Chère Christiane, Cette diversité qui fait la richesse du monde et celle de LA en particulier, vous en êtes une voix, une sensibilité, un enthousiasme. Alors, au plaisir de vous retrouver… Avec mes amitiés. Christian
Avec bien du retard… Merci, Lïat pour votre contribution; et puis je crois que certaines oeuvres nous mettent l’eau à la bouche quel que soit notre régime alimentaire. Personnellement, je pense qu’un beau texte se déguste aussi bien qu’un mets délicieux. Bon appétit à vous!
Chère Fraise, C’est toujours avec grand plaisir que je vous lis, les retours des audio-lecteurs et audio-lectrices représentant toujours des balises indispensables dans note activité de Donneur De Voix; ce faisant, je ne fais que reprendre les propos de Gaëlle, un peu plus loin. En ce qui concerne l’Affaire Dreyfus, les divers témoignages publiés sur le site peuvent, je pense, aider à en cerner encore mieux les contours. Il me reste à vous souhaiter un bon séjour dans la ville natale de B. Lazare
Bonjour Sautillant, Un peu de retard dans la réaction… désolé. Merci d’avoir relevé la coïncidence avec le texte de Navalny mais je n’avais pas anticipé l’événement. Je suis d’accord avec vous, ce titre est un voyage à lui seul. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Merci à vous, Estelle et Benoit d’avoir pris le temps du commentaire. En effet, j’avais choisi cette lecture au moment où débutait la pandémie pour faire écho à l’actualité. Au plaisir de vous retrouver pour de nouveaux moments littéraires.
Je suis ravi qu’elle serve de modeste passerelle vers les textes.
Un grand merci mais je ne suis pas certain d’atteindre un tel degré de perfection! En tous cas, je serai ravi de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Depuis, vous avez pu apprécier la suite! Merci pour cet élogieux commentaire. Au plaisir de vous retrouver pour de nouvelles aventures littéraires.
Comme j’ai beaucoup de retard, vous avez pu entre temps apprécier la 2nde partie! Merci d’avoir pris le temps du commentaire.
Je suis désolé pour le retard mais ravi que vous ayez accédé à cette oeuvre grâce à ma lecture; quant au récit du voyage au Congo, notre amie Pauline Pucciano en a annoncé la lecture au début de la présente année. A bientôt entre de nouvelles pages.
Oui Gaëlle, je suis bien d’accord avec vous: quelle subtilité dans l’analyse psychologique des personnages! Mais Zweig n’est pas qu’un fin psychologue et les lignes qu’il consacre au nationalisme, “pestilence des pestilences”, dans la préface de son oeuvre “Le monde d’hier” ne cessent de résonner bien étrangement dans les heures que nous vivons. A bientôt. Christian
C’est un bonheur d’enregistrer cet auteur d’autant que les traductions de Alzir Hella étant tombées dans le domaine public, nous avons un accès beaucoup plus large à ses oeuvres. A bientôt entre de nouvelles pages.
Merci d’avoir pris le temps du commentaire.
Votre voix se prête si bien à la poésie de Paul Eluard. Un grand merci à vous.
Merci, Mélanie, de vous enquérir de ma santé; je vais bien et suis sensible à votre chaleureux message. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Votre commentaire est réconfortant, Pierre, et je vous en remercie, mais sans les auteurs et leurs oeuvres que deviendraient les lecteurs?
Je suis ravi que ma lecture vous ait permis cette découverte. Merci pour votre commentaire.
Les récits d’Albert Londres étant très vivants, la tâche s’avère simplifiée. Pour continuer avec cet auteur, je suis en train de préparer la lecture de son “Dante n’avait rien vu” sur les “bagnes” militaires. Au plaisir de vous retrouver.
Je suis désolé, Jean-Marc, d’avoir trouvé votre message si tard. En tous cas, merci d’avoir pris le temps du commentaire.
De temps en temps, un peu de légèreté permet de retourner ensuite vers des oeuvres beaucoup plus graves…
Chère Fraise, Concernant Les contes de l’Alhambra, il n’y a pas de lecture possible à ce jour car la traduction en est trop récente; néanmoins, il existe un livre de W. Irving intitulé “Chroniques du pays de Grenade” où figurent des légendes apparemment reprises dans les contes et raduites pour une publication de 1843. Donc, je vais ajouter ce titre à ma liste, déjà longue. Avec mes amitiés, Christian
Vraiment très heureux de vous retrouver et un grand merci pour vos chaleureux commentaires. Je vois que vous avez pu approcher ce lieu magique qu’est l’Alhambra. Bien sûr, j’avais pensé lire les contes de Washington Irving mais je ne l’ai pas fait car il me semblait que Christine Sétrin les avait enregistrés; si je me suis trompé, j’ajouterai évidemment cette lecture à ma liste. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages. Christian
Bonjour Yves Chantal. Je ne suis pas un grand technicien mais si vous allez sur l’onglet Forums et que vous choisissez Discussion générale, vous voyez apparaître en haut à droite une petite fenêtre bleue: M’abonner. J’espère que cette information répond à votre demande. Bonne journée.
Oui, Yves Chantal, c’est presque réconfortant d’absurdité, si j’ose dire. Merci de votre contribution.
Je dirai même plus: comme c’est bizarre!
Rétrospectivement, joyeuse fête à vous et… à votre santé!
Merci Lola, mais si vous êtes intéressée par les oeuvres de Rodolphe Bringer, vous pouvez en trouver plusieurs lues par d’autres donneurs de voix.
Un grand merci à vous, Bruissement, pour votre très élogieux commentaire.
Désolé, chère Gaëlle, pour ma réaction à retardement. Je dois vous avouer que, de temps en temps, un texte un peu plus léger-comme un policier de ce genre- permet de se détendre, y compris à la relecture! Merci encore à vous.
