugène Sue est particulièrement doué pour les personnages genre “vil coyote” !
    Merci pour votre réjouissante analyse et votre clin d’oeil à ma prononciation de l’allemand !

  131. Bonsoir Caroline. J’avoue avoir délaissé cet auteur depuis. Je vais probablement le réactiver bientôt mais ce sera alors sur audiocite.net
    À bientôt ?

  132. Le regard clinique de Miss Wharton sur cette société dans une belle traduction… Merci à vous, Carole.

  133. Le texte, rien que le texte, what else ?
    Vous me faites le plus beau compliment du monde ! Merci, Carole.

  134. Je vous en prie, Lïat. A tout hasard, beaucoup de nouveautés sur l’autre site…

  135. C’est parce que la célébrité d’Anthony Trollope n’a pas traversé la Manche, silk. Merci à vous.

  136. Merci à vous, Lyre. Une fois n’est pas coutume, j’ajoute que je publie mes lectures désormais sur audiocite.com

  137. Chère Claryssandre, Pauline m’a confirmé que je pourrai puiser dans son catalogue libre de droits pour des versions 2. Je vais débuter dès cette semaine mais, légitimement, sur Audiocité. Merci et à bientôt.

  138. Merci Claryssandre. Peut-être, Pauline me permettra-t-elle de proposer, à l’occasion, ma propre version de l’une ou l’autre de ses magnifiques oeuvres sur l’autre site ?

  139. Oui, Carole, j’ai fait une version de 3 Hommes et un bateau. Ce que vous écrivez est réjouissant, notamment pour Shmuel ! Merci à vous.

  140. J’en suis heureux, Virginia. On dénombre, hélas, peu d’oeuvres (traduites) de Th. Hardy dans le domaine public…

  141. Si je vous dis, Lïat, que je suis un peu refroidi en ce moment, ça ira ?

  142. Si je vous dis, Lïat, que je suis un peu refroidi en ce moment, çà ira ?

  143. Un grand merci, Aurore ! Quand vous aurez épuisé Arsène Lupin, peut-être pourrez vous me suivre sur Audiocité…

  144. Ma jolie MAJoly, un grand merci. Aussi, je me permets de dire (personne ne pourra m’en vouloir) que j’ai publié depuis début 2020 plus de 350 nouveaux titres sur audiocite.net
    A bientôt ?

  145. Je vous en prie, Lïat, et vous remercie de l’intéressante question que vous vous posez.
    ( ͡° ͜ʖ ͡°)

  146. C’est un bien beau compliment que vous m’adressez, Pamela. Merci à vous.

  147. Merci à vous, Carole, d’avoir pris soin de partager le sentiment qui a été le votre à l’écoute de cette vibrante nouvelle !

  148. Votre méprise n’est jamais que la traduction française du proverbe allemand “Kleider machen Leute”, Maryse. Merci à vous.

  149. Bien compris, Sautillant ! Maintenant, sachant que je publie tous les jours, on peut imaginer que depuis janvier 2019, j’ai peut-être progressé, va savoir… En tout cas, j’ai pris bonne note !

  150. Vous ne pouvez me chagriner en argumentant comme vous le faites, Sautillant, vous vous justifiez très bien. Quant à moi :
    1 – je ne me “mesure” à personne avec mes V2, je propose simplement une alternative ;
    2 – je sais bien ne pouvoir faire l’unanimité, ce faisant ;
    3 – je pense que ma diction, d’une manière générale, est modulée sobrement, ce que l’auditeur percevra ou non ;
    4 – enfin, j’ai peut-être loupé “Le Cousin Henry”, après tout je ne suis pas une machine !
    Bonne journée, Sautillant !

  151. D’habitude, je prends mon café au bar.
    Ce matin, je l’ai pris avec ma femme.
    Elle a l’air sympa.

  152. Vous avez donc décidé, Patrick le malveillant, de me dénigrer sur les deux sites ?

  153. Vous avez raison, Patsy, il manque la lecture complète. Je viens de la signaler à notre modératrice.
    A bientôt.

  154. Chère Chrismarie, vous trouverez Télémaque par Fénelon sur ce site, lu par mon amie Cocotte.
    Mais je me demande si je ne devrais pas l’attaquer, Livre par Livre, sur l’autre site…

  155. Mais oui, Hirondelle, le chapitre 40 est tronqué ! Mille excuses. je rectifie cela dès demain.

  156. Je vous en prie, Seb. J’ai été sensible à ces émotions d’amour platonique, sereine du côté de la femme, plus mélancolique du côté de l’homme…

  157. Eh bien, Philippe, vous postez là un exemple de commentaire fort pertinent et réjouissant ! Un grand merci à vous !

  158. Pour mon dernier titre sur L.A. c’est une joie, chère Claryssandre !

  159. Nous sommes d’accord, Jean-Pierre, vous serez mon avocat au cas où ?

  160. Je vous en prie, Badd, mais n’oubliez pas de noter que la suite sera sur l’autre site…

  161. Je pense avoir davantage l’âme d’un électron libre que celle d’un chef, chère Bruissement, mais vos encouragements me vont droit au coeur !

  162. Cela m’avait été une joie et un plaisir, chère Christiane-Jehanne !

  163. Chère Agathe, le mot “pondération” n’est pas ce qui me caractérise le mieux au quotidien, croyez-moi, mais il vrai que dans la lecture-audio je me sens comme un poisson dans l’eau !
    Merci à vous.

  164. Chers amis, 

    Avant mon départ définitif le 23 décembre et trois lectures programmées jusque-là, il me reste  à remercier les modérateurs :
    – Carole pour son bienveillant accueil en janvier 2017 ;
    – Christine pour sa rigueur et ses ressources de bibliothécaire ;
    – Vincent parce que il est un gentleman.

    Il va de soi que DDV passionné je suis, DDV passionné je reste, la suite se déroulant ici :
    https://www.audiocite.net/recherche.php?lecteur=Daniel Luttringer

    Bien entendu, les séries commencées, notamment Don Quichotte et le Décaméron, y seront publiés le moment venu.

    Bonne suite à tous et à bientôt.

    DanielLuttringer

  165. A Shmuel : le Zigomar sera publié, le moment venu, à ma nouvelle adresse. Qu’on ne s’inquiète pas.

  166. Oui, Claryssandre, c’est limpide !
    A La Fée-Coupaille : votre éloge (le mérité-je ? je suppose que oui, puisque vous le faites…) me va droit au coeur, mais je voudrais en ôter la légère tristesse qui en sourd, savoir que je suis bien vivant, à cette adresse (je radote) :
    https://www.audiocite.net/recherche.php?lecteur=Daniel Luttringer

  167. Cette fable est extraordinaire, Pomme ! Elle est une des clés de compréhension du monde, pour nos joies et nos peines…

  168. Le jour où votre verve se manifeste et que je peux mettre mon grain de sel, eh bien je serai là !

  169. Votre conte m’a violemment ému, Merline !
    Je le note précieusement. Merci !

  170. Le secret est (peut-être) celui-ci : je ne n’ai pas le meilleur caractère du monde…

  171. Oui, Marie, vous avez raison, j’ai été reçu par cet éminent DDV à mes débuts de manière assez cavalière !
    Et vous avez aussi raison de me rappeler une de mes devises !
    Chacune et chacune retrouvera dès aujourd’hui ici : https://www.audiocite.net/recherche.php?lecteur=Daniel Luttringer
    chaque jour une nouvelle, un conte, un essai ou un roman.
    A bientôt, chers amis/amies !

  172. Tout cela est fort gratifiant, c’est certain, et peut-être suis-je en train de pécher par orgueil, ce n’est pas exclu. De toute manière, certains le savent, je DDV-ise déjà ailleurs…

  173. Je ferai face, Gordon. D’ailleurs, l’avenir n’est (jamais) écrit…

  174. It’s not a joke, Gordon, it’s an assumption.
    Je suis et reste DDV, Claryssandre.

  175. J’en suis heureux, Véronique, malgré que mon avenir de donneur de voix sur ce site ne soit pas assuré à ce jour…

  176. Mais oui, Claire-Marie, de la bédé littéraire !
    Bon, je vais m’atteler au tome 2…

  177. Vos prescriptions sont bienvenues, sous la réserve que la BNF/Gallica n’a pas encore numérisé ces titres. Il est vrai que le journal Le Matin a publié Zigomar, mais le confort de lecture n’y est pas.
    Par ailleurs, on peut le trouver aux Editions Les Moutons Electriques, mais non gratuit.
    Je vous proposerai toutefois à l’occasion Zigomar Tome 1.
    A bientôt, Paul.

  178. Je vous en prie, Ceusette !
    Un de ces jours, je vais m’attaquer à Jane Eyre…

  179. La béatification n’était pourtant pas à mon programme, chère Lucie !

  180. Je retrouve avec bonheur la plume inspirée, vivante et précise de Frederik !

  181. Excusez-moi, Hirondelle, c’est mal dit : je voulais dire “comme vous”, c’est à dire : ne le connaissant pas préalablement.

  182. Question quasi technique : eh bien oui, Hirondelle, je découvre le texte en même temps que vous, je suis mon premier audio-lecteur !

  183. J’adore faire ce genre de découvertes, Hirondelle, des textes perdus dans les limbes de la BNF !

  184. Vous n’avez rien à vous reprocher, Véronique, vous avez compris que je cultive une sorte de passion dans cette activité et les contraintes y attachées, je les assume librement !

  185. Petite précision, Véronique : je reprendrai l’ouvrage depuis le début et le publierai Livre par Livre. A bientôt !

  186. D’accord, mes amies, mais d’abord un peu de Don Quichotte, du Tom Sawyer et du Décameron, ok ?

  187. Oui, Fabrice, je vous remercie, et j’ai mis tout cela est dans mon disque dur, mais j’ai bien envie de continuer d’abord avec John Strobbins…

  188. On me signale que l’une ou l’autre fois, j’ai prononcé “patriarcat” au lieu de “patriarchat” et “catéchumène” au lieu de “catékumène”.
    Si l’un ou l’une d’entre vous pouvait m’indiquer précisément les endroits…

  189. Vous êtes loin d’être idiote, Joelle, et vous avez raison : la page du tome 4 mentionne l’enregistrement du tome 3.
    J’adresse un mot à notre modératrice.
    Mille excuses en attendant.

  190. Je pense, chère Hirondelle, que si le sujet de Lucie Rodey n’est plus très actuel, ma génération (finissante) peut-elle se targuer d’avoir fait progresser l’humanité ? J’en doute souvent.
    En tout cas, merci pour votre fidélité.

  191. Je vous remercie, Origan, qui me rappelez que cela fait bien longtemps que je ne me suis pas occupé de Miss Gaskell !

