Je vous remercies pour votre commentaire. Tout comme vous, et pour ma part au moment de l’enregistrement, je traversais une crise ‘religieuse’, pour ne pas dire existentielle, si vous permettez le terme. Cette lecture m’aura vraiment ramené a l’essentiel et que, de toutes choses, plus encore que la foi, «l’amour est le plus grand».
Le temps il l’a eu amplement. Là n’était pas la question, en effet. C’était écrit dans le ciel, Nelligan n’exista que pour la création poétique à l’état pur et rien d’autre. Il était loin d’être fait pour le monde littéraire, surtout de son temps, son époque, son pays. D’ailleurs François Hertel a écris une chose assez remarquable à son sujet, qui, je pense, mérite d’être mentionnée ici :
«Je ne suis pas sûr qu’Émile Nelligan, le prince des poètes, fût vraiment un dément. Il fut selon moi un inadapté, il fut trop pur et trop lucide pour se sentir à l’aise dans un monde ‘vagissant’ où il n’avait pas sa place.»
Vous en avez de la chance! J’aime beaucoup la culture et la langue allemande. Je rêve de visiter cette Allemagne des châteaux, ses lacs et ses montagnes mythiques. Mais s’il ne faut que la rêver toujours, je préfère alors de loin les voyages dans le temps… Et pourquoi pas la fin du XVIIIième? Quoi que ce Heinrich Heine ne fut pas encore de ce monde là…
Merci de continuer à nous livrer d’aussi vibrantes lectures.
Angelot
Ma requête a enfin été exaucée, mille merci ! Je l’attendais avec grande impatience. C’est par cette lecture agréable que je vous découvre comme donneur de voix. Je ne manquerai pas d’aller consulter vos autres publications.
Bonjour Natacha,
Je vous remercies pour votre commentaire. Tout comme vous, et pour ma part au moment de l’enregistrement, je traversais une crise ‘religieuse’, pour ne pas dire existentielle, si vous permettez le terme. Cette lecture m’aura vraiment ramené a l’essentiel et que, de toutes choses, plus encore que la foi, «l’amour est le plus grand».
Le temps il l’a eu amplement. Là n’était pas la question, en effet. C’était écrit dans le ciel, Nelligan n’exista que pour la création poétique à l’état pur et rien d’autre. Il était loin d’être fait pour le monde littéraire, surtout de son temps, son époque, son pays. D’ailleurs François Hertel a écris une chose assez remarquable à son sujet, qui, je pense, mérite d’être mentionnée ici :
«Je ne suis pas sûr qu’Émile Nelligan, le prince des poètes, fût vraiment un dément. Il fut selon moi un inadapté, il fut trop pur et trop lucide pour se sentir à l’aise dans un monde ‘vagissant’ où il n’avait pas sa place.»
Vous en avez de la chance! J’aime beaucoup la culture et la langue allemande. Je rêve de visiter cette Allemagne des châteaux, ses lacs et ses montagnes mythiques. Mais s’il ne faut que la rêver toujours, je préfère alors de loin les voyages dans le temps… Et pourquoi pas la fin du XVIIIième? Quoi que ce Heinrich Heine ne fut pas encore de ce monde là…
Merci de continuer à nous livrer d’aussi vibrantes lectures.
Angelot
Ma requête a enfin été exaucée, mille merci ! Je l’attendais avec grande impatience. C’est par cette lecture agréable que je vous découvre comme donneur de voix. Je ne manquerai pas d’aller consulter vos autres publications.