Merci à vous, Roquebrune, Mauricette et Renata, d’avoir pris le temps du commentaire. Vous me voyez ravi de vous avoir fait découvrir ce texte que j’avais choisi de lire au moment où démarrait une autre épidémie, plus récente…
Merci, Marie, pour votre commentaire et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Il est vrai que la chute permet d’éviter la nuit blanche! Merci pour votre commentaire.
Je réagis avec beaucoup de retard et j’en suis désolé. Cet épicier, “figure de la modernité”, qu’est-il devenu aujourd’hui? Merci à vous quatre d’avoir pris le temps du commentaire.
Oui Claire, Balzac avait bien souligné cette science de l’observation chez Eugène Sue. Merci de votre participation.
Merci pour votre commentaire, Dominique. On aimerait penser qu’une telle misère a totalement disparu du monde…
Merci pour votre fidélité et au plaisir de vous retrouver bientôt.
Je vous rassure, Lïat, vous n’aurez peut-être pas besoin du panda! Merci et bonne Saint Valentin à vous aussi.
Merci Mélanie pour votre chaleureux message et au plaisir de vous retrouver entre d’autres pages. Belle journée à vous.
Chère Lïat, je suis ravi que mes lectures puissent, modestement, contribuer à votre apprentissage du français oral; n’hésitez pas à me signaler ce qui peut encore vous aider dans ce domaine. Belle journée à vous.
Merci, Sautillant, pour vos riches contributions toujours teintées d’humour. Dois-je vous avouer qu’en cherchant mon illustration, j’ai subitement pensé à “Arsenic et vieilles dentelles”?!! Mais je vous rassure, ce n’est pas vraiment le genre de la maison! A très bientôt.
Chère Lïat, cher Fabien, vos commentaires constituent toujours un chaleureux encouragement car ce plaisir dans la lecture n’existe vraiment que dans le partage du texte. Merci encore.
Un grand merci à vous Alain, à vous René-François, à vous Valentine pour vos chaleureux commentaires.
Merci à vous Sylve, d’avoir pris le temps du commentaire. Oui, j’ai tenu à lire l’oeuvre intégrale car je ne me suis pas accordé le droit de l’amputer. Néanmoins, je dois vous avouer qu’il m’a été particulièrement difficile d’aborder certains passages tant j’ai éprouvé de répulsion à l’égard du personnage principal. Mais n’est-ce pas là la seule façon d’approcher la complexité d’un être humain d’autant que l’auteur évoque, dès les premières lignes, un “drame” et l’empreinte du “Diable”? Alors, eu égard à cette expérience, je ne sais pas si j’ai toujours envie de continuer à lire Gide, du moins pour l’instant; mais je retiens votre proposition tout en sachant que ma liste d’enregistrements déjà prévus est assez longue. Encore merci et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Chère Lïat, je vous retrouve avec grand plaisir et vous remercie pour vos chaleureux commentaires. Cette lecture fait écho, pour moi, à l’un de mes premiers enregistrements sur notre site: “La physiologie du goût” de Brillat-Savarin. Permettez-moi de vous souhaiter une année 2024 douce et heureuse. Au plaisir de vous retrouver pour de nouvelles joies littéraires.
A toute la très dévouée équipe qui gère notre site et à toutes les audio-lectrices, à tous les audio-lecteurs, je présente mes voeux les meilleurs pour que cette année leur soit douce et nous réunisse dans le partage de nouvelles joies littéraires.
Je confirme qu’il est très intéressant d’écouter les émissions de Philippe Collin après avoir lu cette oeuvre de Léon Blum. Merci pour votre commentaire.
Oui Lïat, me revoilà! En fait, j’ai mené plusieurs projets de front, ce qui m’a “mangé” pas mal de temps. C’est avec plaisir que je vous retrouve pour cette rétrospective historique signée Léon Blum.
Merci Lïat pour votre chaleureux commentaire, vous me voyez aussi ravi de vous retrouver. Oui, cette oeuvre autobiographique est assez longue mais la 2ème partie, à venir prochainement, sera beaucoup plus courte. Mes amicales salutations.
C’est très aimable à vous, Fabien, de prendre le temps du commentaire. Merci encore.
Merci de votre élogieux commentaire, René-Pierre; j’ai beaucoup apprécié cette expérience collective à deux voix et tiens à dire que, la modestie de Gaëlle dût-elle en souffrir, son interprétation de Gertrude a joué un rôle capital dans le rendu final de l’oeuvre. Merci encore à elle d’avoir accepté cette proposition de lecture et… au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Quelle belle lecture vous nous offrez là, Bruant et comme vous avez su installer l’atmosphère propre au récit! Merci pour le soin apporté à la réalisation, le résultat en est magnifique.
Bonjour Sautillant et merci pour le temps que vous consacrez au commentaire. Balzac a bien écrit un roman de jeunesse: “Le centenaire” ou “Les deux Beringheld” sous le pseudonyme de Horace de Saint Aubin. Néanmoins, pour l’instant, il m’est difficile d’envisager cette lecture tant ma liste déjà annoncée est chargée. J’ai téléchargé ce texte pour me donner une idée… Merci de votre suggestion et bonne continuation.
Merci pour votre encourageant commentaire, Médéric. J’ai programmé deux autres oeuvres de Balzac (Le père Goriot et Gobseck) en version 2 mais ces lectures devront attendre car il me reste beaucoup de titres à honorer d’ici là. En outre, le titre que vous évoquez a bénéficié des voix de nos amies Cocotte et Christiane-Jehanne. Encore merci à vous. Christian.
Merci, Sautillant, pour vos éloges et votre riche commentaire. Oui, une sombre histoire, prenante et dérangeante pour tous, y compris pour le donneur de voix! Quant au style, Balzac voyait particulièrement juste, me semble-t-il.
Merci à toutes et à tous pour avoir pris le temps du commentaire et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Merci à vous, Fabien, et à votre grand-père pour sa savoureuse(?) participation…
En effet, Marc, la raison et le respect de l’Autre me semblent parfois bien absents de nos sociétés. Merci pour votre commentaire. Bien cordialement.