  192. Prévenante Clémentine ! Je peux vous confier que Cocotte a trouvé.
    En tout cas, merci à vous.

  193. Je n’ai pas excuser le vieux Sue, et si la fin n’est pas, certes, celle que tout le monde attend, y compris moi, elle a sa cohérence, ne vous en déplaise, chère Hirondelle d’automne !

  194. Salut Cocotte ! Si tu cherches bien, tu le trouveras sur internet, je l’ai bien trouvé !

  195. Christine, le puits de science, de savoir et d’anecdotes, mes respects !

  196. C’est une histoire terrible, fabrice, en effet. J’ai aimé découvrir les écrits de cette auteure, j’en ai d’autres en prévision. Je me régale d’avance !

  197. J’aurais mieux fait de me taire ! Me suggérer, au lieu d’un polar un monstre comme Don Quichotte, comme vous y allez, Mandarine ! Bon, mais comme vous n’êtes pas la première, je vais le mettre sur la liste, attention je ne vous garantis rien !

  198. Dans quelques jours, Clémentine (avec une voix un altérée, pharyngite oblige) le dernier tome et à suivre, un peu plus tard, Zigomar du même Léon Sazie.
    Quant aux reprises de polars, les V2 sont des alternatives enrichissantes et n’offensent personne. Simplifiez-moi la vie, autorisez-vous une suggestion !

  199. Il existe, en effet, une suite d’une cinquantaine de pages, fabrice. Je la programme après m’être débarrassé d’une pharyngite récalcitrante !

  200. Merci pour vos voeux, chère Claryssandre !
    Un peu fragile, le Daniel, cette année, l’organe le plus important pour lui …!

  201. Vous n’êtes pas au bout de vos peines, Philippe, car la série contient onze tomes, et je serais déjà sur le dernier si une rhino-pharyngite ne m’en empêchait !

  202. Oh oui, Dorothée, j’ai pris un énorme plaisir à lire cette (croustillante) scène !

  203. Je vous en prie, fabrice, vous ne soupçonnez pas comme ce genre de commentaire est gratifiant !
    Je suis amplement récompensé, presque chaque jour !

  204. Les Editions Les Moutons électriques le proposent à 9.99 € le tome. Je lance la souscription ! 

  205. Mais oui, Dorien, je vous remercie de vous inquiéter de cela.
    Disons que je fractionne mon sommeil, mais le compte y est.
    Vous-même, ça va ?

  206. L’oeuvre existe depuis près de 190 ans, et voyez, Manon, comme elle poursuit tranquillement son existence !

  207. Cher Fabrice, la suite s’intitule “La Chanteuse aux poignards” et sera disponible à partir de mercredi 17 heures. Patience !

  208. Je fais au mieux, comme vous savez, Dorothée, mais j’ai une de ces listes…!

  209. Je connais bien le juge Ti, Fabrice, mais son créateur, Van Gulik étant mort en 1967, son oeuvre ne sera dans le domaine public qu’à compter de 2038, sous réserve que leur(s) traducteur(s) ne soient pas eux-mêmes décédés après 1967. Désolé.

  210. Je travaille TOUJOURS aux suites, dans des délais plus que raisonnables, et, notamment, quand je sais qu’on les attend ! 
    A bientôt, Fabrice !

  211. Vous devriez ménagez un peu plus ma fierté, Fabien !
    Un grand merci à vous.

  212. Je regrette votre remarque, Jim,car elle est injuste pour la raison principale que mon premier rôle est de partager mes lectures audio et donc les connaissances qu’elles véhiculent.
    Je me considère comme un “passeur” et à ce titre veut rester le plus souvent neutre. Si vous tenez à mon point de vue sur ce sujet, je vous dirai simplement que j’aime pas à m’ériger en juge au sujet de pratiques culturelles et notamment alimentaires, souvent très anciennes. J’approuve bien évidemment votre position.

  213. Oui, les classiques, certainement !
    Mais il comme il est réjouissant de découvrir (re-découvrir), derrière les stars, des auteurs, plein d’auteurs !
    Un grand merci à vous, silk !

  214. Je dois dire, chers amis, que j’ai déjà pu bénéficier de qualificatifs, disons, moins campagnards !
    Mais le coeur y est, je le sais !

  215. Eh bien voilà, j’attends ce moment depuis assez longtemps, en fait depuis que ma femme m’a signalé cet été l’erreur, notamment, sur le Maître d’école (sans me dire à quel endroit…).
    Evidemment, si je me réécoutais, comme mes collègues, après l’enregistrement brut…
    Mais chacun sait, plus ou moins, que je m’y refuse pour me permettre de “produire” plus. Lorsque je pense au temps que prendrais la réécoute, la sueur me coule le long du dos…
    Là, tout de suite, je vais rectifier le livre 2/02 à 1’47 en attendant les autres signalements.
    Merci, Julien !

  216. Eh bien, Serge Lusignan, sachez qu’au moment ou j’écris ces lignes, je suis sur le 10ème et dernier tome !
    A bientôt !

  217. J’ai pris une énorme plaisir à ce Jane Austen, chère Lyse !
    Vous noterez avec intérêt, j’en suis sûr, qu’après Lucy Rodney, j’entreprendrai Orgueil et Prévention (avec l’accord tacite de Vincent de l’Epine…).

  218. Dorien, ne touchez pas à Claryssandre, c’est une merveilleuse auditrice !
    A cette même Claryssandre, je dirais : n’espérez pas trop Le Juif Errant, j’ai commencé le premier tome, l’ouvrage m’est tombé des mains…
    A bientôt, chère amie, pour un Henry Gréville ! Et à bientôt tout court, Dorien !

  219. Oui, Parraine, j’arrive au bout… des Mystères de Paris… mais pas d’Eugène Sue !
    Merci à vous et à bientôt !

  220. “Est-ce normal de se reconnaître un peu dans ce style de fonctionnement de pensée…”
    Certainement, Deli !
    Et merci pour vos “écoutes” !

  221. Ecoutez, Marie et Erwan, si notre époque a (probablement) perdu en finesse et en subtilité dans l’expression des émotions, il me semble que vous, vous avez échappé à ce mal, non ?

  222. Pour tout dire, Badd, je m’attendais, non sans une humble prétention (l’oxymore !) à ce que la suite soit demandée plus tôt…
    Donc, Daniel-le-fanfaron inscrit la deuxième journée au programme !

  223. La table des tomes est juste, cher Shmuel, ce qui signifie notamment que le tome 8 est à venir (dans un délai acceptable, promis).

  224. J’en ai deux dans mon disque disque dur.
    Je suppose que je les mets au programme, Claudie…

  225. Etant né sous le signe du Verseau, Erwan, il m’est difficile d’échapper à l’une de ces caractéristiques, savoir son côté “fanfaron” !

  226. La perfection n’est pas de ce monde, mais je ne vous en remercie pas moins, Franny !

  227. Oui, Claudie, l’oeuvre est très belle. Ecoutez, je m’attelle au dernier tome mercredi, je l’aurais fini jeudi, Christine pourra le programmer en début de semaine prochaine au plus tard, d’accord ?

  228. Evidemment, l’intégrale aurait été mieux, iolkan ! Aurai-je un jour le cran de compléter…?

  229. Rassurez-vous, dany, il ne manque rien dans mes versions. L’ordre de parution respecte celui de Gallica, il est chronologique (même si le titre de l’un chez eux est erroné). A terme il y en aura 10, et je suis sur le 7. A bientôt !

  230. En fait, Eric, j’avais interverti les deux derniers tomes et donc voulu rattraper la bévue, ainsi ils ont été plus rapprochés. Mais vous pouvez noter, par ailleurs, que je vais attaquer la suite sans délai. A bientôt !

  231. Comme je suis heureux de partager la redécouverte de cet étonnant détective-policier, chère Claire-Marie !

  232. Par “gâtée”, il faut comprendre “guérir”, bien entendu, Brigitte !

    Daniel-le-fanfaron

  233. Eh bien, Brigitte, si votre fille aime Jane Austen, elle risque d’être gâtée dans les prochains mois !
    Un grand bonjour à vous et à elle !

  234. Avant l’intervention de la Fée ci-dessus, un méchant sorcier m’a interdit provisoirement de vous dire, Isabella, que bien entendu vous pouvez utiliser mon (mes) texte(s) sur votre site.
    Webmasteriez bien !

  235. Je vous en prie, Amin. Vous savez, je me régale aussi, et avant vous !

  236. La réciproque n’en est pas moins vraie, Origan !
    Que serions-nous, les DDV, sans l’écoute attentive et bienveillante des auditeurs/auditrices ?

  237. Un grand merci à vous, Patty, pour vos micro-commentaires toujours bienvenus !

  238. Je suis heureux, Patty, de publier des textes d’historiens méconnus ou oubliés de ce niveau !

  239. Alors comme ça, Birdy Odette, on se branche sur L.A. la nuit !
    En tout cas, je vous souhaite une bonne écoute !

  240. Je suis déjà dessus, Gordon, mais avec les vacances et les projets de mes collègues, il y aura un peu d’attente.
    Patience !

  241. Je n’ai plus qu’un inédit de Thomas Hardy sous le coude, gibou…
    Je vais l’enregistrer bientôt.

  242. Vous ne pouvez savoir, Lanzellotti Glaucia, à que point je suis touché, sachant que ma deuxième fille adoptive vient du Brésil !

  243. Croix de bois, croix de fer, etc.
    Notez juste que je veux aussi respecter mes engagements déjà cités plus haut…
    A bientôt, Paule !

  244. Voilà un commentaire pertinent, Patty, comme on les aime ! Je poursuivrai, bien sûr, la lecture des nouvelles du Château enchanté !

  245. Recevoir d’un des pairs les plus prestigieux (du royaume) de L.A., un éloge aussi marqué, c’est trop d’honneur !
    Merci infiniment, cher André !

  246. Promis, marlene, tout Austen ! Et dans des délais acceptables (vais essayer chaque tome en moins d’une quinzaine…)
    A bientôt !

  247. Je savais, Emeraude, que vous frapperiez fort !
    C’est magnifique, mais attention, avec votre talent, vous êtes sommée de venir enrichir souvent le site !
    A bientôt !

  248. Oui, c’est une littérature subtile, grattepanche, je suis heureux de proposer régulièrement Henry (Henriette ?) Gréville !

  249. J’ai une hénaurme liste de versions 2 à venir, cher pierre ! Mais pas que…

  250. Rien de fracassant, juste des émotions contenues, et c’est de LA littérature…
    Merci à vous, le (les ?) délicat(s ?) Frederik !

  251. C’est quand même incroyable, avant-hier encore je me disais : “bien mollassons les auditeurs en ce temps estival…!”
    Me voilà bien “puni” !

  252. C’est bien ce que vous dites, Brigitte, mais j’ai envie d’ajouter que mon émotivité, je crois, ou j’espère la canaliser dans mes lectures. Je pense que je l’ai souvent dit, mais tant pis : lorsque j’enregistre, j’ai le retour-son dans l’oreille, et je deviens en quelque sorte schizophrène car quelqu’un me raconte une histoire qui me fait vibrer…

  253. Serais-je susceptible ? Je crains que oui…
    En tout cas, me voilà rasséréné, et impatient de vous proposer, à vous deux notamment, le tome 2 !

  254. Oh, Claudie, ne me dites pas que vous me reprochez mon éclectisme !
    Je propose un à deux romans par semaine, plus trois ou quatre nouvelles, contes et essais, dans tous les domaines !

  255. Me dépêche, Claudie ! Me dépêcherais encore plus si je n’avais des feuilletons en cours (Mystères de Paris, Martin Numa, et je sais plus quelle demande…)
    A très vite !

  256. (Presque) tout le monde aura compris que ma première réponse contenait une (assez habituelle) dose de provocation, mais je dois humblement préciser que je croyais les deux prononciations admissibles… Au temps pour moi/autant pour moi !

  257. … “aussi” discourtois et non “moins” discourtois, bien sûr… Voilà ce que c’est quand je m’énerve…

  258. J’aurais pu vous répondre autrement si vous ne m’aviez interpellé sur un ton moins discourtois. Maintenant, en plus, vous m’injuriez !

  259. Merci à Frederik qui ne s’est pas attardé à une broutille et dont la plume est la deuxième bénédiction de la journée !

  260. Vous allez être très déçue, Nadine, mais je suis parfaitement au courant pour “gageure”, sauf que, justement, çà JURE à mes oreilles, et je fais exprès de le prononcer “mal” !

    Signé : Daniel-l-esthète-qui-se-fiche-de-certaines-règles

  261. Vous êtes une bénédiction, crazyclara, en cette période estivale, bien mollassonne du côté des audio-lecteurs, semble-t-il …!

  262. Votre (relatif) dépit, André, m’interpelle à titre personnel : je n’ai JAMAIS autant de pages vues en si peu de jours que vous, jamais !
    Allons, André !

  263. Mais certainement, Bianca ! Il s’agit de Jessie Catherine Couvreur (1848-1897).
    Pour votre information, nous retenons en principe toujours la norme de data.bnf.fr

  264. Je comprend votre souhait, Fabien, d’avoir tout en bloc. Il reste quatre tomes et comme je ne traîne généralement pas…
    A bientôt !

  265. Oui, tontonzark, le conte porte souvent en lui une force philosophique attrayante, et Hesdin-Norredin n’y échappe pas ! Merci à vous !

  266. Mon style, ma méthode sont ce qu’ils sont, ils ne changeront pas, chère Bruissement !
    Mais comme j’aime ces échanges qui précisent et nuancent ce sujet ! et comme je suis touché de cette respectueuse et délicate réponse de Vincent !

  267. A Vincent et Bruissement : moi qui suis contre l’ajout de musique, me voilà joliment mouché n’est-ce pas ?

  268. C’est toujours un grand plaisir, Lyse, de partager un Henry Gréville !

  269. Oui, c’est une très belle oeuvre, Deli, mais que vouliez-vous dire, par “tout” ?
    “Entièrement” dévoré ?

  270. J’ai pris un grand plaisir à lire et, désormais, partager cette oeuvre.
    Probablement, Frederik, avez-vous été, sur votre esquif au bois de Boulogne, moins ébouriffé que Louis Garneray sur les océans !

  271. Cela a été un grand bonheur que “d’incarner”, si vous me passez l’expression, cet irrésistible libertin !
    J’ai grande confiance dans vos choix littéraires, Frederik, et j’ai pris bonne note pour vos deux suggestions.
    A bientôt !

  272. Avec un peu de mélancolie avant le dénouement, n’est-ce pas, Dorothée !
    Merci à vous et à mon compatriote alsacien André Lichtenberger !

  273. Je vous en prie, Simanot Oleg, exprimez-vous librement !
    Je viens juste “d’attaquer” le tome 6…

  274. Voyez, Claryssandre, comme cette suggestion d’emilieemilie a fait des heureux, dont vous et moi !

  275. Ah, l’accent franglais…! J’avais un doute, mais si vous approuvez, Deli…!
    Quant aux chocolats, ils sont grandement appréciés !

  276. Compris, Hirondelle ! On va essayer de sortir le tome 6 pour la semaine prochaine…

  277. Je vous en prie, tontonzark-nadia !
    Pour ce qui est du Marie-Antoinette de Stefan Zweig, son traducteur, Alzir Hella, je le précise à toutes fins utiles, n’est pas encore dans le domaine public…

  278. Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris le mot “malheur”, chère Hirondelle, parce qu’apparemment vous êtes heureuse !

  279. Cher Serge du Québec, je suis honoré par vos mots et heureux de vous avoir fait faire cette découverte !
    En attendant le tome 6, je suis sûr que vous trouverez de quoi remplir vos oreilles aiguisées !

  280. Je ne suppose pas, Delphine, que n’avez pas, malgré tout, bien aimé cette lecture-ci !
    En tout cas, j’inscris Mansfield Park ou plutôt Le Parc de Mansfield (traduction libre de droits) sur ma (longue) liste !

  281. J’adore vos commentaires, emiliemilie !
    Si ce genre littéraire est réservé a priori aux aficionados, je serai très heureux de faire découvrir cette oeuvre emblématique aux néophytes !

  282. Oui, Boeglin, la désuétude littéraire a aussi du charme ! Vous pouvez noter qu’il y a 9 tomes…
    A plus tard !

  283. C’est une bonne idée, Bianca, je vérifierai néanmoins le caractère “libre” de la traduction.

  284. A part des Selma Lagerlöf et Andersen une nouvelle de Jonas Lie, je n’ai pas grand-chose en stock, Bianca, mais Je vais penser à vous.
    Pour Hamsun, il faudra attendre un bon moment…

  285. Aïe, Bianca, presque pas de traductions de Thomas Hardy dans le domaine public, Goddam !
    Dans l’immédiat, j’ai encore une nouvelle que je vais programmer de ce pas.
    A bientôt.

  286. Mais oui, Marjolaine, rendons hommage à Frederick !
    Merci à vous aussi !

  287. Comme je suis concerné, Mariza, je dois vous répondre que ce court essai sur la princesse de Lamballe n’a pas été numérisé (publiquement) à ce jour.
    Je vais toutefois remédier incessamment à cette situation en le numérisant moi-même et le rendre accessible sur la page de la lecture en question.
    A bientôt.

  288. Votre demande, Patrick, est impossible.
    Voyez : en nombre de pages vues, il n’y a pas “photo”, c’est René Depasse.
    En pourcentage de like, c’est DanielLuttringer.
    Conclusion : vous êtes condamné à écouter les deux versions !

  289. Rajouté-je un peu à votre bonheur, Deli, si je vous dis que le tome 3 pourrait être en ligne mercredi ou jeudi ?

  290. Me demande si j’ai bien fait de l’annoncer si tôt… Allons, c’est jouable ! A bientôt chère Lyse !

  291. Merci à vous, Sandrine !
    Je vais programmer “L’Amie” de Madame Gréville pour le mois d’août.

  292. Vous n’êtes pas sur la page de “L’Italien” de Miss Radcliffe, on est d’accord, emilieemile !

  293. Vous trouvez toujours les bons mots, Frederik, je vous l’ai déjà vous êtes une “plume” !
    Sinon, notez que Faublas 4 sera disponible samedi soir…

  294. J’ai été heureux de la lire, et de VOUS lire à l’instant, Sandrine !

  295. Je vous en prie, Marie, si vous préférez patienter ! Hier Parraine, elle, s’amusait de cette ambiance “feuilleton”. Quant à moi, je vais poursuivre régulièrement (sans trop d’attente entre les tomes…).
    A bientôt !

  296. Je reviendrai régulièrement, Pahinda, avec des nouvelles d’Edgar Poe. Merci à vous !

  297. Vous me comblez infiniment, Simanot Oleg, car j’avais quelques craintes quant au passage incessant entre la voix off du narrateur et lui-même dialoguant ! Merci à vous !

  298. Disons MDP 5 en voie de finalisation, Faublas 4, puis Martin Numa 3. Et vous savez que je traîne pas, El catala !

  299. Je vous souhaite une bonne écoute et surtout une belle découverte littéraire, Joël ANDRE !

  300. Merci, Claryssandre. Je reviendrai souvent avec le Dr Cabanès, ses textes dévoilent les coulisses de l’histoire. A bientôt.

  301. Je vous remercie, Louise, pour votre appréciation. Puis-je me permettre une question peut-être inopportune : ne serait-ce pas vous qui auriez “commandé” Barbara de Miss Braddon, publié voici quelques jours ? (Je pense avoir gardé de prénom de Louise en mémoire ).

  302. Oui, grattepanche, vous avez raison mais voyez aussi aujourd’hui comme l’Histoire cherche à se venger avec ce néo-féminisme militant issu des campus américains !
    En tout cas, merci à vous !

  303. Eh bien, par exemple, la poursuite de l’enregistrement des oeuvres de cette remarquable femme de lettres, lyre ?

  304. Fier de mes origines, d’abord alsaciennes, ensuite autrichiennes, puis anglaises, je ne me plierais pas pour autant à l’exercice de lire un conte alsacien avec l’accent adhoc.
    Pour rendre justice à un auteur, à un texte, je suis certain qu’il faut précisément effacer sa personnalité, son identité, ou en tout cas les mettre en second plan.
    Vous êtes délicate, Claryssandre, je sais que vous comprenez cela parfaitement.
    Je retourne au tome 5 des Mystères de Paris…

  305. Chers amis, si vous le permettez, je vais quand même légèrement refroidir votre exaltation au sujet de TOUS les accents, car il n’est peut-être pas sûr que, si je “lâchais” mon accent alsacien dans mes lectures…

  306. Vous avez raison, chère Québecoise, notre Alice a encore produit une merveille de roman !
    Merci à vous, et à jeudi soir pour Paul Bourget !

  307. Je crois, Joel, que vous venez de montrer dans vos mots que vous savez très bien me remercier ! A bientôt !

  308. Aïe ! Comment vous dire, chère Claryssandre, c’est très mystérieux, alors même que pas beaucoup de genres ne me résistent, si je peux me permettre cette forfanterie, la traduction de cette oeuvre m’a littéralement asphyxié ! Je l’ai abandonnée…

  309. Vous ne savez, pas emiliemilie, mais je suis en plein dans L’Italien…

  310. Bien sûr, Mamadou, vous avez totalement raison ! Mais soyez aussi pleinement rassuré pour moi : c’était VRAIMENT une erreur de frappe !

  311. Ça finit bien, ça finit bien… disons dans la “sérénité apaisée” ! Mais j’aime bien que vous avez eu (un peu) peur, Lïat !