A vrai dire, j’avais préparé une autre illustration donnant plus de place à la corvette mais pour des raisons de format de fichier, j’ai retenu celle-ci. J’espère que la traversée ne sera pas trop houleuse. Bon vent à vous!
Bonjour Lïat, Comme il m’arrive de pratiquer quelques pauses de connexion, je viens de trouver votre chaleureux message et vous en remercie. C’est très aimable à vous de m’indiquer cette piste de lecture et, dans la mesure du possible, je serai ravi de vous donner satisfaction; je vais donc de ce pas glisser sur le lien Gallica concerné mais, comme vous le savez, je me hâte avec quelque lenteur, par souci du détail sans doute… alors la publication ne sera pas instantanée. Au plaisir de vous retrouver alors. Christian
Merci Fabien pour votre constance et vos voeux. En retour, je vous souhaite le meilleur pour cette nouvelle année en espérant partager encore d’autres découvertes littéraires.
Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages, Viktoriia!!!!!
Merci encore une fois, chère Gaëlle, pour ce petit bijou de lecture, pour une telle finesse d’interprétation. Christian
Chère Gaëlle, j’espère que ce 2ème volet correspondra à vos attentes et que Balzac vous accompagnera au coin du feu.
Merci de votre témoignage, Fabien, et comme le dit Jean Pierre, il n’est pas trop tard pour rendre une petite visite à Cervantes !
Merci Thierry d’avoir pris le temps du commentaire; je vous rassure, il n’y a pas erreur de votre part car, compte tenu de la longueur de l’ouvrage et de ma liste de lectures annoncées, j’ai effectué une sélection de chapitres, évidemment arbitraire; c’est pourquoi j’ai pris soin de le préciser dans le titre de l’enregistrement. J’en suis désolé et espère ne pas trop vous décevoir. Bien cordialement. Christian
Chère Gaëlle, c’est avec grand plaisir que je lis votre message. Initialement, j’avais pensé convoquer d’autres références autobiographiques mais le rôle de la réminiscence dans le récit m’a conduit vers celui qui a consacré son oeuvre à “l’édifice immense du souvenir”. Et puis, les émois violents autant que dissimulés de ce jeune garçon sont tellement universels…
Oui, Francine, le temps passe… mais je suis ravi de vous retrouver. Merci pour votre fidélité.
Merci pour votre gentillesse Claryssandre. Je suis bien d’accord avec vous concernant le style de l’auteur; j’ignore si, à l’époque, un enfant suivait l’histoire sans décrocher mais aujourd’hui la tâche serait plus ardue car je pense que l’expression souffre de boursouflures. Pour moi, l’intérêt de cette lecture repose sur le témoignage historique qui permet une mise en perspective. Au plaisir de vous retrouver bientôt, de nouveaux enregistrements arrivent.
Merci Pauline, pour cette traduction d’une oeuvre remarquable et pour la lecture inspirée que vous nous en offrez. Christian
Merci Lïat d’avoir pris le temps du commentaire. Ma préoccupation initiale était de lire une oeuvre d’origine ukrainienne mais je craignais que ce texte de littérature jeunesse, remanié par un Français, ne convînt pas. Et puis je me suis vite rendu compte que les problématiques évoquées trouvaient un étrange écho dans la situation actuelle, d’où ma décision de l’enregistrer. Amicalement. C.D.
Votre message, Fabien, constitue une belle récompense pour un donneur de voix. Au plaisir de vous retrouver à travers ces pages qui résonnent si étrangement à nos oreilles d’aujourd’hui.
Merci d’avoir pris le temps du commentaire teretete1958 et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages de Zweig dès lors que les droits de traduction seront tombés dans le domaine public.
Je crois, Sylvie, que vous décrivez fort bien les divers états par lesquels passe aussi le donneur de voix vis-à-vis des personnages lesquels n’attirent pas forcément la sympathie! Merci pour votre contribution.
Merci, Sylvie, pour cette analyse pertinente de l’oeuvre où les personnages de femmes sont à l’honneur et si bien campés.
Merci Laurent d’avoir pris le temps du commentaire. Comme vous, je crois Edith Wharton d’une grande finesse.
Merci à vous, Sylvie, pour cette analyse fort pertinente et enrichissante de l’oeuvre de Bove. On peut considérer, en effet, qu’à la différence d’autres écrits du même auteur, le contexte historique pèse ici de tout son poids sur cette destinée et qu’une sorte de fatalité piège le personnage. Absurdité tragique? En tous cas, au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Cher Matteo-Roland, Voilà un beau remerciement que votre message; impossible, il est vrai, de goûter ce texte sans se prêter à un fort dépaysement. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages. Bien amicalement. Christian
Vous me voyez très heureux de rencontrer un tel niveau d’enthousiasme chez vous, Fabien. Un grand merci pour votre élogieux commentaire et votre fidélité.
Vous me voyez ravi de partager avec vous cette oeuvre de Gide.
Bonjour Fabien, je trouve à l’instant vos élogieux commentaires portant sur plusieurs de mes lectures; merci à vous et considérez “qu’ils m’obligent” comme dirait quelqu’un d’autre… Au plaisir de partager toutes ces pages.
Bonjour Sylvie, je crois que j’ai aussi découvert cet auteur à travers le mystère de ce texte lequel m’a permis, entre autres, d’approcher une page d’histoire chinoise. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Bonjour Lïat et désolé pour une réponse si tardive. Merci pour le temps consacré au commentaire en espérant partager avec vous d’autres moments littéraires.
Bonsoir Sautillant, Je me rends compte que j’ai oublié de répondre à votre question concernant la lecture de “Si le grain ne meurt”; oui, ce texte figure toujours à mon plan de lecture mais je ne sais pas encore dans quels délais le le lirai. Bien cordialement. Christian D.
Cher Ahikar, c’est toujours un plaisir de découvrir vos messages. En effet, ils offrent de belles perspectives d’approfondissement de l’oeuvre considérée. Encore merci pour cette riche contribution. Bonne soirée à vous.
Bonjour, Faut-il préciser que nous avions évoqué d”autres pistes musicales; néanmoins nous avons finalement opté pour ce qui peut paraître une facilité mais qui a suscité pour nous différentes tentatives afin de trouver l’extrait le plus juste, à notre goût, quant à la tonalité de chacun des 2 cahiers. Bonne soirée à vous.
Un vrai petit bijou littéraire si bien servi par la voix de Gaëlle, toujours si juste. Merci pour ces belles minutes.
Bonjour chère Pauline, Voilà une remarque bien intéressante! A ma grande honte, j’ai régulièrement raté les projections du film de Giannoli que j’ai pourtant incité notre petit cinéma local à programmer. Je ne désespère pas de parvenir à le visionner! Je dois vous avouer que compte tenu de l’abondance du texte de Balzac, je ne me souviens plus de cette citation. Je vais néanmoins chercher une réponse. Merci encore d’avoir pris le temps du commentaire et à bientôt.
Merci Lïat d’avoir pris le temps du commentaire; je me suis attelé au tome 3 mais j’ai encore de longues heures de montage devant moi. Au plaisir de vous retrouver bientôt.
J’abonde dans votre sens; une pensée émue pour cet immense passeur. Comme Pauline, je ne puis oublier cette incroyable présence en scène, cette rigueur dans l’interprétation et cette remarquable humilité. Merci Michel Bouquet.
Merci Delphine et au plaisir de partager bientôt avec vous de nouvelles lectures.
Bonjour Marie, Très heureux de vous retrouver. J’ai terminé le montage de la 2ème partie la semaine dernière et, dès que ce sera possible techniquement, je l’enverrai sur le site. L’équipe de L.A. a déjà accompli un travail assez monumental donc je suppose que la publication d’oeuvres plus longues ne saurait tarder. Au plaisir de vous retrouver dans l’univers balzacien. Christian
Chère Gaëlle, C’est avec un très grand plaisir que je découvre votre élogieux message, d’autant que je sais la qualité de vos productions. Lorsque j’ai proposé de faire une version 2 de cette oeuvre, j’ignorais totalement qu’un réalisateur préparait sa vision du roman; néanmoins, j’ai trouvé la coïncidence intéressante et j’ai un peu accéléré mes enregistrements de cet écrit, délaissant d’ailleurs d’autres projets, notamment ceux sur Gide, et je ne manquerai pas de revenir très rapidement vers vous à ce sujet. Pour l’instant, j’en suis à la moitié du tome 2 où Balzac situe surtout l’action dans le monde parisien de la presse ce qui semble avoir particulièrement inspiré Giannnoli; j’avais évidemment prévu de voir ce film, d’autant que participe à la programmation de notre petit cinéma local mais mon étourderie m’a fait rater les séances concernées! Quant à la critique balzacienne, je ne suis pas certain que l’auteur ait énormément forcé le trait concernant Angoulême; comme ancien élève du “lycée de garçons de Beaulieu” (aujourd’hui Lycée Guez de Balzac),implanté par Napoléon sur “le plateau”, j’ai toujours trouvé l’analyse sociologique menée par le romancier assez pertinente, y compris au milieu des années 1960. Si la touffeur du texte est parfois pesante à la lecture, un message comme le vôtre constitue un puissant encouragement; au plaisir donc de vous retrouver bientôt dans le “dédale balzacien”. Christian
Bonne fin de dimanche à vous, Marie, et merci de votre message, en attendant… la suite.
Non, Lïat, nous sommes très éloignés de la fin de l’itinéraire de Lucien puisque l’oeuvre compte 3 parties et qu’il s’agit d’un des plus longs romans de Balzac! Il faudra donc faire preuve de patience… A bientôt et belle santé à vous!
Ah, le Barbon, je me sens moins seul! Moi aussi, je croyais que l’article défini figurait dans le titre, au point que, l’ayant mentionné dans mes enregistrements au début, j’ai dû les reprendre et en modifier l’amorce. Après vérification, ce déterminant ne figure nulle part, même pas sur le manuscrit de l’auteur.
Vous me voyez confus, Lyre, devant tant de compliments!Un grand merci et… au plaisir de vous retrouver pour la suite de cet itinéraire d’un ambitieux d’Angoulême.
Merci Lïat, votre message constitue sans aucun doute la plus belle des récompenses pour un donneur de voix; en effet, si ma lecture permet de faire déguster l’oeuvre concernée et d’apprécier la langue, j’en suis très heureux. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages. Bien cordialement. Christian
Chère Fraise, J’ai tenu à lire ce texte de Chateaubriand que je travaillais il y a quelque temps déjà(!) avec mes élèves de collège en préparation active de séjours en Andalousie. Oui, il faut absolument visiter l’Alhambra si vous avez l’occasion de “descendre” vers ce sud chargé d’histoire et puis pousser vers l’envoûtante Cordoue. Evidemment, l’époque la moins peuplée de touristes demeure l’été mais il ne faut pas craindre les très fortes chaleurs. En ce qui concerne “Les Illusions”, cette oeuvre résonne singulièrement pour un Charentais, ancien lycéen d’Angoulême! Au plaisir de vous lire et de vous accompagner dans ces lectures. Avec mes amitiés, Christian
Je suis ravi de voir qu’une lecture permet une telle évasion, surtout pendant l’exécution de tâches domestiques! Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Chère Carole, je suis désolé de réagir aussi tardivement mais je reconnais avec vous que cette oeuvre est assez éprouvante tant on se sent irrémédiablement entraîné vers le “fond”. Merci d’avoir pris le temps du commentaire.