  312. Ok, Eric, merci, mais il y a plusieurs “feuilletons” en cours : Louis Garneray, Le chevalier Faublas, Les Mystères de Paris 5, ouf, puis Martin Numa 3 ( à moins que j’intervertisse, volontairement ou non !)

  313. J’ai adoré ce roman, alors même que son style (celui du traducteur), pas très orthodoxe, m’a un peu dérouté. Je ne suppose pas que cela s’entende !
    Merci à vous, chère Lyse du Québec !

  314. Si vous saviez, Jean-Pierre, à quel point je ne mérite pas votre qualificatif !

  315. Un donneur de vois alsacien qui aurait un petit accent du sud et dont l’ADN est à 75% anglais, ça donne… moi ?
    En ce qui concerne le mot-clé Irlande, je suppose que Christine s’en chargera !

  316. J’ai bien peur, Choupinette, que vous ne connaissiez pas encore ici le fin mot de l’histoire, j’en suis même sûr : il y a 9 tomes !
    Je vais tâcher de les “produire” rapidement…

  317. Eh bien, Monsieur N de la revue Visage vert, je vous remercie de nous communiquer cette donnée. J’ai pris note également de l’adresse de votre site web qui offre d’étonnantes informations sur la littérature fantastique.
    Je suppose qu’emiliemilie ne sera pas déçue d’apprendre la supercherie, après tout Arsène Houssaye l’a commise brillamment !

  318. C’est surtout mon éclectisme, emiliemilie, qui en est cause !
    Nous inscrivons donc “L’Italien…” au programme, après Mary Elizabeth Braddon (en cours) et Henry Gréville.
    A bientôt !

  319. Stop, sinon ça va finir en sais pas quoi, je suis suis sûr que Gordon et JL ont bien compris l’humour irrévérencieusement facétieux de JPB !

  320. Ce tome 4 est très bon, tontonzark, mais La Goualeuse n’y figure pas. Patience…

  321. Chère Emilie, dans mon disque dur pour l’instant il y a : Les Chateaux d’Athlin et de Dunbayne – Un roman sicilien – Le Roman de la forêt – Les Mystères d’Udolphe – L’Italien ou le confessional des pénitents noirs – le Tombeau – L’Hermite de la tombe mystérieuse – Le Couvent de Sainte Catherine. Et comme j’ai régulièrement un petit piolet plus un pinceau en main pour mes travaux archéologiques, il n’est pas impossible que je découvre un jour encore une nouvelle comme La Trépassée.
    Choisissez un titre, et je le mets sur ma liste à suivre.

  322. Toujours, toujours, Jean-Pierre se mêle de ce qui ne le regarde pas et s’invite dans la conversation avec son stylo-plume rempli de gaz hilarant !

  323. Mon Dieu, que c’est beau ! C’est actuel, c’est classique, c’est éternel ! Je vous félicite chaleureusement et suis fier de participer à ma manière à votre merveilleux travail !

  324. Vous êtes sculpteur, JL, ou quelque chose comme ça ? Je vous en prie, si vous avez un blog ou un site web, n’hésitez pas, partageons !

  325. C’est très étrange, JL, vous avez lu ma réponse par mail, mais elle n’apparaît pas sur sur cette page ! Comprends rien…
    En tout cas, votre bienveillance me touche beaucoup. Je note que vos préférences vont aux romans (hormis Arsène Lupin, tiens donc !). Puisque vous allez tomber en panne bientôt, osé-je vous inviter à écouter mes lectures courtes qui embrassent tous les genres (ou presque) ?
    A bientôt, chère JL !

  326. Vous êtes lumineuse, Aurore Boréale !
    Maintenant, pour être tout à fait franc, étant un amateur (éclairé ?) de musique, je dois vous avouer que le jour de la Fête de la Musique est probablement le seul jour où je n’écoute PAS de musique !

  327. Tout ça pour moi, Frederik !?
    Allons, ce n’est pas raisonnable, j’en ristourne une bonne partie à l’auteur !

  328. Comme je suis loin d’être poète
    L’inspiration me fait défaut
    Et je n’ai rien en tête
    Pour répondre à vos mots !

  329. Je dois un million de remerciements à Christine, qui va rectifier tout ça.
    Ma version pdf était erronée. Il manquait deux pages…Je suis l’âne le plus bâté du monde ! Vous êtes tous autorisés à me faire un procès, c’est évident, mais je vous préviens néanmoins, mon avocat s’appelle Dupont-Moretti !

  330. Votre découverte, Magali, est très intéressante. Pourriez-vous les reproduire ici, avec les références éditoriales ? Je suis très curieux de lire ces lignes et serais prêt à les rajouter.

  331. Je prends note de l’intérêt que vous portez à ce genre, Vincent. Avez-vous essayé Louis Garneray ?

  332. Well, off course, Manuel, I know him ! Créateur de l’impayable Jeeves, valet de chambre de cette nouille de Bertie !
    Hélas, Wodehouse ne sera pas dans le domaine public avant 2046… On prend rendez-vous ?

  333. Ben, c’est à dire…, bafouilla Daniel avant d’enchaîner : “Vous en aimeriez d’autres, emiliemilie ?”

  334. Et chaleureusement, moi aussi, Cécile, je vous remercie de votre petit mot !

  335. Découvrir la genèse d’un roman est toujours enrichissant, n’est-ce pas, elisabeth ! À bientôt !

  336. Une littérature pas seulement pour jeunes filles, n’est-ce pas ? Merci à vous, déniel.

  337. Et comme souvent avec Elisabeth, une micro analyse remarquable du roman. Merci à vous !

  338. On ne peut rien cacher à vos (fines) oreilles, Marjolaine !
    Quant à l’énigme irrésolue, bien sûr, il y a une suite. Patience…

  339. Vous avez raison quant à la fin, souvent rapide voire abrupte chez Mme Alice Durand (“Les Epreuves de Raïssa” …!).
    Un grand bonjour/bonsoir à vous, EclatDuSoleil !

  340. Un très grand merci à Olivier de Nances pour m’avoir offert un texte très allant que j’ai enregistré avec beaucoup de plaisir !

  341. Un commentaire, chère Claire-Marie, comme je/on les aime !
    Inutile de dire que les termes de marine n’empêchent en rien la compréhension de l’histoire !

  342. Puissé-je partager avec vous, françoise, le grand plaisir que j’ai pris à enregistrer ce tome 1 !

  343. Je fais un numéro permanent d’équilibriste entre le court et le (plus) long, Claire, je prend note de votre désir et vous remercie chaleureusement !

  344. J’aime beaucoup cet écrivain, Paule B, je vous trouverai bientôt un récit plus long !

  345. Mais oui, Marjolaine, interprétez selon votre ressenti, soyez heureuse !

  346. La fin abrupte secoue tout le monde. Enfilez donc une tenue genre Sherlock Holmes, Elisabeth, et faites nous une enquête à ce sujet !

  347. Je suis totalement convaincu, JL, que vous serez conquis par le tome 2 et, notamment, la fin !

  348. … de chameau !
    Bon voyage, Guillaume (mais pas forcément d’agrément pour eux…) !

  349. Mais oui, Claryssandre, à terme je ferai l’intégrale et si vous trouvez que ça traîne, vous envoyez un télégramme numérique !

  350. Je remercie chaleureusement Aurore Boréale et présente mes respectueux hommages à Claire-Marie dont la plume agile clôt définitivement le sujet avec brio !

  351. Non, non, Lucile, je manie souvent l’humour, mais pas là.
    J’avais aussi adoré les Koumiassine. Je mets “La Maison de Maurèze” sur la liste.
    Merci à vous et à bientôt (enfin, après mon congé de début juin…).

  352. Pour tout dire, Jibou, je le connais depuis peu. Je l’ai trouvé en systématisant mes recherches dans les éditions Tallandier (ma lubie de ce moment-là…).

  353. Je pense, chère Lucile, qu’il y a une petite confusion. Orphée est le pseudo de René Depasse, quant à mon pseudo à moi, c’est simplement mon nom.
    Je retiens toutefois, en vous remerciant chaleureusement, la fin de votre commentaire : “longue vie”. Comme je bois quotidiennement l’élixir correspondant, je suis sur la bonne voie, n’est-ce pas ?

  354. Au moment de la résolution de la nouvelle, j’ai eu la gorge nouée et dû m’y reprendre à trois fois… Merci à vous, Natacha !

  355. Je n’ai plus trop d’A.L. sous le coude, mais on va essayer, Sandrine, de réaliser à terme l’intégrale de Maurice Leblanc !

  356. Une semaine début juin en rando dans le parc de la Vanoise, je pense, chère Claryssandre, que personne n’y perdra !

  357. Très bien, françoise, Louis Garneray va pouvoir prendre le large ! Vous savez sans doute que j’ai une productivité hors du commun et que nous pouvons espérer arriver à bon port fin du mois !
    Enfin, je salue votre père là ou il est !

  358. Et vous, Frederik, savez finement rédiger !
    Par ailleurs, vous ne demandez pas la suite de Faublas ?

  359. Merci, Le Barbon.
    Peut-être qu’un jour j’oserai affronter Ahikar pour la suite…?

  360. Et toujours un petit commentaire en deux mots très pertinent, elisabeth ! Merci à vous et bonne suite !

  361. Vous savez, Paul B, Le Barbon fait parfois des commentaires déraisonnables !

  362. Vous écoutez donc la nuit, elisabeth ! Un grand merci pour vos mini-analyses.

  363. Eh bien, Elisabeth, si vous ne connaissez pas bien cet(te) écrivain(e), de longues heures de bonheur vous attendent !

  364. J’ai été heureux de découvrir cette singulière nouvelle. Merci à vous, Fabregoul !

  365. je vous en prie, Sandrine ! Je suppose que vous savez qu’il y a d’autres Henry Gréville sur le site…

  366. Quel subtil rapprochement avec la first lady, Gordon ! J’aime beaucoup !

  367. Comment ça, JL, que les romans !? Et mes lectures courtes ! Plaisanterie à part, vos gratifiants mots sont bien réjouissants !
    Ah, la fausse ingénue Bijou de Gyp, l’élégante causticité de Trollope! Pour ce dernier, hélas, plus rien dans le domaine public à ce jour…
    Prochain (grand) roman : Les Koumiassine d’Henry Gréville. Une merveille…

  368. JPM, mon acteur (toutes générations confondues) préféré…

    Sinon, Jean-Pierre, un petit mot sur les nettoyages (excessifs ?) des enregistrements, si vous le permettez. Selon moi, pas de temps à perdre à ce perfectionnisme là. Amplification (après les corrections faites en temps réel) – noise réduction 10-5-0 – Egalisation 100HZ rumble – MP3 gain – et hop, sur le serveur.
    J’ai une théorie : si j’ai été bon, personne (ou presque) ne remarquera rien, emporté par le truc. Si quelqu’un s’arrête sur un (petit) parasite, c’est que…
    Bonne journée, cher ami !

  369. Oui, oui, je vous entends, Dali, j’en suis confondu et très reconnaissant ! Merci à vous !

  370. Petite confidence, Marie, à tout hasard : le Livre premier (version solo) est disponible sur l’autre site…

  371. Faut que je dise deux mots au rédacteur de ce billet …!
    Merci à vous, Gordon !

  372. Très bien, Marie, sauf que : puis-je lutter, tout seul comme un grand, avec le tonitruant collectif du Livre Premier ?

  373. On va essayer de vous proposer la suite dans un délai raisonnable, Ceusette !

  374. Stop aux (fausses) polémiques !
    A bientôt, tous (sur un autre billet…).

  375. Je pense qu’on peut le lire (ou l’écouter) en extraits : chaque fois on est devant de petits tableaux finis, toujours hilarants !

  376. Je vous remercie et vous félicite, Frederik, de l’élégante indulgence que vous manifestez pour ce texte !

  377. Je suis contrit de devoir avouer, Marjolaine, que j’ai découvert René Boylesve dans cette oeuvre (tardive). Il est certain que j’ai envie de poursuivre.
    Dans l’immédiat, au débotté, je citerais Paul Bourget.
    A bientôt ?

  378. Si je comprend bien, Frederik, faudrait pas que je traîne trop pour le tome 2…

  379. Bonjour Claryssandre ! Fouinant sur Gallica tous les jours, j’ai désormais dépassé le chiffre abyssal de 10.000 titres. Mais vous savez que je suis aussi toujours à l’écoute des audio-lectrices…

  380. Je vois qu’on suit, Claudie !
    D’abord, Charlotte.
    J’avais prévu un Anne Brontë aussi, mais déçu de la traduction…

  381. Je me demande, Francine, si je ne devrais pas aussi songer à l’autre grand grand classique, celui de la frangine ?
    En tout cas, merci à vous !

  382. Je dois bien avoir une vingtaine de nouvelles de Sacher-Masoch sous le coude…
    Merci à vous, Bouchon42 !
    A bientôt ?

  383. Vous me rappelez, chère veronique, que cela fait un moment que je n’ai pas “fait” de Wilkie Collins. Tiens, “L’Hôtel hanté”, peut-être…
    A bientôt ?

  384. Vous savez, Thomas, que sur un Ipod ou autre, on peut désactiver la mise en boucle !?

  385. Cléophée, j’en reste sans voix ! Ah oui, mais après comment je fais ?
    En tout cas, merci à vous !

  386. Eh bien non, je ne connaissais pas cette oeuvre (malgré les milliers de pdf sur mon ordi).
    Je viens de la télécharger sur Gallica en 4 tomes dont j’espère vous offrir bientôt le premier, délicate Frederik !

  387. Vous avez raison, Lucie, et je vais lui faire un commentaire sur ce sujet à ma façon : “Ce que j’aime chez vous, Lyse, c’est votre sens de la mesure et de la sobriété !”

  388. Très populaire Amédée Achard, contemporain de Dumas mais pas aussi prolifique (bon, il n’avait pas de nègres, je pense…). A suivre, quand même, une trentaine de textes dans mon disque dur !
    Merci à vous, Sibille !

  389. Okaaay, Gordon !
    Votre remarque prendra d’ailleurs tout son sens dès ce vendredi
    17 heures, avec la publication du Portrait de Dorian Gray, oeuvre emblématique, s’il en est, sur “l’apparence” de la beauté !

  390. N’étant pas entièrement sûr que cela vous ait déplu, je suis curieux de lire les prochaines réactions, Gordon !

  391. C’est très réjouissant, Deli, ce que vous me dites là ! Il apparaît que vous appréciez ma diction mais aussi mon éclectisme, ce compliment m’honore.
    Tôt ou tard, Je m’occuperai de Gaston Leroux.
    A tout hasard, je viens d’uploader “Le Portrait de Dorian Gray” pour une publication vendredi à 17 heures. A bientôt ?

  392. Travail ? Connais pas. C’est dans le dictionnaire ?
    En tout cas, merci à vous, rsg !

  393. Nos “héros” gagnent, jacline, non ?
    Pour ce qui est des dialogues, Gyp est un peu l’Amélie Nothomb d’aujourd’hui, en ce sens que ses textes en sont bourrés ! Cela m’inquiète toujours un peu, vais-je pouvoir les rendre vivants et clairement compréhensibles ?
    En tout cas, je vous remercie infiniment de votre attention.

  394. En fait, Claryssandre, je n’ai pas l’ouvrage en entier, il s’agit d’un extrait paru dans une revue suisse. Par ailleurs, je sais que Christiane-Jehanne prépare un autre extrait. Je vous promets de faire des recherches complémentaires, car vous avez raison, le texte est très intéressant.

  395. Je vous suis Aurore, je découvre sur Mediaclasse une manière novatrice, pleine d’enthousiasme et de passion, d’évoquer le patrimoine littéraire français, qui est formidablement réjouissante !

  396. Décapant Jules Renard, n’est-ce pas, Oreilles-attentives-au-pseudo-approprié !

  397. Je ne sais pas si vous êtes douée pour faire des compliments, Choupinette, mais je note les mots “formidable” et “combien vous vous investissez”. et cela me va très bien ! Merci à vous.

  398. Vous écrivez bien, Sylvie, et ainsi donnez envie de lire et d’écouter ! Vos mots me vont droit au coeur !

  399. Oui, il n’y avait plus de Trollope libre de droits numérisés, mais les bouquinistes, ça existe encore ! Merci d’avoir observé, Sylvie, que je ne traîne pas (trop) entre deux tomes !

  400. @ Claryssandre et Claire-Marie :
    Je suis en train de terminer un Arsène Lupin et je me demande si, à force de le fréquenter, je ne me prend pas pour lui… Faut que j’en parle à mon psy…

  401. Non mais, Claryssandre et Claire-Marie, c’est quoi ça ?
    On peut vraiment plus compter sur la fidélité de la gent féminine ! Enfin…

  402. Merci obligeante grattepanche ! Gyp a eu une production incroyable, même si inégale, et je prends toujours grand plaisir à la proposer. A bientôt ?

  403. A bientôt, Julia, pour un épisode d’Arsène Lupin contre Herlock Sholmes…

  404. Julia, je pense savoir à quoi vous faites allusion : Il s’agissait d’un joueur de tennis nommé Steph qui se déplaçait en voiture rouge, dans une série radiophonique sur RTL au début des années soixante.
    Seulement voilà, j’ai bien peur que Maurice Leblanc n’ait rien à voir là-dedans, je n’ai trouvé aucune œuvre portant plus ou moins le titre « L’Homme à la voiture rouge »…

  405. Chère grattepanche, les mots “votre interprétation habilement nuancée” illuminent ma soirée (et au-delà ) !

  406. Bien sûr Trollope a son humour (anglais) mais il le distille, et plutôt avec sobriété, n’est-ce pas ?!
    Maintenant, si vous dites que je le rends bien, vous me comblez, Oreilles attentives !

  407. La deuxième phrase, notamment, de votre commentaire est une véritable bénédiction pour moi. Merci de tout coeur, Louise !

  408. Bon, je programme “Arsène Lupin contre Herlock Sholmes”, ça ira ?

  409. Vous parlez de générosité, cher Jibou, votre commentaire n’en manque pas à mon égard !
    A bientôt pour un Edith Wharton ou un Elizabeth Gaskell…

  410. Vous avez raison, Choupinette. Nous réparons le plus vite possible. En attendant, vous pouvez charger le zip.

  411. Oui, Bianca, le tome 2 terminera “Les Tours de Barchester”. Oui, il s’agit du cycle “Les Chroniques du Barsetshire”, lesquelles débutent avec “The Warden” (dont il ne me semble pas qu’il n’y ait une traduction du domaine public), se poursuivent avec “Les Tours de Barchester”, puis “Le Docteur Thorne” (que j’ai enregistré récemment en trois tomes), puis “La Cure de Framely” (traduction de 2015…) enfin “The Small House at Allington” et “The Last Chronicle of Barset ” (non traduits).
    Je suis grandement désolé de ne pouvoir faire beaucoup mieux pour l’instant, d’autant que Trollope est certainement mon auteur britannique préféré !

  412. Comment Lina, et moi qui croyais que le centre du monde c’était moi ?!

  413. Merci pour le compliment, Lina !
    Pour ce qui est du texte, il n’a pas été numérisé à ce jour. J’ai lu mon exemplaire “papier” (comme indiqué dans la présentation, regardez-voir).
    A bientôt ?

  414. Que de beaux textes, d’auteurs rigoureusement inconnus, on peut glaner sur Gallica, n’est-ce pas, Willy ? Merci à vous.

  415. Eh bien, marie, sachez que j’ai envoyé sur le serveur ce matin le tome 2 des Tours de Barchester, mais il y a toujours un petit délai d’attente. Je pense qu’il pourrait être en ligne le 19 février à 17 h.

  416. Vous avez raison, Claire-Marie, ma liste est monstrueuse, mais il n’y a pas tellement de polars. Je vous en prie, citez 2-3 titres !

  417. Vous exprimez si bien, marie, l’intérêt certain que l’on peut trouver à relire, réécouter, d’autant que je suis convaincu, cela dit sans prétention, d’apporter une (ma) singularité. Merci à vous.

  418. Bonsoir Robert, désolé, notre serveur fait des siennes en ce moment. En attendant la réparation, je vous suggère de télécharger le zip complet et vous pourrez extraire les chapitres qui vous ont manqués.
    A bientôt.

  419. Tatiana, c’est un délice de vous lire !

    Signé : Daniel-qui-enregistre-vite-mais-pas-à-la-va-vite

  420. Sofia, vous faites un très beau résumé du premier tome, et je vous promets que vous vous délecterez au moins autant dans le deuxième sur lequel je “travaille” !
    Kind regards !

  421. Bonjour Charles, je viens d’écouter en streaming les chapitres distincts, ça marche. Mais le zip téléchargé ne s’ouvre effectivement pas en entier.
    Je vais de ce pas en uploader un nouveau et prévenir notre modératrice Christine (j’ai pas de chance, hier déjà on m’avait signalé un incident qui me dépassait).
    A bientôt, Charles.

  422. Attendez, Colin, ne me dites pas que vous écoutez d’une traite ? Allez, on va mettre “merveilleuse soirée” au pluriel. En tout cas, merci pour votre bonjour !

  423. Patty, je poursuivrai donc au hasard de mes “pioches” dans mon disque dur la lecture des oeuvres de cet auteur ou de textes en rapport avec la musique et vous-même piocherez selon votre sensibilité ! C’est ainsi que le monde est parfait !

  424. A l’attention d’Adam : SPQR, citée par Joelle, est le pseudo d’une ardente défenderesse de René Depasse.
    Au passage, je vous salue, ainsi que Cocotte et Claryssandre.