Chère Christiane, Cette diversité qui fait la richesse du monde et celle de LA en particulier, vous en êtes une voix, une sensibilité, un enthousiasme. Alors, au plaisir de vous retrouver… Avec mes amitiés. Christian
Avec bien du retard… Merci, Lïat pour votre contribution; et puis je crois que certaines oeuvres nous mettent l’eau à la bouche quel que soit notre régime alimentaire. Personnellement, je pense qu’un beau texte se déguste aussi bien qu’un mets délicieux. Bon appétit à vous!
Chère Fraise, C’est toujours avec grand plaisir que je vous lis, les retours des audio-lecteurs et audio-lectrices représentant toujours des balises indispensables dans note activité de Donneur De Voix; ce faisant, je ne fais que reprendre les propos de Gaëlle, un peu plus loin. En ce qui concerne l’Affaire Dreyfus, les divers témoignages publiés sur le site peuvent, je pense, aider à en cerner encore mieux les contours. Il me reste à vous souhaiter un bon séjour dans la ville natale de B. Lazare
Bonjour Sautillant,
Un peu de retard dans la réaction… désolé. Merci d’avoir relevé la coïncidence avec le texte de Navalny mais je n’avais pas anticipé l’événement. Je suis d’accord avec vous, ce titre est un voyage à lui seul. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Merci à vous, Estelle et Benoit d’avoir pris le temps du commentaire. En effet, j’avais choisi cette lecture au moment où débutait la pandémie pour faire écho à l’actualité. Au plaisir de vous retrouver pour de nouveaux moments littéraires.
Je suis ravi qu’elle serve de modeste passerelle vers les textes.
Un grand merci mais je ne suis pas certain d’atteindre un tel degré de perfection! En tous cas, je serai ravi de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Depuis, vous avez pu apprécier la suite! Merci pour cet élogieux commentaire. Au plaisir de vous retrouver pour de nouvelles aventures littéraires.
Comme j’ai beaucoup de retard, vous avez pu entre temps apprécier la 2nde partie! Merci d’avoir pris le temps du commentaire.
Je suis désolé pour le retard mais ravi que vous ayez accédé à cette oeuvre grâce à ma lecture; quant au récit du voyage au Congo, notre amie Pauline Pucciano en a annoncé la lecture au début de la présente année. A bientôt entre de nouvelles pages.
Oui Gaëlle, je suis bien d’accord avec vous: quelle subtilité dans l’analyse psychologique des personnages! Mais Zweig n’est pas qu’un fin psychologue et les lignes qu’il consacre au nationalisme, “pestilence des pestilences”, dans la préface de son oeuvre “Le monde d’hier” ne cessent de résonner bien étrangement dans les heures que nous vivons. A bientôt. Christian
C’est un bonheur d’enregistrer cet auteur d’autant que les traductions de Alzir Hella étant tombées dans le domaine public, nous avons un accès beaucoup plus large à ses oeuvres. A bientôt entre de nouvelles pages.
Merci d’avoir pris le temps du commentaire.
Votre voix se prête si bien à la poésie de Paul Eluard. Un grand merci à vous.
Merci, Mélanie, de vous enquérir de ma santé; je vais bien et suis sensible à votre chaleureux message. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Votre commentaire est réconfortant, Pierre, et je vous en remercie, mais sans les auteurs et leurs oeuvres que deviendraient les lecteurs?
Je suis ravi que ma lecture vous ait permis cette découverte. Merci pour votre commentaire.
Les récits d’Albert Londres étant très vivants, la tâche s’avère simplifiée. Pour continuer avec cet auteur, je suis en train de préparer la lecture de son “Dante n’avait rien vu” sur les “bagnes” militaires. Au plaisir de vous retrouver.
Je suis désolé, Jean-Marc, d’avoir trouvé votre message si tard. En tous cas, merci d’avoir pris le temps du commentaire.
De temps en temps, un peu de légèreté permet de retourner ensuite vers des oeuvres beaucoup plus graves…
Chère Fraise,
Concernant Les contes de l’Alhambra, il n’y a pas de lecture possible à ce jour car la traduction en est trop récente; néanmoins, il existe un livre de W. Irving intitulé “Chroniques du pays de Grenade” où figurent des légendes apparemment reprises dans les contes et raduites pour une publication de 1843. Donc, je vais ajouter ce titre à ma liste, déjà longue. Avec mes amitiés, Christian
Vraiment très heureux de vous retrouver et un grand merci pour vos chaleureux commentaires. Je vois que vous avez pu approcher ce lieu magique qu’est l’Alhambra. Bien sûr, j’avais pensé lire les contes de Washington Irving mais je ne l’ai pas fait car il me semblait que Christine Sétrin les avait enregistrés; si je me suis trompé, j’ajouterai évidemment cette lecture à ma liste. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages. Christian
Bonjour Yves Chantal. Je ne suis pas un grand technicien mais si vous allez sur l’onglet Forums et que vous choisissez Discussion générale, vous voyez apparaître en haut à droite une petite fenêtre bleue: M’abonner. J’espère que cette information répond à votre demande. Bonne journée.
Oui, Yves Chantal, c’est presque réconfortant d’absurdité, si j’ose dire. Merci de votre contribution.
Je dirai même plus: comme c’est bizarre!
Rétrospectivement, joyeuse fête à vous et… à votre santé!
Merci Lola, mais si vous êtes intéressée par les oeuvres de Rodolphe Bringer, vous pouvez en trouver plusieurs lues par d’autres donneurs de voix.
Un grand merci à vous, Bruissement, pour votre très élogieux commentaire.
Désolé, chère Gaëlle, pour ma réaction à retardement. Je dois vous avouer que, de temps en temps, un texte un peu plus léger-comme un policier de ce genre- permet de se détendre, y compris à la relecture! Merci encore à vous.