  425. Avec un peu de retard, chère veronique, merci à vous et à bientôt (ou en tous cas, à pas trop longtemps) pour un autre Bazin !

  426. J’en suis fort heureux, Willy.
    A tout hasard, L’Agence Barnett et Cie est en cours…

  427. Votre mémoire est prodigieuse, Claryssandre, jour pour jour, ma première publication date du 1er février 2017 !
    Signé :
    Daniel-le-non-massacreur-de-textes-et-l’archéologue-littéraire

  428. Vous ne pouviez, Marion, rédiger un commentaire plus cruel. Bien que je sois navré de vous avoir fait perdre votre temps, j’ai la certitude absolue de ne massacrer aucun texte et de ne trahir aucun auteur. Quant à vous, Marion, désormais vous passerez votre chemin…

  429. Eh bien voilà !
    A tout hasard, Patty, si cet auteur vous a plu, sachez que j’ai au moins une vingtaine de ses textes dans mon disque dur…

  430. Cela ressemble à une blague, ce que vous me dites là, Patty ! Je viens d’écouter et, heureusement je n’ai pas entendu de musique tyrolienne. Votre ordi doit être ensorcelé !

  431. Je ne suppose pas, chère Joelle, que vous vouliez dire indirectement que mes autres versions 2 étaient justifiées car venant après des versions 1 non-magnifiques, si ?
    J’ai fait le pari – osé selon vous – de proposer une version alternative de cette oeuvre de l’un des mes auteurs favoris.
    Je pense vous convaincre si vous voulez bien prendre connaissance de ce que j’ai écrit le 19 novembre 2018 :
    https://www.litteratureaudio.com/livre-audio-gratuit-mp3/conan-doyle-arthur-les-medecins-de-hoyland-version-2.html

    Signé :
    Daniel-qui-ose-faire-une-V2-de-Vincent-de-L-Epine

  432. La providence, Kadour, nous avait fait nous rencontrer, n’est-ce pas ? A propos de tome 2, je suis dessus…

  433. Merci, Shmuel. Grand plaisir de lecture pour moi, surtout dans la deuxième partie, quand arrive Don Luis Perenna, anagramme de qui on sait !

  434. Ecoutez, Daniel, je viens de le charger et le décompresser normalement. Voulez-vous réessayer ?

  435. J’adore faire ce genre de découvertes littéraires. C’est finement drôle, désuet, inutile et donc indispensable.
    Je publierai d’autres nouvelles de ce recueil “Leurs Excellences”.
    Merci à vous Parraine et à bientôt.

  436. Si vraiment, Adam, vous avez ressenti cela, je ne puis que vous dire un grand, grand merci et à bientôt !

  437. C’est trop drôle, Salmi, que vous me dites cela en ce moment où une méga-angine me cloue le bec !

  438. S’il existait un 8° péché capital, celui de l’exagération, vous y auriez succombé à coup sûr, Lyse !

  439. Oui, Anne Brontë, la moins connue des trois soeurs. Je garde un formidable souvenir de cet ouvrage (pré-féministe ?) dans une traduction récente. Je viens de dénicher une version papier (attention aux parasites à l’enregistrement…) dans la traduction de 1937 de Maurice Rancès. Chic !

  440. Tite angine dans l’immédiat, caroline, mais çà va passer !
    Merci et bonne année à venir !

  441. Vous avez raison, Marco, Gaëlle est merveilleuse.
    Evidemment, moi, en publiant une lecture par jour sur le site, je ne peux pas lutter avec elle !
    Bonne année à venir, Gaëlle !

  442. J’avais mis le mot “faussement” dans la présentation, n’est-ce pas, Emiliemilie ! Je vais essayer de vous en trouver une dans votre goût un de ces jours.
    Joyeux Noël à vous !

  443. Sans doute, Brigitte, mais voyez, la limpidité de l’écriture de Bourget m’a mis à l’aise…

  444. Oui, Kadour, exigeant mais profond Emile Faguet ! Je dois avoir d’autres essais de ce critique, je vais voir çà…

  445. Je n’en suppose pas moins, chère Hirondelle, que je peux garder au programme L’Ile aux trente cercueils !

  446. Un peut de légèreté, n’est-ce pas Galina, dans ce monde de brutes !

  447. Shmuel, au jeu gratuit du jour sans obligation d’achat, vous avez gagné le droit de choisir le prochain AL à enregistrer !

  448. Un commentaire bien enrichissant, chère Lydie George !
    Merci à vous !

  449. Comme vous avez raison, Sams, de rendre à César etc. et à Fanny Burney ce qui lui est dû !

  450. Oui, Romain, nous pénétrons dans les coulisses de la création littéraire !

  451. Sachez que j’en suis fort heureux, Sylvie, mais que nous regrettons de ne pouvoir vous proposer beaucoup d’autres oeuvres, compte tenu de ce que peu de traductions de cet immense auteur sont dans le domaine public…

  452. Lyse, je vais gronder ! Lisez mon commentaire juste avant le votre…
    Musicien (électro) oui, peintre (numérique) oui, écrivain non, faut travailler trop dur…
    A bientôt, chère Lyse (sur la page d’un de mes billets…)

  453. Nul doute, Marie-Claude, que vous n’ayez un coeur et une oreille sensibles pour percevoir les nuances de timbre que j’essaie de faire coller, sans forcer, au texte. Vous me faites le plus beau compliment du monde !

  454. Tous les trois sont sur ma liste des 8000 titres, Claire, et donc je les remonte en tête, d’accord !

  455. N’étant pas bien sûr du sens de votre petit mot, Rodica, à tout hasard j’indique le résumé : c’est l’histoire, un peu étrange, de Rose qui ne rit pas parce qu’elle outrageusement dominée par son mari, mais qui ne s’arrêtera plus de rire à partir du jour ou elle l’aura trompé (platoniquement) !

  456. Et vlan, voilà pour ma pomme !
    Mais je pense, Marc, si j’ai bien compris Sid, que ce n’est pas une histoire de goût(s)…

  457. Vous résumez, chère Agathe, toute mon ambition, savoir l’éclectisme comme base, la résurrection des auteurs oubliés et le regret, provisoire, de ne pas aborder souvent les grands auteurs. Mais aussi, ils sont déjà sur le site ! Etant (presque) le petit dernier, évidemment, j’arrive tard. Mais j’y pense souvent et réalise régulièrement des versions 2, notamment de René Depasse, je ne le cache pas, d’abord parce qu’il représente à lui tout seul la moitié des lectures du site mais surtout parce que je considère être, au point du vue du style, à l’opposé. Promis, je penserai plus souvent aux auteurs connus !

  458. Le deuxième tome traîne un peu sur Dubousquet, je trouve. Bon, vous verrez bien, Le Barbon and others !

  459. Lucie, je vais répondre pour moi : m’étant imposé le défi de publier une lecture par jour (en fait, par semaine un roman plus cinq à six nouvelles ou courts essais), j’optimise tout et notamment la rédaction du billet de présentation.
    Pour autant, je ne le néglige pas et j’essaie de caractériser le récit d’un adjectif (qui donne un peu le ton général) plus un extrait, typique selon moi et qui donne envie, ou non, d’écouter.
    Voilà pour moi, Lucie ! Pas mieux !

  460. EclatDuSoleil, je vous remercie de tout coeur de votre commentaire/analyse qui ajoute un petit quelque chose à la connaissance cette femme de lettres (pour ne pas dire auteur au féminin…)

  461. Je voudrais signaler au coquin Jean-Pierre que si, d’une manière générale, mes V2 sont plus rapides que les V1, je ne le cherche pas et lis comme je le sens. Là, on dirait que j’ai senti le rythme un peu comme Pauline, évidemment en bien moins charmant…

  462. Oui, Claryssandre, mais avant cela un Eugène Sue. Ne le répétez pas, c’est un secret (de l’oreiller)…

  463. Petit lapsus, Véronique (sans conséquence mais que vous ne m’en voudrez pas de relever), entre Hervé et son grand-oncle René…

  464. Chère Véronique, si dans 30 jours je n’ai pas publié un nouveau René Bazin, vous m’adressez une mise en demeure, d’accord ?

  465. Mon cher Barbon, votre commentaire est un chef d’oeuvre de finesse.
    Maintenant, disons que “Lui” ne pose pas de problème, si on le rapporte à Flaubert. Par contre, il est certain que “écrivain dénigrée” fait “transgenre” !

  466. Vous-même, Taia, vous vous exprimez avec beaucoup de clarté et de bienveillance, je vous en remercie chaleureusement !

  467. Eh bien, moi je trouve que Isaac a eu bien du courage pour oser donner ce qu’il faut tout simplement appeler son point de vue personnel. Les commentaires sont publics et on y lit essentiellement les millions de remerciements, mais pas que…
    Je me souviens d’avoir dû moi-même, l’une ou l’autre fois, prendre une (petite) volée de bois vert à laquelle je prenais d’ailleurs un malin plaisir à répondre avec, je l’espère, de l’humour !
    Mais voilà, René Depasse est une icône, attention Isaac ! C’est notre vénérable doyen, et à ce simple titre, il a droit au respect de tous, et particulièrement nous, les autres DDV.
    Mais les auditeurs (et les auditrices, oui, je ne les oublie pas, elle sont nombreuses, je le sais mieux que personne, mais qu’on n’attende pas de moi que je manie l’écriture inclusive…), les auditeurs, disais-je, sont souverains, c’est à eux que nous adressons nos lectures quotidiennement, et je pense que nous nous devons de les écouter, et tant pis pour les froissements occasionnés.
    Monsieur Depasse a été précieux pendant de longues années, en témoignent les innombrables pages vues et les milliers de commentaires élogieux. Mais peut-être est-il, en cet automne 2018, à un âge ô combien vénérable, à un tournant de sa vie et que sa sagesse va le conduire à se retirer avec les plus grands honneurs. Je lui adresse toute mon affection.

  468. Bon, puisque c’est comme çà, Lyse du Québec, je peux programmer une deuxième version du Cousin Henry, je sais que Vincent (avec son million de lyke) n’y verra aucune objection !

  469. Vous avez un sens de l’exagération, Claryssandre !
    Et moi, obligé de marcher en tongs désormais…

  470. elisabeth, n’écoutez-pas Paul Guth lorsque, dans son Histoire de la littérature, il qualifie Octave Feuillet d’écrivain “bonbon”…!

  471. Veronique, certes je ne pense pas être dénué de courage d’une manière générale, mais ici le mot discipline serait plus approprié ! Merci à vous, en tous cas !