Merci à vous, Roquebrune, Mauricette et Renata, d’avoir pris le temps du commentaire. Vous me voyez ravi de vous avoir fait découvrir ce texte que j’avais choisi de lire au moment où démarrait une autre épidémie, plus récente…
Merci, Marie, pour votre commentaire et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Il est vrai que la chute permet d’éviter la nuit blanche! Merci pour votre commentaire.
Je réagis avec beaucoup de retard et j’en suis désolé. Cet épicier, “figure de la modernité”, qu’est-il devenu aujourd’hui? Merci à vous quatre d’avoir pris le temps du commentaire.
Oui Claire, Balzac avait bien souligné cette science de l’observation chez Eugène Sue. Merci de votre participation.
Merci pour votre commentaire, Dominique. On aimerait penser qu’une telle misère a totalement disparu du monde…
Merci pour votre fidélité et au plaisir de vous retrouver bientôt.
Je vous rassure, Lïat, vous n’aurez peut-être pas besoin du panda! Merci et bonne Saint Valentin à vous aussi.
Merci Mélanie pour votre chaleureux message et au plaisir de vous retrouver entre d’autres pages. Belle journée à vous.
Chère Lïat, je suis ravi que mes lectures puissent, modestement, contribuer à votre apprentissage du français oral; n’hésitez pas à me signaler ce qui peut encore vous aider dans ce domaine. Belle journée à vous.
Merci, Sautillant, pour vos riches contributions toujours teintées d’humour. Dois-je vous avouer qu’en cherchant mon illustration, j’ai subitement pensé à “Arsenic et vieilles dentelles”?!! Mais je vous rassure, ce n’est pas vraiment le genre de la maison! A très bientôt.
Chère Lïat, cher Fabien, vos commentaires constituent toujours un chaleureux encouragement car ce plaisir dans la lecture n’existe vraiment que dans le partage du texte. Merci encore.
Un grand merci à vous Alain, à vous René-François, à vous Valentine pour vos chaleureux commentaires.
Merci à vous Sylve, d’avoir pris le temps du commentaire. Oui, j’ai tenu à lire l’oeuvre intégrale car je ne me suis pas accordé le droit de l’amputer. Néanmoins, je dois vous avouer qu’il m’a été particulièrement difficile d’aborder certains passages tant j’ai éprouvé de répulsion à l’égard du personnage principal. Mais n’est-ce pas là la seule façon d’approcher la complexité d’un être humain d’autant que l’auteur évoque, dès les premières lignes, un “drame” et l’empreinte du “Diable”? Alors, eu égard à cette expérience, je ne sais pas si j’ai toujours envie de continuer à lire Gide, du moins pour l’instant; mais je retiens votre proposition tout en sachant que ma liste d’enregistrements déjà prévus est assez longue. Encore merci et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Chère Lïat, je vous retrouve avec grand plaisir et vous remercie pour vos chaleureux commentaires. Cette lecture fait écho, pour moi, à l’un de mes premiers enregistrements sur notre site: “La physiologie du goût” de Brillat-Savarin.
Permettez-moi de vous souhaiter une année 2024 douce et heureuse. Au plaisir de vous retrouver pour de nouvelles joies littéraires.
A toute la très dévouée équipe qui gère notre site et à toutes les audio-lectrices, à tous les audio-lecteurs, je présente mes voeux les meilleurs pour que cette année leur soit douce et nous réunisse dans le partage de nouvelles joies littéraires.
Je confirme qu’il est très intéressant d’écouter les émissions de Philippe Collin après avoir lu cette oeuvre de Léon Blum.
Merci pour votre commentaire.
Oui Lïat, me revoilà! En fait, j’ai mené plusieurs projets de front, ce qui m’a “mangé” pas mal de temps. C’est avec plaisir que je vous retrouve pour cette rétrospective historique signée Léon Blum.
Merci Lïat pour votre chaleureux commentaire, vous me voyez aussi ravi de vous retrouver. Oui, cette oeuvre autobiographique est assez longue mais la 2ème partie, à venir prochainement, sera beaucoup plus courte.
Mes amicales salutations.
C’est très aimable à vous, Fabien, de prendre le temps du commentaire. Merci encore.
Merci de votre élogieux commentaire, René-Pierre; j’ai beaucoup apprécié cette expérience collective à deux voix et tiens à dire que, la modestie de Gaëlle dût-elle en souffrir, son interprétation de Gertrude a joué un rôle capital dans le rendu final de l’oeuvre. Merci encore à elle d’avoir accepté cette proposition de lecture et… au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Quelle belle lecture vous nous offrez là, Bruant et comme vous avez su installer l’atmosphère propre au récit! Merci pour le soin apporté à la réalisation, le résultat en est magnifique.
Bonjour Sautillant et merci pour le temps que vous consacrez au commentaire. Balzac a bien écrit un roman de jeunesse: “Le centenaire” ou “Les deux Beringheld” sous le pseudonyme de Horace de Saint Aubin. Néanmoins, pour l’instant, il m’est difficile d’envisager cette lecture tant ma liste déjà annoncée est chargée. J’ai téléchargé ce texte pour me donner une idée… Merci de votre suggestion et bonne continuation.
Merci pour votre encourageant commentaire, Médéric. J’ai programmé deux autres oeuvres de Balzac (Le père Goriot et Gobseck) en version 2 mais ces lectures devront attendre car il me reste beaucoup de titres à honorer d’ici là. En outre, le titre que vous évoquez a bénéficié des voix de nos amies Cocotte et Christiane-Jehanne. Encore merci à vous. Christian.
Merci, Sautillant, pour vos éloges et votre riche commentaire. Oui, une sombre histoire, prenante et dérangeante pour tous, y compris pour le donneur de voix! Quant au style, Balzac voyait particulièrement juste, me semble-t-il.
Merci à toutes et à tous pour avoir pris le temps du commentaire et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Merci à vous, Fabien, et à votre grand-père pour sa savoureuse(?) participation…
En effet, Marc, la raison et le respect de l’Autre me semblent parfois bien absents de nos sociétés. Merci pour votre commentaire. Bien cordialement.