  472. Chère Lyse, je suis un peu anglophone, un peu germanophone, mais je crois surtout, cela dit sans prétention, que j’ai l’oreille musicale…

  473. Je vous confie, Hirondelle, que je suis en train de finir “Victor de la Brigade mondaine”…

  474. Merci à vous, dani (également pour votre mot sur la comédie “Cartes sur table”) !

  475. Lyse, je suis ému de retrouver la (même) poésie de votre soeur Loiselle…
    Quant au mot “affolage” du Barbon, il fallait bien entendu comprendre “affolation”…

  476. Je suis bien heureux, La Dame du CDI, de toucher également la jeunesse !

  477. La douceur, Pascalette, n’est vraiment pas ce qui me caractérise au quotidien, Dieu le sait, mais je vous remercie vivement pour votre petit mot !

  478. Yannick, votre oreille est la votre, unique, certainement pas universelle, et vous entendez ce que vous entendez.

    Moi je vous dis que Cocotte, aussi, est unique, et ne changera pas son style vocal, lequel est unique. C’est à prendre ou à laisser.

    Donc, laissez.

  479. dab est généralement l’acronyme de “distributeur automatique de billets”.
    Là je crois que c’est celui de “distributeurs automatique de bourdes” !

  480. Ecoutez, Nanoue, pour ma part je considère cet enregistrement comme tout à fait correct. La relative proximité de la voix est voulue. Je suppose que vous entendez quelque chose de déplaisant dans mon style vocal, ce qui me laisse fort marri, mais dans ce cas je vous invite à écouter mes collègues, comme vous le faites d’ailleurs déjà.
    Voulez-vous néanmoins m’indiquer sur quel support (smartphone, ordi, chaîne-hifi, casque-audio) vous écoutez ?

  481. Oh non, Armela, le mot de méprisant ne se prête en aucune façon aux commentaires du Barbon et moi-même : ici, j’ai employé cet adjectif dans le sens (généralement admis) de “cru” ou “sans façon”. Ainsi une personne “cynique” n’en dit pas moins des choses exactes, justes. Voilà !

  482. Puissiez-vous, John C., vous régalez au-delà de ce personnage (que j’adore, au demeurant…) !

  483. Merci à vous, dani, pour votre petit mot (y compris pour Gyp). A bientôt.

  484. Pour ma part, cher Nanoue Trieves, je suis touché par votre magnifique profession de foi !

  485. Profondeur psychologique et style complexe pour cette oeuvre : si le passeur que je suis devait vous conquérir jusqu’au bout, Lyse…

  486. Merci Bernard pour : “sobre, sans grands effets”.
    J’ai sous le coude 2/3 nouvelles inédites de Wells. Je vais programmer cela sous peu. A bientôt.

  487. A l’attention de Richard Krauss : le serveur a manifestement buggé sur le chapitre 19 de “Au Maroc”. La rectification sera effective dans les 24 heures. Bonne écoute à vous !

  488. Notez Parraine que le fascicule 3 sera en ligne dimanche soir (et tant pis si l’édition ne respecte pas la chronologie des aventures de notre héros…)

  489. Chère Fabienne, depuis le début de l’année je me suis lancé le défi de publier une lecture par jour (trois nouvelles pour un roman en moyenne), ainsi je ne doute pas que ne vous trouviez de temps à autre votre “cup of tea” !

  490. Chère Marie, à ma connaissance (l’excellent) Christian est sur la suite des Grandes Espérances.
    Pour répondre à votre enthousiasme, je vous invite à me faire une autre suggestion, et je me ferai fort d’y répondre !

  491. Chère Loiselle, j’ai au programme “Les Esclaves dans les colonies espagnoles par la comtesse Mercedes Merlin”, assez peu politiquement correct, me semble-t-il. Je peux quand même ?
    (PS : un bonjour à mon ami et excellent lecteur Jean-Pierre)

  492. Je m’étais dit que je poursuivrai ou non selon les réactions de mon “auditorat” (pour employer un mot impropre).
    Eh bien, Parraine, puisque c’est comme çà, je publierai la suite, disons : milieu de la semaine prochaine ?

  493. Chère Galina, si je n’ai pas vraiment compris votre P.S., c’est qu’en fait il s’applique à la nouvelle qui précède La Comtesse de Platen (dans la revue d’où je l’ai extraite). N’en soyez pas gênée, j’en profite pour l’enregistrer et la publier (probablement à la fin de la semaine prochaine).
    A bientôt.

  494. On dirait que nos derniers commentaires se sont croisés.
    Par ailleurs, je suis heureux de partager mes trouvailles (de la BNF/Gallica) !
    Un de ces jours, Jean-Guy, vous pourrez passer un (vrai) après-midi avec Claude Monet…

  495. Eh bien, EclatDuSoleil, vous tombez bien, La Paresse sera en ligne dans la soirée du lundi 2 juillet !

  496. Dear Catherine, on dirait que Vincent de L’Epine travaille sur Le Docteur Thorne (ma version viendrait 6 mois après la sienne).
    Par contre, L’Ange d’Ayala (un formidable bouquin) n’est pas dans le domaine public, comme toutes les autres oeuvres de Trollope disponibles, leurs traducteurs/traductrices étant (encore) de notre monde (j’en suis heureux pour eux mais désolé pour nous …).
    Là, tout de suite, je ne peux que vous proposer des oeuvres de sa mère, Frances Trollope.
    A bientôt.

  497. Votre parole est d’or, Bruno Labiche, jamais notre livre d’or n’a mieux mérité son nom !

  498. vous avez raison Sams, le tome 2 est un peu moins bon, mais ne le répétez pas… Chut…

  499. Le changement de micro peut-être, Emilie… Et puis je ne suis pas un androïde…

  500. Vous me donnez envie de programmer un des inédits que j’ai sous le coude, “Le Bilan”, un de ces jours, Véronique…

  501. Bien sûr, cher Ahikar, vous avez mille fois raison, mais j’ai évidemment gardé le titre tel que La Revue politique et littéraire l’avait nommé.
    En tout cas, vos précisions intéresseront vivement les autres auditeurs.
    Merci à vous.

  502. J’essaierai, Heidi, d’être à la hauteur de votre fidélité à suivre !

  503. Le bonheur est (aussi) dans l’éclectisme ! Merci à vous, Catherine.

  504. Serez-vous capable, Maa, d’attendre 2025, l’année où l’oeuvre de Colette tombera dans le domaine public ?

  505. Vous avez raison, impitoyable Le Barbon ! La raison en est que le texte initial parlait d’une “nouvelle d’amour”, que j’ai voulu rectifier en “roman d’amour”, et bien sûr cette correction défectueuse mérite une correction (dans le double sens du terme…)

  506. Du calme, Isabelle ! Primo tout n’est pas numérisé et secundo beaucoup de “romans” sont en fait des comédies. Mais j’en ai quand même 14 sous le coude…

  507. Satirique Miss Austen oui, légère je ne dirais pas, Loiselle. Par ailleurs, je suppose qu’il serait indiqué de programmer un autre Gyp ?

  508. Mais oui, emilieemilie, Collins aurait pu resserer son oeuvre. Quant à des personnages “hermétiques au péché”, à défaut d’en rencontrer (rarement) dans la (vraie) vie, au moins pouvons-nous en côtoyer ici !

  509. Votre commentaire, Isabelle, me touche car chez Gyp il y a beaucoup de dialogues, et je me demande souvent si l’auditeur entend bien la cohésion de ces scènes. En tout cas, des Gyp (à enregistrer) j’en ai plein mon disque dur !

  510. Effectivement, Mouna, je vais m’enquérir de la situation.
    En attendant, téléchargez le zip.

  511. Oui, Véronique, mais je m’aperçois que TOUT Henry James du domaine public est déjà sur le site. Si vous voulez, je ferai néanmoins l’une ou l’autre version 2.

  512. Ecoutez, Chantilly, je vous assure que l’oeuvre est lue intégralement ; il est arrivé qu’on me reproche un débit de lecture trop rapide ; maintenant si vous, vous êtes embarqué, alors vogue la galère !

  513. “lecture simple et nuancée” : c’est exactement ce que je cherche à faire ! Merci de tout coeur, Louise !

  514. S’il s’agit de mes Wilkie Collins, je suppose (j’espère) avoir triché et prononcé “le vieil homme”…

  515. Devinette épouvantable (en tout cas pour moi, j’ai été infichu de trouver) mais interprétation délectable !

  516. Merci, Le Barbon, de souligner l’universel dans cette Histoire particulière !

  517. En effet, je vais demander à nos modérateurs. En attendant, vous pouvez télécharger le zip, Yannick.

  518. Merci à vous Véronique, vous me donnez envie d’enregistrer un projet que j’avais mis un peu de côté : Les Bertram du même Trollope.

  519. Apreté de la tâche, Ceusette, comme vous y allez ! Je ne me sens pas vraiment au goulag. Les kapos d’ici ne sont pas très sévères (même si ces derniers temps, je mériterais un petit coup de semonce…)

  520. Que le ciel, dans sa mansuétude, me pardonne, et vous aussi, Joshua !
    Rectification en cours.

  521. La durée effective est de 7h02. Rectification en cours. Bonne écoute, Skial.

  522. Merci DA DALT. Vous me donnez envie d’enregistrer un autre Malot, je vais voir çà.

  523. Merci Sams ! Avec Arsène Lupin, je suis souvent en immersion presque autistique (et que personne ne soit choqué de ce mot !)

  524. Dans mon disque dur où sont répertoriés 6 à 7000 ebooks, après avoir activé la fonction ALEA de mon tableur OpenOffice…

  525. Oh non, Charmaine, je vous en prie, j’ai choisi EXPRES un mot pédant, par forfanterie volontaire !
    J’apprécie beaucoup Le Barbon !

  526. @ Natacha Girard : hop, on va enclencher la suite, “Non Lieu”. A bientôt.

  527. @ Natacha Girard : n’hésitez pas (après Le Piège de Christian Dousset) à proposer le titre de votre choix.

  528. @ Le Barbon : la fin de la laryngite plus le nouveau micro devraient le faire…

  529. Colin, le chapitre est bien sur le serveur, notre modératrice va rectifier le billet. En attendant, vous pouvez télécharger le zip.
    A bientôt.

  530. Natacha Girard, sachez que “Départ dans la nuit” sera en ligne dans la soirée du 15 mars.
    J’aurais aimé vous souhaiter une joyeuse lecture, mais le sujet ne s’y prêtant pas…
    A bientôt.

  531. “On n’écrit plus comme ça à notre époque, on dirait une histoire écrite au XIXe” : mais c’est plutôt un compliment çà, Georges !

  532. Tout est parfait et je dis qu’on est autorisé à s’exprimer sur le site exactement comme l’a fait Coquelicot, Shmuel, Georges, Simon et moi-même !

  533. Tronc et Hirondelle, je suis désolé, mon enregistrement initial semble sans défaut.
    Je l’upload dès ce soir, et notre modératrice rectifiera le billet.
    A bientôt.