A vrai dire, j’avais préparé une autre illustration donnant plus de place à la corvette mais pour des raisons de format de fichier, j’ai retenu celle-ci. J’espère que la traversée ne sera pas trop houleuse. Bon vent à vous!
Bonjour Lïat,
Comme il m’arrive de pratiquer quelques pauses de connexion, je viens de trouver votre chaleureux message et vous en remercie. C’est très aimable à vous de m’indiquer cette piste de lecture et, dans la mesure du possible, je serai ravi de vous donner satisfaction; je vais donc de ce pas glisser sur le lien Gallica concerné mais, comme vous le savez, je me hâte avec quelque lenteur, par souci du détail sans doute… alors la publication ne sera pas instantanée. Au plaisir de vous retrouver alors. Christian
Merci Fabien pour votre constance et vos voeux. En retour, je vous souhaite le meilleur pour cette nouvelle année en espérant partager encore d’autres découvertes littéraires.
Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages, Viktoriia!!!!!
Merci encore une fois, chère Gaëlle, pour ce petit bijou de lecture, pour une telle finesse d’interprétation.
Christian
Chère Gaëlle, j’espère que ce 2ème volet correspondra à vos attentes et que Balzac vous accompagnera au coin du feu.
Merci de votre témoignage, Fabien, et comme le dit Jean Pierre, il n’est pas trop tard pour rendre une petite visite à Cervantes !
Merci Thierry d’avoir pris le temps du commentaire; je vous rassure, il n’y a pas erreur de votre part car, compte tenu de la longueur de l’ouvrage et de ma liste de lectures annoncées, j’ai effectué une sélection de chapitres, évidemment arbitraire; c’est pourquoi j’ai pris soin de le préciser dans le titre de l’enregistrement. J’en suis désolé et espère ne pas trop vous décevoir. Bien cordialement. Christian
Chère Gaëlle, c’est avec grand plaisir que je lis votre message. Initialement, j’avais pensé convoquer d’autres références autobiographiques mais le rôle de la réminiscence dans le récit m’a conduit vers celui qui a consacré son oeuvre à “l’édifice immense du souvenir”. Et puis, les émois violents autant que dissimulés de ce jeune garçon sont tellement universels…
Oui, Francine, le temps passe… mais je suis ravi de vous retrouver. Merci pour votre fidélité.
Merci pour votre gentillesse Claryssandre. Je suis bien d’accord avec vous concernant le style de l’auteur; j’ignore si, à l’époque, un enfant suivait l’histoire sans décrocher mais aujourd’hui la tâche serait plus ardue car je pense que l’expression souffre de boursouflures. Pour moi, l’intérêt de cette lecture repose sur le témoignage historique qui permet une mise en perspective. Au plaisir de vous retrouver bientôt, de nouveaux enregistrements arrivent.
Merci Pauline, pour cette traduction d’une oeuvre remarquable et pour la lecture inspirée que vous nous en offrez.
Christian
Merci Lïat d’avoir pris le temps du commentaire. Ma préoccupation initiale était de lire une oeuvre d’origine ukrainienne mais je craignais que ce texte de littérature jeunesse, remanié par un Français, ne convînt pas. Et puis je me suis vite rendu compte que les problématiques évoquées trouvaient un étrange écho dans la situation actuelle, d’où ma décision de l’enregistrer. Amicalement. C.D.
Votre message, Fabien, constitue une belle récompense pour un donneur de voix. Au plaisir de vous retrouver à travers ces pages qui résonnent si étrangement à nos oreilles d’aujourd’hui.
Merci d’avoir pris le temps du commentaire teretete1958 et au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages de Zweig dès lors que les droits de traduction seront tombés dans le domaine public.
Je crois, Sylvie, que vous décrivez fort bien les divers états par lesquels passe aussi le donneur de voix vis-à-vis des personnages lesquels n’attirent pas forcément la sympathie! Merci pour votre contribution.
Merci, Sylvie, pour cette analyse pertinente de l’oeuvre où les personnages de femmes sont à l’honneur et si bien campés.
Merci Laurent d’avoir pris le temps du commentaire. Comme vous, je crois Edith Wharton d’une grande finesse.
Merci à vous, Sylvie, pour cette analyse fort pertinente et enrichissante de l’oeuvre de Bove. On peut considérer, en effet, qu’à la différence d’autres écrits du même auteur, le contexte historique pèse ici de tout son poids sur cette destinée et qu’une sorte de fatalité piège le personnage. Absurdité tragique? En tous cas, au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Cher Matteo-Roland,
Voilà un beau remerciement que votre message; impossible, il est vrai, de goûter ce texte sans se prêter à un fort dépaysement. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Bien amicalement.
Christian
Vous me voyez très heureux de rencontrer un tel niveau d’enthousiasme chez vous, Fabien.
Un grand merci pour votre élogieux commentaire et votre fidélité.
Vous me voyez ravi de partager avec vous cette oeuvre de Gide.
Bonjour Fabien, je trouve à l’instant vos élogieux commentaires portant sur plusieurs de mes lectures; merci à vous et considérez “qu’ils m’obligent” comme dirait quelqu’un d’autre… Au plaisir de partager toutes ces pages.
Bonjour Sylvie, je crois que j’ai aussi découvert cet auteur à travers le mystère de ce texte lequel m’a permis, entre autres, d’approcher une page d’histoire chinoise. Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Bonjour Lïat et désolé pour une réponse si tardive. Merci pour le temps consacré au commentaire en espérant partager avec vous d’autres moments littéraires.
Bonsoir Sautillant,
Je me rends compte que j’ai oublié de répondre à votre question concernant la lecture de “Si le grain ne meurt”; oui, ce texte figure toujours à mon plan de lecture mais je ne sais pas encore dans quels délais le le lirai.
Bien cordialement.
Christian D.
Cher Ahikar, c’est toujours un plaisir de découvrir vos messages. En effet, ils offrent de belles perspectives d’approfondissement de l’oeuvre considérée. Encore merci pour cette riche contribution.
Bonne soirée à vous.
Bonjour,
Faut-il préciser que nous avions évoqué d”autres pistes musicales; néanmoins nous avons finalement opté pour ce qui peut paraître une facilité mais qui a suscité pour nous différentes tentatives afin de trouver l’extrait le plus juste, à notre goût, quant à la tonalité de chacun des 2 cahiers. Bonne soirée à vous.
Un vrai petit bijou littéraire si bien servi par la voix de Gaëlle, toujours si juste. Merci pour ces belles minutes.
Bonjour chère Pauline,
Voilà une remarque bien intéressante! A ma grande honte, j’ai régulièrement raté les projections du film de Giannoli que j’ai pourtant incité notre petit cinéma local à programmer. Je ne désespère pas de parvenir à le visionner! Je dois vous avouer que compte tenu de l’abondance du texte de Balzac, je ne me souviens plus de cette citation. Je vais néanmoins chercher une réponse. Merci encore d’avoir pris le temps du commentaire et à bientôt.
Merci Lïat d’avoir pris le temps du commentaire; je me suis attelé au tome 3 mais j’ai encore de longues heures de montage devant moi. Au plaisir de vous retrouver bientôt.
J’abonde dans votre sens; une pensée émue pour cet immense passeur. Comme Pauline, je ne puis oublier cette incroyable présence en scène, cette rigueur dans l’interprétation et cette remarquable humilité. Merci Michel Bouquet.
Merci Delphine et au plaisir de partager bientôt avec vous de nouvelles lectures.
Bonjour Marie,
Très heureux de vous retrouver. J’ai terminé le montage de la 2ème partie la semaine dernière et, dès que ce sera possible techniquement, je l’enverrai sur le site. L’équipe de L.A. a déjà accompli un travail assez monumental donc je suppose que la publication d’oeuvres plus longues ne saurait tarder. Au plaisir de vous retrouver dans l’univers balzacien.
Christian
Chère Gaëlle,
C’est avec un très grand plaisir que je découvre votre élogieux message, d’autant que je sais la qualité de vos productions.
Lorsque j’ai proposé de faire une version 2 de cette oeuvre, j’ignorais totalement qu’un réalisateur préparait sa vision du roman; néanmoins, j’ai trouvé la coïncidence intéressante et j’ai un peu accéléré mes enregistrements de cet écrit, délaissant d’ailleurs d’autres projets, notamment ceux sur Gide, et je ne manquerai pas de revenir très rapidement vers vous à ce sujet.
Pour l’instant, j’en suis à la moitié du tome 2 où Balzac situe surtout l’action dans le monde parisien de la presse ce qui semble avoir particulièrement inspiré Giannnoli; j’avais évidemment prévu de voir ce film, d’autant que participe à la programmation de notre petit cinéma local mais mon étourderie m’a fait rater les séances concernées!
Quant à la critique balzacienne, je ne suis pas certain que l’auteur ait énormément forcé le trait concernant Angoulême; comme ancien élève du “lycée de garçons de Beaulieu” (aujourd’hui Lycée Guez de Balzac),implanté par Napoléon sur “le plateau”, j’ai toujours trouvé l’analyse sociologique menée par le romancier assez pertinente, y compris au milieu des années 1960.
Si la touffeur du texte est parfois pesante à la lecture, un message comme le vôtre constitue un puissant encouragement; au plaisir donc de vous retrouver bientôt dans le “dédale balzacien”.
Christian
Bonne fin de dimanche à vous, Marie, et merci de votre message, en attendant… la suite.
Non, Lïat, nous sommes très éloignés de la fin de l’itinéraire de Lucien puisque l’oeuvre compte 3 parties et qu’il s’agit d’un des plus longs romans de Balzac! Il faudra donc faire preuve de patience… A bientôt et belle santé à vous!
Ah, le Barbon, je me sens moins seul! Moi aussi, je croyais que l’article défini figurait dans le titre, au point que, l’ayant mentionné dans mes enregistrements au début, j’ai dû les reprendre et en modifier l’amorce. Après vérification, ce déterminant ne figure nulle part, même pas sur le manuscrit de l’auteur.
Vous me voyez confus, Lyre, devant tant de compliments!Un grand merci et… au plaisir de vous retrouver pour la suite de cet itinéraire d’un ambitieux d’Angoulême.
Merci Lïat, votre message constitue sans aucun doute la plus belle des récompenses pour un donneur de voix; en effet, si ma lecture permet de faire déguster l’oeuvre concernée et d’apprécier la langue, j’en suis très heureux.
Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Bien cordialement.
Christian
Chère Fraise,
J’ai tenu à lire ce texte de Chateaubriand que je travaillais il y a quelque temps déjà(!) avec mes élèves de collège en préparation active de séjours en Andalousie. Oui, il faut absolument visiter l’Alhambra si vous avez l’occasion de “descendre” vers ce sud chargé d’histoire et puis pousser vers l’envoûtante Cordoue. Evidemment, l’époque la moins peuplée de touristes demeure l’été mais il ne faut pas craindre les très fortes chaleurs.
En ce qui concerne “Les Illusions”, cette oeuvre résonne singulièrement pour un Charentais, ancien lycéen d’Angoulême!
Au plaisir de vous lire et de vous accompagner dans ces lectures.
Avec mes amitiés,
Christian
Je suis ravi de voir qu’une lecture permet une telle évasion, surtout pendant l’exécution de tâches domestiques! Au plaisir de vous retrouver entre de nouvelles pages.
Chère Carole, je suis désolé de réagir aussi tardivement mais je reconnais avec vous que cette oeuvre est assez éprouvante tant on se sent irrémédiablement entraîné vers le “fond”. Merci d’avoir pris le temps du commentaire.