  534. Dans un univers en trois dimensions, vous avez parfaitement raison, Isin !

  535. Pour ma part, je viens de le dézipper sans problème. J’en parle à notre modératrice.
    A bientôt.

  536. Très célèbre en son temps, Sybille Riquetti de Mirabeau, Comtesse Roger de Martel de Janville !
    Merci à vous, Lyse !

  537. Claire-Marie, je vous confirme que la BBC a adapté ce roman en 2004, mais je ne peux vous dire si, ce faisant, l’oeuvre avait été sirupisée !
    La lecture publiée aujourd’hui reprend la traduction originelle de 1859 (une traduction plus récente est due à Françoise du Sorbier, pas plus pertinente, à mon humble avis).
    En tout cas, pas d’eau de rose ici.
    Osé-je vous souhaiter une bonne écoute ?

  538. Eh bien, Marie-Ange, voilà un merci qui en vaut mille !
    Pour ce qui est de la fréquence de mes lectures, je suis désolé, mais elle va augmenter, sinon en heures, du moins en nombre…
    Notez, chère amie, que le tome 4 et dernier et programmé pour le 13… A bonne entendeuse !

  539. Quel naze, ce Daniel, sait même pas écrire correctement l’anglais…

  540. Pierre-Emmanuel, je viens d’ouvrir le fichier zip sans problème. Néanmoins, j’en parle à notre modératrice. A bientôt.

  541. Bruno, le chapitre 6 de la 1ère partie est ok.
    Eric, “813” est en cours…

  542. Délicieuse Hirondelle ! Cagliostro 2 ce dimanche à partir de 17 h, çà vous dit ?

  543. Je viens de “recharger” le zip, l’ai testé, et vous souhaite une bonne écoute, Hirondelle !

  544. Claire-Marie, je vous réserve une place pour “La Comtesse de Cagliostro” à partir du 22/10, ou pas ?

  545. Patience, Joel, la suite des “Péchés” se fera et même d’autres Eugène Sue…

  546. Je fais de l’archéologie littéraire sur Gallica, entre autres… Merci à vous, EclatDuSoleil.

  547. Merci Caroline ! Un des premiers Henry Gréville, “L’Expiation de Savéli”, est en ligne depuis hier soir…

  548. Patty, je lis à l’instinct (tout en anticipant toujours le reste de la phrase avec les yeux) et il ne me semble pas, au feeling, qu’il se trouve souvent des moments ou il y aurait à accentuer les pauses et silences. Toutefois, je vais garder en mémoire votre observation. A bientôt.

  549. Méconnu Wilkie Collins (en tous cas par rapport à Charles Dickens…)
    A bientôt, Simon.

  550. Vous avez observé, Christiane, que j’ai essayé d’atténuer, à ma façon, le caractère abrupt de la fin du dernier chapitre (je n’ose l’appeler épilogue).
    Soyez toutefois rassurée, je n’ai pas souvenir que les autres Gréville s’achèvent de cette manière…

  551. En vous lisant Patricia, j’ai cru lire des mots que j’entends dans la bouche de mon épouse !
    Il y a donc des connexions qui ne sont pas que numériques…

  552. Jetez donc un oeil, emiliemilie, sur ma réponse au commentaire de Paule B., concernant “Sur le tard” d’Yveling Rambaud…

  553. Votre ressenti est pertinent, emilieemilie.
    Pour ma part, en m’y plongeant de manière quasi-autiste (j’ai le “retour son” dans le casque – voir mon billet “ma méthode d’enregistrement” sur le forum technique), j’accepte le texte, chaque mot, dans son intégralité, et devient par conséquent neutre dans l’appréciation que je pourrais avoir autrement, avec de la distance. L’impression générale qui m’est restée par la suite, c’est quelque chose comme du baroque hitchcokien…

  554. Si vous saviez le nombre de fois ou l’émotion me noue la gorge, chère Paule …!

  555. “Les deux sœurs” ? Elles sont sur ma liste, on va les mettre en priorité.
    Retour dès la semaine prochaine (j’ai enregistré pendant ces 15 jours…)
    A bientôt, Romain !

  556. Chère Loiselle, notez que Gallica est un champ d’investigation dont je défriche régulièrement quelques arpents. L’histoire de la littérature fait un tri bien cruel car sur son chemin se sont égarés plein de talents…
    Il y aura, bien sûr, d’autres Gyp…

  557. Merci à vous également, Plume !
    Aux amateurs : je projette le grand classique “Le bouchon de cristal”…

  558. Alice Durand (Henry Gréville) a beaucoup publié. Aurai-je le cœur de réaliser l’intégrale ? Allez, disons une lecture par trimestre, donc le prochain à l’automne…

  559. Un petit démon malveillant s’était introduit dans l’archive zip que nous avons exorcisée depuis…

  560. Il ne me reste plus que 35 “Henry Gréville alias Alice Durand” à enregistrer… A bientôt, Marie !

  561. Si vous êtes pressée, vous pouvez toujours taper “daniel Luttringer wilkie collins sans nom” dans Google…

  562. Merci, Miller, de me considérer comme pouvant rendre intelligible le style – très vivant mais pas forcément commode – de Jules Clarétie !

  563. Merci, Shmuel ! Je ne l’avais plus depuis mes 15 ans, ce qui remonte à… voyons… NON !?

  564. Tiens, tiens, Suzelle, pouvez-vous me dire si vous percevez une différence de qualité sonore, disons sur cette lecture par rapport aux deux-trois précédentes ? Le cas échéant, que semblez-vous préférer ?
    Merci à vous.

  565. Bonjour au talentueux Lostania0 à qui je rappelle que sur le forum il trouvera, au-delà des suggestions particulières (qui sont toujours pour moi une source de découvertes) une rubrique “Suggestions de lectures”…

  566. Merci du feedback, Elisabeth et Rosaline !
    Osez, je vous en prie, me proposer “Le Million” du même Jules Clarétie, je suis toujours preneur de suggestions ciblées !

  567. J’ai un peu d’appréhension quand il y a beaucoup de dialogues : je crains que l’auditeur (trice) ne sache pas toujours qui parle à qui, ou quand l’interlocuteur change. On dirait que je n’ai pas vraiment besoin de m’inquiéter…
    Merci à vous, Suzelle.

  568. Non, non, aucun contentieux, rassurez-vous, Lostania. J’ai juste tendance à “militer” pour un débit naturel de la voix, à l’encontre de ceux qui ont tendance, je me répète, à articuler TOUTES les syllabes d’un texte.
    A

  569. Cher Lostania, je répète ce que je vous ai dit dès le lendemain de l’envoi de votre essai : le ton naturel, la scansion du texte, la prise de son, excellent tout çà !
    Du coup, je m’adresse à nos collègues DDV, ceux qui ont tendance à vouloir faire un sort à chaque syllabe (surtout que personne ne se vexe), prenez-en de la graine ! C’est le petit nouveau, mais il est bon !
    (tout petit bémol : quelques petits pops…)

  570. Merci à vous, Hirondelle !
    A suivre, dès cet après-midi, “les Papiers de Jeffrey Aspern” de Henry James
    (en cours : “Sans nom” de Wilkie-Collins…)

  571. Mais oui, Marie, j’envisage de lire “San nom”. Il se trouve qu’il est dans ma bibliothèque, Phebus l’a publié. Je note qu’il est sur Gallica.
    A bientôt.

  572. A Suzelle,
    Je viens de faire un test sur Victor Tissot, çà peut le faire. Je vais l’annoncer sur le forum. Cela a été gênant pour moi de renoncer au Dostoïevski, mais voyez-vous, je suis très égoïste, je suis le premier auditeur du texte lu et je n’ai pas réussi à “rentrer dedans”.
    A bientôt.
    DL

  573. A René Depasse :
    Cher Monsieur,
    Comme Carole le sait déjà, je suis sur Audiocité ET LitteratureAudio tout simplement parce que j’avais envoyé mes essais simultanément, et j’avais été adoubé par les deux sites dans la foulée. Je ne connais par Internet Archive.
    A la date d’aujourd’hui, je n’ai pas de raison sérieuse de privilégier un des deux sites. J’envoie aux deux (j’avais contacté les modérateurs pour connaître leur avis, lequel n’était en rien défavorable).
    Pour ce qui est des inédits, on ne va pas compter, mais je suis sûr d’avoir posté plus d’inédits que de doublons.
    Croyez-moi, monsieur Depasse, mon choix se porte prioritairement sur des écrivains que j’admire et Paul Bourget en fait partie. 
    Je vous assure que j’ai une longue liste d’inédits à suivre, mais je ne me priverai pas de faire des V2 (je prévois notamment des Edith Wharton et des Elizabeth Gaskell).
    C’est drôle que vous me parliez de Madame Bovary, car j’ai commencé l’Education sentimentale, et j’ai du mal car le style heurté et parfois elliptique de Flaubert m’empêche de le livrer avec justesse (je crois).
    DL

  574. Aïe, Suzelle ! N’ai-je pas annoncé sur le forum que j’ai dû y renoncer ? Comment puis-je répondre à votre frustration ?
    Faites-une suggestion, en espérant qu’elle sera dans mes cordes…

  575. Jean-Pierre, votre Bouvard et Pécuchet est très bon ! Pour ce qui est du sexe de nos auditeurs respectifs, ce répertoire-là est plus masculin, non ?
    A bientôt.

  576. Chère Margot, vous m’avez ému.
    A tous (toutes ?) : j’ai grand plaisir à partager mes lectures, vos mots me comblent…

  577. A Carmen : je suppose que vous pensez au “Maître des forges” de Georges Ohnet.
    Je prends note.
    A bientôt.

  578. Merci Delphine de V.!
    Notez que la suite du “Mariage de Juliette” (“Une belle-mère”) sera en ligne le 1/03/ à 17 h.
    A

  579. A Rozen : merci pour votre pertinente remarque. Peut-être le caractère exagérément alambiqué des propos de certains personnages (je pense en particulier au régisseur), de par la traduction adhoc de P.E. Forgues, y est-elle pour quelque chose ? A pour d’autres Wilkie Collins…

    A Calamityjane : vous êtes une auditrice attentive et je reçois avec grand intérêt votre observation “technique” (croyez-le, je me suis déjà fait à moi-même ce reproche.) A moi désormais d’en prendre acte… En attendant, merci.

  580. Mais non, Patricia, pas de faute : “Maîtresse Corneille, par l’extrait alléchée…”

    A tous, merci, mais attention : je ne suis qu’un “passeur” qui veut rester humble devant les auteurs…

  581. Merci de vos (gentils) commentaires.
    Pour ce qui est de “La Reine de Coeur”, désolé mais la traduction n’est pas dans le domaine public. Je publierai bientôt d’autres auteurs anglais du XIX° (Gaskell et Trollope, notamment).
    A suivre “Le Secret de Wilhelm Storitz” de Jules Verne.
    A bientôt

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